Zander sourit. Non, vivre avec quelqu'un ne pouvait pas être aussi simple que ça. Pas sur le long terme en tout cas… Quand aux avantages, pour l'instant, ils ne lui sautaient pas tous aux yeux. Enfin, il verrait bien en espérant que ça collerait entre eux.
Quand elle mentionna le fait de devoir changer ses papiers d'identité, il lui fallut quelques secondes pour comprendre ce qu'elle voulait dire. Et il s'arrêta net et la fixa, complètement pris au dépourvu, incapable de répondre quoi que ce soit. Puis il se laissa entraîner par la suite et oublia ses propos.
Il ouvrit les yeux en la sentant bouger légèrement. Il trouvait cela étrange de se réveiller avec quelqu'un à ses côtés. Cela faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Enfin, pas avec quelqu'on dont il était censé être très proche en tout cas.
Il n'avait pas du tout envie de bouger et préféra rester là à profiter de ce moment de quiétude. Il se sentait trop bien pour briser le moment. Et puis il n'avait aucune obligation de se lever et pouvait donc traîner autant qu'il le voulait, ce qui n'était pas son cas à elle, il le savait. Il déposa un baiser sur sa nuque.
« Bonjour, toi. Pas moyen que tu te fasses porter pâle, j'imagine ? » demanda-t-il.
« Tu prends quoi le matin pour déjeuner ? » dit-il en s'asseyant au bout de quelques minutes.
Quand elle mentionna le fait de devoir changer ses papiers d'identité, il lui fallut quelques secondes pour comprendre ce qu'elle voulait dire. Et il s'arrêta net et la fixa, complètement pris au dépourvu, incapable de répondre quoi que ce soit. Puis il se laissa entraîner par la suite et oublia ses propos.
Il ouvrit les yeux en la sentant bouger légèrement. Il trouvait cela étrange de se réveiller avec quelqu'un à ses côtés. Cela faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Enfin, pas avec quelqu'on dont il était censé être très proche en tout cas.
Il n'avait pas du tout envie de bouger et préféra rester là à profiter de ce moment de quiétude. Il se sentait trop bien pour briser le moment. Et puis il n'avait aucune obligation de se lever et pouvait donc traîner autant qu'il le voulait, ce qui n'était pas son cas à elle, il le savait. Il déposa un baiser sur sa nuque.
« Bonjour, toi. Pas moyen que tu te fasses porter pâle, j'imagine ? » demanda-t-il.
« Tu prends quoi le matin pour déjeuner ? » dit-il en s'asseyant au bout de quelques minutes.