Difficile de ne pas éclater de rire quand il mima les mots de leur professeur cet après midi.
« - Agacée, oui c’est le mot. Être une femme et en plus une sauvage n’aide pas à l’insertion sociale. T’en fais pas, je ne vais pas mordre quelqu’un juste parce qu’il est persuadé qu’il est supérieur et sait plus de choses de moi sur l’univers. C’est meme assez ironique, tu ne trouves pas ? »
Au moins, Zander n’avait pas chaumé. Cette histoire de cité des anciens lui rappelait pas mal de choses. Certains folklore étaient décidément rependus aux quatre coins de la galaxie.
« - Tu crois que ca pourrait être ces Nox dont parlait Prius ? Tu sais pourquoi on en a jamais entendu parler avant ?»
Il l’attira finalement vers les jardins, ce qui s’avéra être une excellente idée. L’air était bien plus respirable et la température douce. Il marchèrent un moment, bras dessus bras dessous dans les allées seulement éclairée par des lanternes disposées de loin en loin. Ils n’étaient d’ailleurs pas les seuls à profiter de la nature et certains buissons un peu éloignés de la route soupiraient étrangement.
« - Je suppose que la bienséance s’arrête au salon, s’amusa l’ex marine en poussant le pilote vers un arbre pour profiter de ce moment de calme et d’intimité. »
Finalement, ils revinrent vers la maison et un serviteur vint vers eux pour les guider vers un autre salon.
« - Le salon des dames est… »
Le reste de sa phrase se termina par un borborygme. Nadja lui avait lancé un regard sans doute capable de congeler une étoile. Il les conduisit rapidement dans un petit salon confortable ou un petit groupe d’homme fumait et buvait. L’entrée de Nadja fit son petit effet mais personne n’osa dire quoi que ce soit, politesse oblige.
Ils s’installèrent sur un sofa et, tandis qu’un autre serviteur leur offrait un choix de liqueur impressionnant, le duc reprit la parole.
« - Mes amis bienvenu. Nous sommes tous ici des amateurs et d’histoire. J’ai réunis ce soir un certain nombre d’objet qui pourraient vous intéresser. J’espère que chacun et... heu... chacune d’entre vous y trouvera son compte. »
Le premier objet présenté (derrière une vitrine et montré par un serviteur musculeux) fut un tableau daté d’un peintre apparemment célèbre du siècle précédent.
« - Agacée, oui c’est le mot. Être une femme et en plus une sauvage n’aide pas à l’insertion sociale. T’en fais pas, je ne vais pas mordre quelqu’un juste parce qu’il est persuadé qu’il est supérieur et sait plus de choses de moi sur l’univers. C’est meme assez ironique, tu ne trouves pas ? »
Au moins, Zander n’avait pas chaumé. Cette histoire de cité des anciens lui rappelait pas mal de choses. Certains folklore étaient décidément rependus aux quatre coins de la galaxie.
« - Tu crois que ca pourrait être ces Nox dont parlait Prius ? Tu sais pourquoi on en a jamais entendu parler avant ?»
Il l’attira finalement vers les jardins, ce qui s’avéra être une excellente idée. L’air était bien plus respirable et la température douce. Il marchèrent un moment, bras dessus bras dessous dans les allées seulement éclairée par des lanternes disposées de loin en loin. Ils n’étaient d’ailleurs pas les seuls à profiter de la nature et certains buissons un peu éloignés de la route soupiraient étrangement.
« - Je suppose que la bienséance s’arrête au salon, s’amusa l’ex marine en poussant le pilote vers un arbre pour profiter de ce moment de calme et d’intimité. »
Finalement, ils revinrent vers la maison et un serviteur vint vers eux pour les guider vers un autre salon.
« - Le salon des dames est… »
Le reste de sa phrase se termina par un borborygme. Nadja lui avait lancé un regard sans doute capable de congeler une étoile. Il les conduisit rapidement dans un petit salon confortable ou un petit groupe d’homme fumait et buvait. L’entrée de Nadja fit son petit effet mais personne n’osa dire quoi que ce soit, politesse oblige.
Ils s’installèrent sur un sofa et, tandis qu’un autre serviteur leur offrait un choix de liqueur impressionnant, le duc reprit la parole.
« - Mes amis bienvenu. Nous sommes tous ici des amateurs et d’histoire. J’ai réunis ce soir un certain nombre d’objet qui pourraient vous intéresser. J’espère que chacun et... heu... chacune d’entre vous y trouvera son compte. »
Le premier objet présenté (derrière une vitrine et montré par un serviteur musculeux) fut un tableau daté d’un peintre apparemment célèbre du siècle précédent.