Lost in space

Vladimire Illich trouve des outils mais pour lui ils sont bizarre, ou plutôt la manufacture lui parait différente. Il ouvre sa radio.

" - Si on a laisser du matériel ici, c'est que l'on veut revenir. Il faudrait tendre une souricière, capturer les récupérateurs et savoir ce qu'il font et pourquoi."

Le Russe regarde encore une fois une sorte de marteau, pour voir si il y a une marque, un sigle. Mais il ne trouve rien de concluant, pour le moment, leur expédition est plutôt décevante. Il prend le temps de regarder les paramètres du scaphandre et pour le moment tous est bon. Il n'a pas de problème avec!

Nadira écouta le bombardement de questions et sourit gentiment.

« - Vous n’avez pas changé… Bien sur que nous avons fait des recherches. Mais sans matériel, c’était plutôt compliqué. Tu étais plus occupé à installer un peu d’électricité et d’eau courante pour le village. La station a été attaqué par surprise. Une arme étrange nous a frappé, ouvrant sous nous une distorsion qui nous a jeté ici. Nous pensions que c’était pour nous isoler et frapper la Terre ensuite. Un peu comme ce qui était arrivé a cette fille du futur. S'il reste quelque chose, c'est encore la haut à mon avis.»

Elle réfléchit un instant, puis inspira profondément.

« - Mais si je comprend bien ce que vous dite, nous avons aussi été relégué dan le passé. C’est pour ça que personne n’est jamais venu, n’est ce pas ? 300 ans dans le passé tu dis ? Quelle gachi. Attend… novembre tu dis ? Nous étions en décembre. Je m’en souviens, on préparait Noël... »


Touché par le compliment, Patrick remercia saon aileule sans doute sans vraiment comprendre ce qu’elle disait à propos d’une autre « elle »

« - Ca arrive oui, répondit-il. Des sales types se posent parfois dans leur vaisseau. Ils en ont après nos filles ou nos gosses. Mais on a encore de quoi leur faire peur et ils insistent pas. Ce sont des lâches. »

Nadja hocha la tête au terme de souricière. Elle n’avait jamais apprécier les pillards et en exécuter sommairement quelques un ne lui déplairait pas.

De son coté, Zander observait plus attentivement les outils. Clairement humanoïde il y avait un je ne sais quoi de déjà vu dans leur facture. Il lui fallut quelques minutes pour finement se rappeler. Il avait croisé un groupe de mercenaire quelques années auparavant qui utilisait ce genre de matériel. Des gars franchement désagréable, violent en groupe et très intéressé par le marché noir de pièces détachées. Stella leur avait d’ailleurs fait forte impression mais il n’avait plus osé grand-chose lorsqu’elle avait montré les dents.

Leur nom finirent par lui revenir : les frères D'urkhals

Rien, il ne trouve rien d’intéressant! Mais que pourrait trouver à voler sur ce ta de ferraille. Il couterait plus chère à démanteler, et a transporter que de récupérer quelque chose. Qui trouverait quelque chose d'utile et pourquoi. Il y a longtemps que tous a été pillé. Peut être il existe un marché pour les métaux ayant passé un temps très long sous les rayonnement du cosmos? Mais cela étonnerait beaucoup le Russe, car le métal dans l’espace ce n'est pas ce qui manque, après tout le fer il y a cinq mille ans provenait exclusivement du ciel....... Cela doit être autre chose!

Zander fixa un outil. Il avait l'impression de les avoir déjà vus. Mais où ?

« Ces outils me disent quelque chose… Mais je n'arrive pas à me souvenir. Je suis certain que ça va me revenir. » dit-il, passant au reste de l'équipement en place.

Puis soudain, cela lui revint.

« Les D'urkhals ! » lança-t-il, avec un air triomphant.

Stella, pour sa part, lança une jolie phrase très fleurie en entendant ce nom. Il gardait de très mauvais souvenirs  de ce travail-là. C'était l'un des rares qu'il regrettait avoir accepté, mais à l'époque, il avait besoin d'argent et n'avait pas pu refuser l'offre alléchante, qui s'était précisément révélé être un piège.

« Trois frères spécialisés dans le pillage d'épave. Du genre violent. Et justement, ce sont aussi des pros en matière de souricière. Ils ont essayé de s'en prendre à Stella, mais elle ne s'est pas laissée faire et ils sont repartis la queue entre les jambes. » expliqua-t-il.

Puis il réalisa que personne n'avait tenu au courant l'équipe au sol.

« Hayes à Sincet. La station est en mauvais état et régulièrement visité par des pilleurs pas du tout recommandables, les D'urkhals. Je parle par expérience. Et la Porte a disparu. Est-ce que les colons savent quelque chose à ce sujet ? »

« - Je n’ai pas vu grand-chose de l’attaque, j’étais à l’infirmerie. De ce que j’ai compris, ils ont fait croire qu’ils étaient en perdition et on ouvert le feu à bout portant. Des lâches... »

Les question d’Aynira étaient plus simple et elle y répondit de bonne grâce.

« - Il faut de l’énergie pour la porte, et nous n’en avions plus. Le réacteur a été détruit pendant notre transit ici. Nous avons fonctionné sur batterie pendant quelques jours avant de venir ici. Nous avions choisit une zone relativement tempérée avant de nous téléporter. Ça nous a permit de survivre au premier hivers. Mais ça n’a pas été simple. Et si, nous nous entendons plutôt bien. Mais nos communauté grandissent et nous devons nous disperser pour ne pas sur exploiter la région. Nous nous voyons cependant très régulièrement. Aeryn, ta famille vit dans le village voisin, je pense qu’il voudront très vite te voir."

Patrck renseigna Siana du mieux qu’il pouvait, surpris de la véhémence de la jeune femme. IL lui expliqua que les attaques étaient assez rare, une a deux par an au maximum. Ils arrivaient à une dizaine par téléportation et tentait un raid. Parfois ils arrivaient a prendre un deux villageois, jamais plus et ils y laissait systématiquement des plumes. Malheureusement, les armes de l’ancien JPS n’était quasiment plus en état de fonctionner et il n’avaient quasi plus de munition. La dernière attaque remontait à l’année précédente.

Au nom de D'urkhals, Nadja susauta.

« - Je les connais. Mais ils sont bien plus de trois. Enfin à mon époque. De vrai barge qui hésite pas à tuer ou réduire en esclavage des équipages entiers. Ils avaient même une technologie qui… Oh bordel ! »

Elle contacta elle aussi la planète.

« - Ces types utilisent une technologie bizarre qui leur permet de littéralement téléporter des vaisseaux entiers. Une histoire de trou de ver, m'en demandez pas plus. A l’arrivée, ils ont une équipe de récupérateur et peuvent le désosser bien tranquillement. On avait essayé de la reproduire mais de ce qu’on m’avait expliqué ça marchait une fois sur trois. Parfois ça faisait juste péter la cible, d’autre elle se perdaient corps et bien. Plusieurs fois, c’est le lanceur qui a explosé, réduisant l’attaquant en miette. Faut être ravagé pour utiliser ce genre d’arme.

Vladimir Illich comprend au monologue de Nadja qu'il va y avoir bientôt de l'action. Ils auraient en face d'eux des méchants qui pillent et volent les gents, les vaisseaux qui tombent entre leur griffes, et les exploitent comme serfs. Les histoires de trou de ver, malgré ses connaissances en Astrophysique, font appelle à des connaissances que le Russe ne connait pas, même si il entrevoit un peu le principe, de loin, de tees loin même. De toute façon il faut éradiquer ces pirates de l'espace. Mais en faisant quoi? Ils n'ont pas emmener des chasseurs avec eux, pour les attaquer. Il faudrait contrecarré leur technologie qui permet de téléporter des vaisseaux entier, cela doit consommer énormément d’énergie, peut être shunter cette force pour la transformer en chaleur? Mais on en est pas là, il y a des gents à aider, sur la planète. Le Cosmonaute se demande toujours ce qui à tend de valeur pour venir récupérer du métal ici, car les conditions de travail sont plutôt difficiles et couteux en apesanteur. Il faut que cela en vaille le cout....
Il a devant les yeux les images des vieux bateaux dont plus personne ne veut aller se faire désosser sur les plages du Bangladesh. Un peuple de pilleur, trop arriéré pour imaginer une autre façon de vivre. Non cela ne colle pas ils ont une technologie qui permet le détournement de vaisseau, il faudrait réfléchir à qui profite le crime.

« - Je ne suis pas une experte en explosif, répondit Nadja, mais ça pourrait être une bonne idée oui. L’autre solution est de tout faire sauter pour qu’ils n’aient plus rien à récupérer. »

Le petit groupe revint vers Stella et celle-ci mis le cap vers le vaisseau Goa’Uld un peu plus loin.

« - j’ai calculé son orbite. Il rentrera dans l’atmosphère dans trente quatre jour et neuf heures. La structure est encore suffisamment intacte pour qu’il ne se désintègre pas totalement. Il s’écrasera à environ trois mille kilomètres avec une force de plusieurs gigatonne. Pas assez pour provoquer un hivers nucléaire mais les perturbations sismiques et météorologiques seront très importantes. Le village sera sans doute atteint, mais je ne peux pas calculer pour l’instant la gravité des perturbations qu’ils subiront. »

 La petite équipe d’explorateur aborda le vaisseau pyramidal prudemment. Celui-ci avait été bien plus pillé que le JPS et il manquait des pan entier de la coque. Ils notèrent néanmoins que l’ensemble était bien plus récent que al station. Ce vaisseau ne devait être la que depuis quelques années.

Il y avait des corps également. Des jaffas momifiés dans leurs armures par le froid et le vide. Ils avaient été abattu par des décharges d’armes à énergie ou des projectiles.