Thena resta statique lorsque le jeune homme se recula et parti dans une longue auto-justification afin de rompre avec ce qu'ils étaient en train de faire.
La jeune femme se sentait étrange. Plusieurs sortes de sentiments et de pensées s'emmêlaient et se dissolvaient en elle. Ne sachant comment interpréter ces signaux contradictoires, elle arbora un masque neutre d'indifférence, dénué de sourire. Elle ne prit pas la peine de répondre quoi que ce soit à Thaïn. Elle se leva, se dirigea à l'autre bout de la pièce pour récupérer son pantalon et l'enfila d'un geste énergique, presque violent. Sans un regard pour le jeune homme, elle retourna près du matelas, souleva un coin et prit un débardeur noir qu'elle avait rangé en dessous il y a quelques jours.
C'est à ce moment là que l'électricité se coupa et Thena perçu un son qu'elle reconnu immédiatement.
La pièce se retrouva plongée dans le noir. Quelques secondes plus tard, le générateur de secours avait prit le relais et baignait la chambre d'une faible lueur verdâtre. La lampe grésilla et s'éteignit plusieurs fois avant de se stabiliser.
D'un air sombre, Thena tourna les talons et se précipita vers la porte. Elle l'ouvrit doucement et jeta un œil à l’extérieur. Il y avait peu de lumière dans le couloir, mais elle perçu une masse informe tout au bout, près du salon du personnel.
Elle se tourna vers Thaïn, plaqua un doigt sur ses lèvres et lui fit signe d'approcher et de regarder dans l’entrebâillement de la porte.
La lumière verdâtre du couloir vacillait, mais on pouvait voir que la masse était en fait un homme allongé au bout du couloir, mort ou inconscient. Lorsque l'électricité s'était coupé, Thena avait clairement entendu le son d'un zat. Y avait-il un tueur fou sur la station ? Une invasion ? Elle passait en revue tout les scénarios possibles en se rendant à l'évidence qu'il n'étaient pas armés, et que ce n'était pas bon.
La jeune femme se sentait étrange. Plusieurs sortes de sentiments et de pensées s'emmêlaient et se dissolvaient en elle. Ne sachant comment interpréter ces signaux contradictoires, elle arbora un masque neutre d'indifférence, dénué de sourire. Elle ne prit pas la peine de répondre quoi que ce soit à Thaïn. Elle se leva, se dirigea à l'autre bout de la pièce pour récupérer son pantalon et l'enfila d'un geste énergique, presque violent. Sans un regard pour le jeune homme, elle retourna près du matelas, souleva un coin et prit un débardeur noir qu'elle avait rangé en dessous il y a quelques jours.
C'est à ce moment là que l'électricité se coupa et Thena perçu un son qu'elle reconnu immédiatement.
La pièce se retrouva plongée dans le noir. Quelques secondes plus tard, le générateur de secours avait prit le relais et baignait la chambre d'une faible lueur verdâtre. La lampe grésilla et s'éteignit plusieurs fois avant de se stabiliser.
D'un air sombre, Thena tourna les talons et se précipita vers la porte. Elle l'ouvrit doucement et jeta un œil à l’extérieur. Il y avait peu de lumière dans le couloir, mais elle perçu une masse informe tout au bout, près du salon du personnel.
Elle se tourna vers Thaïn, plaqua un doigt sur ses lèvres et lui fit signe d'approcher et de regarder dans l’entrebâillement de la porte.
La lumière verdâtre du couloir vacillait, mais on pouvait voir que la masse était en fait un homme allongé au bout du couloir, mort ou inconscient. Lorsque l'électricité s'était coupé, Thena avait clairement entendu le son d'un zat. Y avait-il un tueur fou sur la station ? Une invasion ? Elle passait en revue tout les scénarios possibles en se rendant à l'évidence qu'il n'étaient pas armés, et que ce n'était pas bon.