2/ Accueil du camp

Blumberg avait à peine craqué sa cigarette qu'il entendit la porte s'ouvrir derrière lui.
* Rapide ce petit ! * pensa t-il.
Puis il leva les yeux vers Eric et fronça les sourcils.

Le jeune homme se posa tranquillement contre le mur, se tapa la causette...les mains vides.

Le sang de Blumberg ne fit qu'un tour. Il se retourna, attrapa Eric par le col et le plaqua contre le mur. Son visage était à cinq centimètres de Eric et sa clope, toujours coincé entre ses lèvres frôlait le menton du jeune homme.

" Je crois que t'as pas bien compris mon petit gars. Ici, JE donne les ordres et TU exécutes. Si tu n'en es pas capable tu n'as rien à foutre ici et je me ferais un plaisir de te renvoyer d'où tu viens avec ma marque de rangers au cul. "

Sans lâcher Eric et sans se reculer, Blumberg attrapa sa cigarette et lui souffla en plein visage.

" Maintenant, tu vas me chercher un café avant que je m'énerve.." conclu-t-il en le lâchant et en le poussant en direction de l'entrée.

"Sale gosse. Où il a fait son service lui ?!" marmonna t-il pour lui-même, les dents serrés.

Il le regarda agir avec lui comme une personne sans éducation ou tacts et il se retira de son emprise pour ce mettre a bonne distance de lui, aiment pas qu'ont lui souffle la fume de cigarette sur son visage aussi. Il prit la cigarette de la personne pour la mettre sur le sol et l’écrasa sur son pied.

-J'ai servit sous deux drapeau et participé à plusieurs mission. Que sa soit dans l'aviation la marine on ne traite pas les soldats ainsi.

Il le regarda droit dans les yeux.

-Vous vous comporte ainsi envers vos hommes et aussi envers des inconnus alors qu'il son ici pour la même cause que vous et qu'un jour la personne pourrais vous sauvez la vie.

Il croisa les bras

-Dans l'armée le bute de d'aidé le plus faible a monte car un jour le faible sera le plus fort et c'est lui qui aidera le nouveau faible a redevenir fort. Si je suis venu ici c'est comme médecin mais aussi comme soldat pour aidé les autres. Si votre organisation parle comme cela au autre alors je n'ai que faire ici car je croit pas que rabaisse la personne l'aide a le faire monte.

Il continua a le regarde.

-Alors soit vous me faite une session d'entrainement comme tout soldat et vous mon montre que ses valeurs existe ou soit je vois l'inverse et dans ce cas je m'en vais afin d'aidez mon prochain comme médecin dans médecin sans frontière. Je vous laisse choisir.

Dit il le regardent attendent sa réponse, il connaissais pas pourquoi il était venu ici a par sauvez des personnes mais pour lui si c’était comme cela alors c'était pour de mauvaise raison et il pouvais aidez les personnes autrement sachent qu'il aurais des postes libre dans le civil.

Eric regarda cette personne et il en revenait pas, il avait montre qu'il était pas de la dernière pluie dans l'armée et dit aussi tout se qu'il avaient apprit à l'entrainement et aussi de ses année d’expérience et que fessait cette personne il s'en moqua et il rigola même. Il ce demandait si il connaissait se que c'était la fraternité ou même la signification de "frère d'arme". Cette homme en face de lui devais avoir aucun principe de cohésion.

De plus avec ses mots il semblait aimé les abus de pouvoir comme il aimais d'après ses dires ruiné des carrières si on lui apportait pas de café comme un esclave. Il savaient que le soldat américain était arrogant mais lui c'était le "pompom". L'autre chose qui l’énerva c'est qu'il le traitais de pistonné lui qui a fait fait ses preuves après plusieurs mission ou opération dans le monde. Il était médecin de terrain une chose très respecte dans le monde. Une personne qui était près a allez sur le feu pour sauve des vies même si il avaient aucune arme sur lui. Une spécialité dans l'armée respecte car c'était celui qui pouvais sauvez leur vie.

Il avaient des principes comme le respect, sauvez des vies au péril de la sienne. Et son premier contacte avec cette personne lui montra tout le contraire. Si pour lui sauvez des vie lui faire rire alors cette organisation devais ce moque de cela. Il préférais amplement allez dans le civil ou même dans l'armée, la ou la vie est importante.

-Avent de partir comme un fuyard,n'oubliez pas de mettre que vous me revoyez car j'ai pas voulu vous apporte du café sa rendra bien dans votre rapport si vous êtes honnête.

Dit il en mettent son sac dans la voiture puis il entra dedans en ferment la porte pensent au temps de perdu dans sa vie, il aurait pue déjà être dans un hôpital et sauvez des vies, au lieu de cela il avais perdu 2 jours de sa vie en un voyage inutile avec une personne désagréable au plus haut point avide de son rang.

-Quelle temps de perdu, combien de patient j'aurais pue sauvé...On peux y allez monsieur.

Dit il en écrivent comme on lui avait ordonné a une adresse sur une carte:

"Rencontre avec une personne désagréable qui a un méprit pour la vie et le vécu des personnes, qui utilise son autorité pour être un larbin sans âmes et ruiné des carrières car on veux pas être son esclave, je préfère retourné en Norvège et sauvez des vies dans le civil que de participe a une organisation qui montre l'opposé de toute les conviction d'un monde civilisé. -E.R-"

Il envoya le message et rangea son téléphone dans sa veste et regarda après le paysage désertique sans vie.

katell arriva dans le parking toujours perturbée par l’énormité des bâtiments qu'elle venait de voir.

Un complexe aussi grand en plain désert et aucune mention d'un tel complexe de l'ONU, c'était vraiment louche.

Elle fut de nouveau déstabilisée en voyant un homme petit et un peu enveloppé partir en courant et en criant. vers ce qui semblait être un long couloir.


Mais le célèbre flegme britannique aidant, elle ne s'arrêta qu'une fraction de seconde. Avant de reprendre sa route

Essayant tant bien que mal de défroisser sa chemise, un peu froissée par ces 10 heures de vol, elle se dirigea tranquillement vers l'homme qui était dernière son comptoir, selon toute logique il fallait s'annoncer ici
et c'est ce qu'elle fit :

"Bonjour, je suis Katell Lodge, je pense que c'est ici que je dois me présenter"


Voyant que un regard vers elle serait la seule réponse que lui ferait avant de retourner vers ses dossiers.

Elle se déplaça donc vers les chaises pour patienter.

* Et ben dit donc, j'espère qu'a un moment on va m'expliquer pourquoi je suis là, parce que bon les dix heures de vol c'était fatiguant mais pas désagréable, mais on a promis des réponses, et surtout un travail.*

Blumberg lança sa troisième fléchette contre le mur d'en face. Celle-ci se planta dans l'oeil gauche de la photo d'une femme blonde d'une cinquantaine d'année. Les deux autres étaient plantées respectivement dans le nez et dans l’œil droit de la femme photographié. Blumberg jeta un regard à l'horloge à côté décida qu'il était temps d'y aller. Cette « Lodge » attendait dans le hall depuis maintenant une demi heure. Si ça ne tenait qu'à lui il l'aurait fait poireauté encore une bonne heure, mais il commençait à s'ennuyer ferme, ayant bouclé tous ses dossiers dans la matinée.

L'instructeur Hans Blumberg poussa donc les portes battantes de la salle d'attente une demi-heure après l'arrivée de Lodge. Il ne lui adressa pas un regard et s'accouda à l'accueil en tendant la main. Le petit homme lui tendit un dossier sans un mot. Blumberg le survola quelques instant des yeux.
« Comment ça ? Encore une foutue civile ? » s'exclama t-il, le visage résolument tourné vers l'homme derrière le comptoir de l'accueil. Ce dernier haussa simplement les épaules, imperturbable, les yeux rivés sur son écran. «  Quand est-ce qu'ils nous envoient de vrais bonhommes compétents ? » s'indigna t-il avec son air bourru habituel.

Blumberg leva les yeux au ciel puis se redressa. Et se dirigea vers la sortie du bâtiment. Il ne tourna pas la tête vers Lodge lorsqu'il passa devant elle sans s'arrêter mais lui glissa un ordre simple qui ne laissait pas place à la discussion :
«  Suivez-moi ! »


--> [Insolente Insolation]

[HRP: Tu peux poster ta réaction ici et ensuite enchaîner dans le post suivant. ]

Cela fait trente longues minutes que Katell patientait dans cette salle d'attente, monotone ou le choix se faisait entre regarder ses pieds le gars derrière son comptoir ou le plafond.

Après avoir scruté la pièce dans ses moindres recoins, elle s’ennuyait ferme et surtout elle aurait donner n'importe quoi pour un café.
Elle était exténuée.

* faites que je ne m'endorme pas sur cette fichue chaise*

Elle voulait que on vient enfin la chercher, parce que a ce rythme là, elle allait s'endormir sur sa chaise et avoir  vraiment la honte de sa vie, devant ceux qui pouvait lui permettre de repartir à zéro.

Pour se change les idées elle avait commencer a compter les craquelures de la peinture défraîchie du plafond, puis elle avait recommencer dans une autre langue après tout autant y aller fort pour ne pas s'endormi et maintenir son cerveau et son corps éveillé.

Elle en était a la cinquième langues différentes, le latin précisément quand il
avait entendu la porte battante derrière le comptoir  s'ouvrir.

En baissant les yeux dans la direction elle vit apparaître un homme.
Sans un mot cet homme d'une cinquantaine d'année  attrapa le dossier que l'homme derrière le comptoir lui tendait

après quelques instant a regarder le dossier, il râla...

* et bien cela commence bien... il a peut être besoin lui aussi d'un café*

Sans un bonjour et un regard après avoir regarder ce qui devait être son dossier, il l'invita à le suivre de manière autoritaire.

Katell se leva et entreprit de faire ce qu'il demandait

* après tout au point où j'en suis je ne vais pas  me formaliser de ça...*

et elle le suivi vers l'extérieur.

/ Sortie du parking du camp d'entraînement / - / Entrée à l'accueil du camp d'entraînement /



Son sac à la main, elle entra dans le bâtiment. Dès qu'elle eut passer la porte, l'air frais fouetta son visage. Ses yeux verts effectuèrent un rapide tour de pièce : des murs blancs ; un comptoir avec quelqu'un d'assis derrière, à l'autre bout de la salle ; des portes coupe-feu. Elle s'avança vers l'homme qui se tenait derrière un comptoir et se présenta :

"Bonjour...Siana Elemanquia, nouvellement affectée."

L'homme ne répondit pas et lui indiqua les chaises du regard. Elle acquiesça silencieusement, puis alla s'asseoir, posant son sac à ses côtés.

*Au moins, pour l'heure, on ne me cause pas pour rien. C'est déjà ça de pris.*

La blonde se tenait droite sur la chaise plastique, les mains croisées l'une sur l'autre et posées sur sa cuise gauche. Ses yeux verts dérivaient doucement sur les murs, cherchant, sans même qu'elle n'en ait vraiment conscience, la moindre information possible, le moindre indice : déformation professionnelle. Elle s'interrogeait : à quelle sauce allait-elle être croquée ? Ses épaules montèrent légèrement et se rabaissèrent aussitôt : après tout, elle n'était pas entrée n'importe comment dans les Special Forces -et par la petite porte qui plus est, car elle y était actuellement officier, après être entrée comme simple troufionne. Et puis, elle avait un autre palmarès derrière elle : après tout, elle avait participé à de nombreux échanges avec d'autres unités américaines ou étrangères, qui lui avaient procuré un bon bagage militaire...oh, certes, elle péchait un peu du point de vue de l'intellectuel : elle n'était guère portée sur les diplômes, et n'était pas sortie du système scolaire sitôt le lycée terminé pour rien...
Un instant, cependant, son esprit dériva : avait-elle vraiment fait le bon choix en rejoignant à nouveau le programme en charge de la Porte des Etoiles ? Après tout...elle avait un autre objectif...son échange avec eux s'était bien passé, et elle savait qu'elle trouverait la porte ouverte...mais tout de même, la Delta Force ne l'accepterait plus dans ses rangs -du moins opérationnels, et c'était ce qu'elle y visait- si elle dépassait un certain âge...et elle appréciait tellement cette unité au-dessus de toute les autres forces américaines...

-« Bonjour monsieur, l’interpella-t-elle en espérant attirer son attention, je suis Alys Johns, j’ai été convoquée ici pour un entrainement. »

L'homme releva la tête pour la regarder et ne tâcha même pas de retenir le grand sourire qui lui étira les lèvres.

"Alors là ! Vous allez l'achevez !"

Mais cela avait l'air de l'amuser plus qu'autre chose. Il prit sa radio et fixa la jeune femme en souriant toujours lorsqu'il contacta son supérieur.

"Major Blumberg, une autre recrue vient d'arriver. Grande, blonde, … mais ça va vous plaire. C'est une militaire."

C'était la troisième blonde qui arrivait en très peu de temps. Déjà que le major avait du mal à accepter qu'une femme puisse valoir la peine d'être recrutée par le SDT, trois blondes d'un coup, cela allait le tuer et le lieutenant de l'accueil avait hâte de voir ça.

Lorsque les portes menant sur l'accueil s'ouvrirent violemment, le lieutenant retrouva instantanément un visage neutre et fit mine d'être concentré sur son travail. Il déposa le dossier de Johns devant lui. Blumberg s'en saisit d'un geste vif.

"Lieutenant Bower ! Arrêtez donc ce que vous faites et contactez les nations Unis. Je ne pense pas que nous ayons les accréditation pour ouvrir une maison close. Le cas échéant, il nous faudra des enseignes lumineuses et un site internet géolocalisé."

Il avait parlé en fixant la nouvelle recrue d'un air méprisant.

"Vous ! Avec moi !"

Blumberg tourna les talons et s'enfonça dans un couloir presque désert en marmonnant.

"Jeux Payants et Sexys. Non, …Joyeux Plaisirs Sensuels. Mieux, …"

Il ne se préoccupait pas le moins du monde de la jeune femme qui tentait de le suivre, se demandant certainement dans quoi elle était tombée.




Suite ici : https://sgz-rpg.forumactif.org/t2512-chambre-14#42341

PS : Au moindre soucis, MP moi sur l'adresse d'Aeryn ou de Plume

   Très tôt dans la matinée, Erwin avait rendu la clé de sa chambre au motel qu'il avait occupé la nuit passée. Cette nouvelle affectation allait à coup sur le changer du quotidien de la DARPA. Il était habillé en BDU verte standard de l'armée américaine. Après tout on ne va pas avec l'uniforme de son ancien service pour l'entretien qui va décider ou non de vôtre nouveau poste. Le bâtiment en soi n'avait rien d'impressionnant, grand, blanc, maussade, identique à tous les autres de la base...

   Il sortit et paya son taxi avant de saisir ses 2 sacs contenant ses effets personnels ainsi que son ordinateur. Son dossier à la main, il s'avança vers la porte. La transition de l'extérieur à l'intérieur du bâtiment se fit sentir par la différence de température et par le fait qu'il n'était plus seul. Un sous officier attendait derrière le bureau au fond de la pièce. Avant d'aller plus avant, Erwin fit un bref repérage des sorties potentielles ainsi que des points d'entrée dans la pièce. Il finit par s'avancer jusqu'au bureau et s'adressa à l'homme derrière ce dernier en saluant:

"Erwin Von Rundstet, au rapport pour nouvelle affectation."

    Le protocole militaire effectué, il tendit son dossier avant de reculer d'un pas et de se mettre en position de repos comme il l'avait fait de nombreuses heures durant à West Point.