« - Des goûts de luxe, de suite, râla-t-elle pour la forme… T’as qu’a pas aussi mal m’habituer aussi. J’étais une fille simple avant de te connaître. Qui s’amuse à me traîner de plages paradisiaques en palace des qu’on a un week-end de libre. Forcement, j’y prend goût. »
Ca pour y avoir prit goût… Elle qui n’avais jamais connu, quasiment, que les rues sordides des bas quartiers de sa ville natale puis les quartier militaires des divers vaisseaux sur lesquels elle avait été affectée, il y avait un sérieux monde. Tout cela lui faisait penser à un vieux film qu’elle avait vu un jour, mais impossible de se souvenir du titre évidemment : My fair quelque chose ?
Le sujet de l’argent était légèrement plus sensible et elle insista un peu.
« - Justement. On en avait parlé une fois ou deux mais si tu dois faire quelques extra dans le coin, j’aimerai bien en être. Je sais que t’as pas forcément besoin de moi mais je me sentirai un peu utile, tu comprends ? »
Elle éclata de rire quand il lui expliqua sa méthode à l’envers. C’est vrai qu’ils n’avaient pas fait vraiment les choses dans l’ordre tous les deux mais ça lui convenait plutôt bien. Leur histoire était clairement atypique mais ni l’un ni l’autre n’étaient de toute façon des gens « normaux ».
Elle sursauta quand il vint la chatouiller avant de se plaquer contre lui.
« - J’ai brisé des poignets pour moins que ça… tu comptes te faire pardonner comment ? »
Il eut tout le loisir de se faire pardonner avant que le traiteur n’arrive. Pendant que Zander observait le cuistot avec attention, Nadja passa sous la douche fraîche pour se décontracter et passa ensuite une tenue plus adaptée que son short de randonnée.
Une fois seuls, elle s’installa à table et leva son verre de vin blanc (ou ce qui en tenait lieu ici en tout cas) et trinqua, les yeux brillants.
« - Merci, je n’ai pas al moindre idée de ce que peuvent être ses machins dans mon assiette mais vu le mal que vous vous etes donné, je suis sur que ca doit valoir son pesant d’or. »
Ca pour y avoir prit goût… Elle qui n’avais jamais connu, quasiment, que les rues sordides des bas quartiers de sa ville natale puis les quartier militaires des divers vaisseaux sur lesquels elle avait été affectée, il y avait un sérieux monde. Tout cela lui faisait penser à un vieux film qu’elle avait vu un jour, mais impossible de se souvenir du titre évidemment : My fair quelque chose ?
Le sujet de l’argent était légèrement plus sensible et elle insista un peu.
« - Justement. On en avait parlé une fois ou deux mais si tu dois faire quelques extra dans le coin, j’aimerai bien en être. Je sais que t’as pas forcément besoin de moi mais je me sentirai un peu utile, tu comprends ? »
Elle éclata de rire quand il lui expliqua sa méthode à l’envers. C’est vrai qu’ils n’avaient pas fait vraiment les choses dans l’ordre tous les deux mais ça lui convenait plutôt bien. Leur histoire était clairement atypique mais ni l’un ni l’autre n’étaient de toute façon des gens « normaux ».
Elle sursauta quand il vint la chatouiller avant de se plaquer contre lui.
« - J’ai brisé des poignets pour moins que ça… tu comptes te faire pardonner comment ? »
Il eut tout le loisir de se faire pardonner avant que le traiteur n’arrive. Pendant que Zander observait le cuistot avec attention, Nadja passa sous la douche fraîche pour se décontracter et passa ensuite une tenue plus adaptée que son short de randonnée.
Une fois seuls, elle s’installa à table et leva son verre de vin blanc (ou ce qui en tenait lieu ici en tout cas) et trinqua, les yeux brillants.
« - Merci, je n’ai pas al moindre idée de ce que peuvent être ses machins dans mon assiette mais vu le mal que vous vous etes donné, je suis sur que ca doit valoir son pesant d’or. »