Jacob, après avoir marché en état de lassitude et de tristesse profonde aussi lentement que jamais dans les couloirs de la station, était arrivé dans ses quartiers.
Il ferma la porte à clé de façon à ce que personne ne puisse le déranger puis se jeta sur le lit pour pleurer tout ce qu’il avait à pleurer.
Il n’était vraiment pas beau à voir, c’était encore pire que lorsqu’il avait perdu Sophie.
Il ne pourrait jamais oublier les abominations qu’il avait perpétrées sous la maladie.
*je mérite la prison à vie voir la peine capitale pour ce que j’ai fait*
En effet, il avait des morts sur la conscience et cela ne laissait jamais personne indifférent, c’était comme si une partie de son âme s’était évaporée en même temps qu’il commettait l’irréparable et maintenant il s’en voulait énormément.
C’est à ce moment là qu’Aeryn tapa à sa porte et demanda d’ouvrir.
Tout d’abord, il ne voulu pas le faire, sachant très bien qu’elle allait l’accuser de ce qu’il avait fait et elle en avait d’ailleurs tout à fait le droit.
Puis, face à l’insistance de la jeune femme et puisque c’était elle la chef de la station, il alla d’un pas peu rassuré l’ouvrir, s’attendant à ce qu’elle lui crie dessus en mettant fin à leur amitié.
*de toute façon, ce n’est rien que ce que je mérite !*
Une fois la porte déverrouillée, il retourna s’asseoir sur son lit.
Il ferma la porte à clé de façon à ce que personne ne puisse le déranger puis se jeta sur le lit pour pleurer tout ce qu’il avait à pleurer.
Il n’était vraiment pas beau à voir, c’était encore pire que lorsqu’il avait perdu Sophie.
Il ne pourrait jamais oublier les abominations qu’il avait perpétrées sous la maladie.
*je mérite la prison à vie voir la peine capitale pour ce que j’ai fait*
En effet, il avait des morts sur la conscience et cela ne laissait jamais personne indifférent, c’était comme si une partie de son âme s’était évaporée en même temps qu’il commettait l’irréparable et maintenant il s’en voulait énormément.
C’est à ce moment là qu’Aeryn tapa à sa porte et demanda d’ouvrir.
Tout d’abord, il ne voulu pas le faire, sachant très bien qu’elle allait l’accuser de ce qu’il avait fait et elle en avait d’ailleurs tout à fait le droit.
Puis, face à l’insistance de la jeune femme et puisque c’était elle la chef de la station, il alla d’un pas peu rassuré l’ouvrir, s’attendant à ce qu’elle lui crie dessus en mettant fin à leur amitié.
*de toute façon, ce n’est rien que ce que je mérite !*
Une fois la porte déverrouillée, il retourna s’asseoir sur son lit.