Cote à cote, glacée par le vent et la pluie, ils devaient présenter un spectacle risible pour un œil extérieur. Mais Nadja s’en moquait éperdument, même si une petite voix lui soufflait qu’elle allait être malade demain. Quand il évoqua son « inaptitude chronique à exprimer ce qu'il ressentais » elle rit tout bas et le serra contre elle doucement. Elle n’allait pas le contredire sur le sujet.
La suite la surpris un peu. Elle n’avait pas imaginé qu’il puisse lui même être considéré comme un trophée. Mais ça avait du sens, quelque part.
« - Je t’ai déjà dit que Clara, une amie d’enfance, avait un poster de toi dans sa chambre ? A peu pres à l’age que tu as aujourd’hui d’ailleurs. »
Et dans un costume finalement très similaire à celui qu’elle lui avait offert d’ailleurs, réalisa-t-elle.
« - Je peux t’assurer par contre, que je n’ai pas de réserve de bracelet pour me constituer une collection de héros de guerre. Honnêtement, si tu ne m’avais pas invité ce fameux soir, je n’aurai jamais osé te parler. C’est déjà bien assez difficile de coutoyer certaine personne au quotidien sur l’Achille. »
La suite lui fit regretter de ne pas être allé discuter avec les idiots qui lui étaient tombé dessus il y a quelques semaines. Elle avait respecté son souhait, en serrant les dents, mais comprendre les vrai raison de leur geste la mettait sérieusement en boule.
« - Zander, lâcha-t-elle, soudain très sérieuse, le dernier type qui a eut un geste déplacé envers moi y a perdu la main. Je t’assure que si tu avais abusé de moi, je te l’aurai fait payer. Ni toi ni moi n’avons voulu de ces trucs, mais tu n’en ai pas plus responsable que moi. On a déconné, mais on a déconné ensemble. »
Un sourire se dessina sur son visage quand il lui fit par de son choix. Ca lui coûtait probablement mais c’était une première victoire et elle saurait s’en contenter. Elle se tourna vers lui et l’embrassa doucement puis plus fougueusement à mesure que la tension des dernières minutes s’évacuait.
Ils furent soudain interrompu par des hurlements et des applaudissement un peu plus loin et elle comprit soudain que sa sortie brusque n’était pas passé inaperçue. Plusieurs clients du bar, dont Boyle, s’était rassemblé à la sortie et applaudissaient à la conclusion heureuse de leur dispute. Les cris joyeux de « vive les amoureux », « faite nous un bébé » et « Wonder Woman et James Bond » raisonnaient dans la ruelle. Heureusement, ils avaient parler assez bas pour que personne n’entendent ce qu’ils se disaient.
« - Bon, on va attraper la mort à rester la. Tu veux rentrer à la station, ou tu préfères affronter nos fans ?
Au moins, personne ne les jugeaient ici, bien au contraire.
La suite la surpris un peu. Elle n’avait pas imaginé qu’il puisse lui même être considéré comme un trophée. Mais ça avait du sens, quelque part.
« - Je t’ai déjà dit que Clara, une amie d’enfance, avait un poster de toi dans sa chambre ? A peu pres à l’age que tu as aujourd’hui d’ailleurs. »
Et dans un costume finalement très similaire à celui qu’elle lui avait offert d’ailleurs, réalisa-t-elle.
« - Je peux t’assurer par contre, que je n’ai pas de réserve de bracelet pour me constituer une collection de héros de guerre. Honnêtement, si tu ne m’avais pas invité ce fameux soir, je n’aurai jamais osé te parler. C’est déjà bien assez difficile de coutoyer certaine personne au quotidien sur l’Achille. »
La suite lui fit regretter de ne pas être allé discuter avec les idiots qui lui étaient tombé dessus il y a quelques semaines. Elle avait respecté son souhait, en serrant les dents, mais comprendre les vrai raison de leur geste la mettait sérieusement en boule.
« - Zander, lâcha-t-elle, soudain très sérieuse, le dernier type qui a eut un geste déplacé envers moi y a perdu la main. Je t’assure que si tu avais abusé de moi, je te l’aurai fait payer. Ni toi ni moi n’avons voulu de ces trucs, mais tu n’en ai pas plus responsable que moi. On a déconné, mais on a déconné ensemble. »
Un sourire se dessina sur son visage quand il lui fit par de son choix. Ca lui coûtait probablement mais c’était une première victoire et elle saurait s’en contenter. Elle se tourna vers lui et l’embrassa doucement puis plus fougueusement à mesure que la tension des dernières minutes s’évacuait.
Ils furent soudain interrompu par des hurlements et des applaudissement un peu plus loin et elle comprit soudain que sa sortie brusque n’était pas passé inaperçue. Plusieurs clients du bar, dont Boyle, s’était rassemblé à la sortie et applaudissaient à la conclusion heureuse de leur dispute. Les cris joyeux de « vive les amoureux », « faite nous un bébé » et « Wonder Woman et James Bond » raisonnaient dans la ruelle. Heureusement, ils avaient parler assez bas pour que personne n’entendent ce qu’ils se disaient.
« - Bon, on va attraper la mort à rester la. Tu veux rentrer à la station, ou tu préfères affronter nos fans ?
Au moins, personne ne les jugeaient ici, bien au contraire.