Charles non plus ne dormit pas vraiment bien cette nuit-là. Il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas traité de symptôme post traumatique grâce à cette méthode et il n’était même pas sûr que cela fonctionne sur une non humaine comme Plume. Mais l’année écoulée à l’aider lui avait appris quelque chose, c’est que sur le plan de la psyché, elle se comportait comme tous les patients qu’il avait pu rencontrer.
Elle lui avait demandé de se retrouver à l’extérieur et il choisit le petit jardin attenant à sa maison. Il fallait au maximum limiter les influence extérieure pendant la séance. D’un autre côté, si cet environnement pouvait aider sa patiente a se relaxer, il ne fallait pas hésiter.
A l’heure exacte, Plume sonna et il alla l’accueillir lui-même. IL avait préparé du thé et une carafe d’eau, disposé sur une table devant eux, ainsi que du papier et de quoi écrire.
« - Installez Plume. Comme je vous l’ai dit hier, nous allons essayer aujourd’hui quelque chose de nouveau. Cela sera sans doute éprouvant mais c’est une méthode qui a fait ses preuves. On l’utilise beaucoup dans le cas de militaire traumatisé au combat ou d’abus sexuel. Si à un quelconque moment, vous vous sentez sur le point de perdre pied, nous interromprons la séance et reprendrons dans quelques jours. Certains moments vont surement vous paraitre un peu étrange mais vous n’y ferez bientôt plus attention, vous verrez. »
Il voyait bien que son niveau de stress atteignait toujours des sommets et essayait d’être le plus rassurant possible. Après quelques secondes il reprit.
« - Je vous poserais régulièrement des questions sur votre ressenti. A la différence de nos précédentes séances, une phrase ou bien un seul mot seront suffisant. »
Voilà qui devrait parfaitement lui convenir, vu que généralement il fallait lui arracher les mots.
« - Mais avant toute chose, je voudrais que nous évoquions le but de cette première séance. Je voudrais que vous vous concentriez sur un élément de votre passé sur lequel travaillez. Vous n’avez pas besoin de me le raconter en détail. Juste le résumer en quelques phrase afin que je puisse vous accompagner. Pouvez-vous faire cela ? »
Elle lui avait demandé de se retrouver à l’extérieur et il choisit le petit jardin attenant à sa maison. Il fallait au maximum limiter les influence extérieure pendant la séance. D’un autre côté, si cet environnement pouvait aider sa patiente a se relaxer, il ne fallait pas hésiter.
A l’heure exacte, Plume sonna et il alla l’accueillir lui-même. IL avait préparé du thé et une carafe d’eau, disposé sur une table devant eux, ainsi que du papier et de quoi écrire.
« - Installez Plume. Comme je vous l’ai dit hier, nous allons essayer aujourd’hui quelque chose de nouveau. Cela sera sans doute éprouvant mais c’est une méthode qui a fait ses preuves. On l’utilise beaucoup dans le cas de militaire traumatisé au combat ou d’abus sexuel. Si à un quelconque moment, vous vous sentez sur le point de perdre pied, nous interromprons la séance et reprendrons dans quelques jours. Certains moments vont surement vous paraitre un peu étrange mais vous n’y ferez bientôt plus attention, vous verrez. »
Il voyait bien que son niveau de stress atteignait toujours des sommets et essayait d’être le plus rassurant possible. Après quelques secondes il reprit.
« - Je vous poserais régulièrement des questions sur votre ressenti. A la différence de nos précédentes séances, une phrase ou bien un seul mot seront suffisant. »
Voilà qui devrait parfaitement lui convenir, vu que généralement il fallait lui arracher les mots.
« - Mais avant toute chose, je voudrais que nous évoquions le but de cette première séance. Je voudrais que vous vous concentriez sur un élément de votre passé sur lequel travaillez. Vous n’avez pas besoin de me le raconter en détail. Juste le résumer en quelques phrase afin que je puisse vous accompagner. Pouvez-vous faire cela ? »