Aynira ne mit pas longtemps à trouver Plume contre un meuble à moitié sous un drap. Elle avait une plaie à la tempe et elle semblait inconsciente. Elle passa sa main au niveau du visage et... rien. Pas de respiration, rien du tout.
Son sang ne fit qu'un tour et son cœur grimpa dans les tours. Elle commençait à paniquer intérieurement alors qu'elle commença à utiliser son implant oculaire pour voir si elle parvenait à identifier le problème. Il fallait faire vite. Chaque seconde était compté.
Rien à la tête, le coup à la tempe n'était que superficiel. Là ! La gorge ! Quelque chose dans la trachée ! Un morceau de gâteau ? Il fallait faire vite. Elle se leva avec Plume dans les bras, complètement amorphe par l'inconscience et passa dans son dos, un pied entre ses jambes. Elle mit un poing au niveau du creux de l'estomac au dessus du nombril et sous les côtes et la seconde main sur la première. Elle commença ensuite a effectuer plusieurs traction à la fois vers elle et vers le haut. Le but étant de simuler une toux afin que l'air dans les poumons repousse le corps étranger.
Elle avait vue ça dans un documentaire, mais elle ne l'avait jamais fait... et ça se voyait. Ca n'avait pas l'air très efficace, ce qui fit paniquer davantage la Narisienne qui réessaya de plus en plus fort et ne s'arrêtant que lorsque qu'elle se rendit compte qu'elle risquait de lui faire plus mal qu'autre chose.
Les larmes commencèrent à couler. Elle n'avait pas le droit de la laisser ! Pas comme ça ! Elle la laissa retomber à genoux et se décala sur le côté. Sa dernière chance était une tape dans le dos suffisamment forte pour provoquer une toux. Elle n'aimait pas ça, mais pour la sauver, elle allait devoir la frapper. Elle donna une série de tapes dans le dos, suffisamment forte pour que le son se fasse entendre dans la pièce malgré les alarmes et les équipes médicales. Elle allait laissée des marques, mais elle n'avait pas le choix.
Si la manœuvre de Heimlich échoua, la succession de coup dans le dos fonctionna, le dernier coup, plus fort, parvint à dégager suffisamment d'air des poumons pour faire remonter le morceau de gâteau dans une série de toux aussi grasse que disgracieuse. Ce qui resta de la dernière bouchée de la pâtisserie meurtrière s'écrasa au sol. Plume était sauvée, mais encore inconsciente. Un médecin arriva, demandant à poser Plume sur le lit le plus proche le temps de surveiller son état et qu'elle se réveille.
Son sang ne fit qu'un tour et son cœur grimpa dans les tours. Elle commençait à paniquer intérieurement alors qu'elle commença à utiliser son implant oculaire pour voir si elle parvenait à identifier le problème. Il fallait faire vite. Chaque seconde était compté.
Rien à la tête, le coup à la tempe n'était que superficiel. Là ! La gorge ! Quelque chose dans la trachée ! Un morceau de gâteau ? Il fallait faire vite. Elle se leva avec Plume dans les bras, complètement amorphe par l'inconscience et passa dans son dos, un pied entre ses jambes. Elle mit un poing au niveau du creux de l'estomac au dessus du nombril et sous les côtes et la seconde main sur la première. Elle commença ensuite a effectuer plusieurs traction à la fois vers elle et vers le haut. Le but étant de simuler une toux afin que l'air dans les poumons repousse le corps étranger.
Elle avait vue ça dans un documentaire, mais elle ne l'avait jamais fait... et ça se voyait. Ca n'avait pas l'air très efficace, ce qui fit paniquer davantage la Narisienne qui réessaya de plus en plus fort et ne s'arrêtant que lorsque qu'elle se rendit compte qu'elle risquait de lui faire plus mal qu'autre chose.
Les larmes commencèrent à couler. Elle n'avait pas le droit de la laisser ! Pas comme ça ! Elle la laissa retomber à genoux et se décala sur le côté. Sa dernière chance était une tape dans le dos suffisamment forte pour provoquer une toux. Elle n'aimait pas ça, mais pour la sauver, elle allait devoir la frapper. Elle donna une série de tapes dans le dos, suffisamment forte pour que le son se fasse entendre dans la pièce malgré les alarmes et les équipes médicales. Elle allait laissée des marques, mais elle n'avait pas le choix.
Si la manœuvre de Heimlich échoua, la succession de coup dans le dos fonctionna, le dernier coup, plus fort, parvint à dégager suffisamment d'air des poumons pour faire remonter le morceau de gâteau dans une série de toux aussi grasse que disgracieuse. Ce qui resta de la dernière bouchée de la pâtisserie meurtrière s'écrasa au sol. Plume était sauvée, mais encore inconsciente. Un médecin arriva, demandant à poser Plume sur le lit le plus proche le temps de surveiller son état et qu'elle se réveille.