Une fois la confirmation de l'Achilles que la planète était sans danger, le C-101 quitta le hangar du vaisseau et se dirigea vers la surface. Vue de l'espace, Elyseus ressemblait à la terre avec ses océans et ses continents, mais il y avait quelques différences notables.
D'abords la température. Le climat de la planète était majoritairement tropical, ce qui donner un bon 25°C pour la température moyenne. Les déserts et les banquises, bien que présents, étaient d'une surface bien plus réduite que sur Terre.
Ensuite, on pouvait voir depuis l'orbite d'immense récifs coralliens délimitant des lagons d'une eau turquoise bordant des plages de sables blanc et noirs formant des côtes aux motifs zébrés. Pour l'instant, personne ne pouvait expliquer pourquoi les sables étaient différents et ne se mélangeaient pas.
La végétation était d'un vert intense, preuve de sa luxuriance et certaines plantes étaient bioluminescentes, ce qui pouvait créer des "tâches" de lumières diffuse de différentes couleurs éparpillés sur la face nocturne de la planète. Enfin, toujours sur la face nocturne, on pouvait remarquer des aurores boréales chatoyantes à toutes les latitudes. Un rapide examen du champ magnétique de la planète et de l'activité solaire ne montrait aucune anomalie quelconque. Ces aurores devaient sans doute être créées artificiellement par pur esthétisme.
Traversant l'atmosphère, l'équipage découvrit que l'air de la planète contenait des traces de substances euphorisante et énergisante. C'était bien sûr des doses extrêmement infimes, ils n'allaient pas se mettre à planer à la recherche du nirvana à la première bouchée d'air. En revanche, ces substances pourrait après plusieurs jours d'exposition, avoir des propriétés relaxante et revigorante sur l'organisme. Varcetti fit rapidement une petite analyse sur ces substances :
"D'après les analyses, ces substances ne provoqueront aucun contrecoup ou dépendance sur l'organisme... C'est le paradis des Hippies cette planète ! Tiens... C'est curieux. Au dessus de cet archipel isolé, il y a une autre substance détectée. Plus... *raclement de gorge*... aphrodisiaque... Je crois qu'on a trouvés le coin local des amoureux. Rassurez vous, le complexe est loin de cette zone."
Mei, la médecin du groupe, pouvait remarquer que les conclusions du scientifique était correcte, autant pour le côté médicale que pour sa nouvelle découverte. En parlant de complexe, le dernier était en vue, à partiellement recouvert par la végétation. Il était encore en bon état et son architecture témoignait d'un esthétisme certains. Pas de style distincts, on aurait dit un mélange harmonieux des styles architecturaux des Quatre Races.
Le C-101 se posa à bonne distance sur une zone herbeuse à la limite d'une des plages zébrés. Le chemin à suivre était simple : aller tout droit jusqu'au complexe à quelques centaines de mètres. Rien de dangereux sur les capteurs. Rien d'anormal si ce n'était l'atmosphère hippiesque. Il ne restait plus qu'à sortir du vaisseau...
D'abords la température. Le climat de la planète était majoritairement tropical, ce qui donner un bon 25°C pour la température moyenne. Les déserts et les banquises, bien que présents, étaient d'une surface bien plus réduite que sur Terre.
Ensuite, on pouvait voir depuis l'orbite d'immense récifs coralliens délimitant des lagons d'une eau turquoise bordant des plages de sables blanc et noirs formant des côtes aux motifs zébrés. Pour l'instant, personne ne pouvait expliquer pourquoi les sables étaient différents et ne se mélangeaient pas.
La végétation était d'un vert intense, preuve de sa luxuriance et certaines plantes étaient bioluminescentes, ce qui pouvait créer des "tâches" de lumières diffuse de différentes couleurs éparpillés sur la face nocturne de la planète. Enfin, toujours sur la face nocturne, on pouvait remarquer des aurores boréales chatoyantes à toutes les latitudes. Un rapide examen du champ magnétique de la planète et de l'activité solaire ne montrait aucune anomalie quelconque. Ces aurores devaient sans doute être créées artificiellement par pur esthétisme.
Traversant l'atmosphère, l'équipage découvrit que l'air de la planète contenait des traces de substances euphorisante et énergisante. C'était bien sûr des doses extrêmement infimes, ils n'allaient pas se mettre à planer à la recherche du nirvana à la première bouchée d'air. En revanche, ces substances pourrait après plusieurs jours d'exposition, avoir des propriétés relaxante et revigorante sur l'organisme. Varcetti fit rapidement une petite analyse sur ces substances :
"D'après les analyses, ces substances ne provoqueront aucun contrecoup ou dépendance sur l'organisme... C'est le paradis des Hippies cette planète ! Tiens... C'est curieux. Au dessus de cet archipel isolé, il y a une autre substance détectée. Plus... *raclement de gorge*... aphrodisiaque... Je crois qu'on a trouvés le coin local des amoureux. Rassurez vous, le complexe est loin de cette zone."
Mei, la médecin du groupe, pouvait remarquer que les conclusions du scientifique était correcte, autant pour le côté médicale que pour sa nouvelle découverte. En parlant de complexe, le dernier était en vue, à partiellement recouvert par la végétation. Il était encore en bon état et son architecture témoignait d'un esthétisme certains. Pas de style distincts, on aurait dit un mélange harmonieux des styles architecturaux des Quatre Races.
Le C-101 se posa à bonne distance sur une zone herbeuse à la limite d'une des plages zébrés. Le chemin à suivre était simple : aller tout droit jusqu'au complexe à quelques centaines de mètres. Rien de dangereux sur les capteurs. Rien d'anormal si ce n'était l'atmosphère hippiesque. Il ne restait plus qu'à sortir du vaisseau...