Plume semblait perdue dans ses pensées, disant faiblement qu'elle pensait encore faire une erreur. Il n'y a que le temps qui pourra lui donner tord. Rapidement, elle changea de conversation, une tentative de remonter l'ambiance. Bien trouvé. Elle aborda un moment plus tôt dans la journée juste avant d'arriver à la cabane. Elle avait enlevée son haut et passer de l'eau dans ses cheveux. Rien de grave sur le coup, mais la manière de faire était assez surprenante et il semblerait que Plume n'avait pas remarquée le sous entendue assez explicite qu'elle avait faite à ce moment :
"Une tête bizarre ? J'ai vraiment faite une tête bizarre quand t'as retirée ton haut avant de te vider une bouteille d'eau dans les cheveux. Le tout d'une manière des plus sensuelles ?"
Elle avait dit ça innocemment, ce n'était ni un reproche ni même quelque chose qu'elle avait détestée bien au contraire. Elle ne lui avait rien dit, pensant que c'était surement une erreur, même si une petite partie d'elle voulait que ce soit un geste volontaire. Mais la question qu'elle venait de poser effaça définitivement cette petite pensée.
La viande finit par être prête et c'est la Narisienne qui se chargea de la découpe et du service dans des petites assiettes en bois. Le soleil commençait à lécher l'horizon et disparaître peu à peu :
"On est pas bien là ? De la super nourriture, un super paysage et surtout une superbe compagnie... Je crois que j'aurais pas envie de partir finalement"
Le reste de la soirée continua en discussion plus légère, histoire d'oublier la petite ambiance du début. Finalement, la seule source de lumière était le feu de camp au dessus d'un ciel étoilée lumineux et les plats étaient bien entamés :
"Tu te rappelle sur Narisa le bain de minuit ? Bon y'a pas de bioluminescence, mais on a la mer"
"Une tête bizarre ? J'ai vraiment faite une tête bizarre quand t'as retirée ton haut avant de te vider une bouteille d'eau dans les cheveux. Le tout d'une manière des plus sensuelles ?"
Elle avait dit ça innocemment, ce n'était ni un reproche ni même quelque chose qu'elle avait détestée bien au contraire. Elle ne lui avait rien dit, pensant que c'était surement une erreur, même si une petite partie d'elle voulait que ce soit un geste volontaire. Mais la question qu'elle venait de poser effaça définitivement cette petite pensée.
La viande finit par être prête et c'est la Narisienne qui se chargea de la découpe et du service dans des petites assiettes en bois. Le soleil commençait à lécher l'horizon et disparaître peu à peu :
"On est pas bien là ? De la super nourriture, un super paysage et surtout une superbe compagnie... Je crois que j'aurais pas envie de partir finalement"
Le reste de la soirée continua en discussion plus légère, histoire d'oublier la petite ambiance du début. Finalement, la seule source de lumière était le feu de camp au dessus d'un ciel étoilée lumineux et les plats étaient bien entamés :
"Tu te rappelle sur Narisa le bain de minuit ? Bon y'a pas de bioluminescence, mais on a la mer"