« - Oui Docteur, répondit Nadja à la question posée par Aeryn. Nous avons du abattre ce monstre et faire exploser la planète. »
Comme elle le craignait, il allait falloir une fois de plus nettoyer derrière les bêtises des anciens, ses sois disant baba cool de l’espace si pleins de bon conseil . Une autre pauvre créature devait avoir fait les frais de leur grandeur d’âme, s’il en fallait en croire l’hologramme.
Le laboratoire s situait sous eux, loin sous l’océan mais tous le monde avait l’air décidé à prendre le risque. En temps normal, c’est le genre de mission qu’elle aurait effectué seul, ou avec quelques autres militaires. Mais comme d’habitude, rien n’était normal ici.
« - J’aimerai bien savoir en effet a quoi nous avons affaire avant de descendre, juste au cas ou on est droit a une nouvelle créature pleine de tentacules. »
Auquel cas que pourraient ils faire ? La tuer également ? La relâcher… Comme à chaque fois qu’elle y pensait, une peur irraisonnée lui tordait les tripes. Elle essuya la sueur de son front et se concentra sur l’instant présent pour cacher son malaise. Ca n’était pas le moment de craquer.
Comme elle le craignait, il allait falloir une fois de plus nettoyer derrière les bêtises des anciens, ses sois disant baba cool de l’espace si pleins de bon conseil . Une autre pauvre créature devait avoir fait les frais de leur grandeur d’âme, s’il en fallait en croire l’hologramme.
Le laboratoire s situait sous eux, loin sous l’océan mais tous le monde avait l’air décidé à prendre le risque. En temps normal, c’est le genre de mission qu’elle aurait effectué seul, ou avec quelques autres militaires. Mais comme d’habitude, rien n’était normal ici.
« - J’aimerai bien savoir en effet a quoi nous avons affaire avant de descendre, juste au cas ou on est droit a une nouvelle créature pleine de tentacules. »
Auquel cas que pourraient ils faire ? La tuer également ? La relâcher… Comme à chaque fois qu’elle y pensait, une peur irraisonnée lui tordait les tripes. Elle essuya la sueur de son front et se concentra sur l’instant présent pour cacher son malaise. Ca n’était pas le moment de craquer.