Après un petit déjeuner presque aussi copieux que le diner du soir, Nadja et Mei sortirent en voiture vers un centre commercial tout proche. Le médecin avait appelée un taxi qui était passé les prendre devant son domicile. L’ex marine portait sa casquette enfoncée jusqu’aux yeux et évitait au maximum de regarder autre chose que le siège devant elle.
C’était rageant. Elle aurait voulu tout voir, tout entendre, tout sentir. Au lieu de ça, elle se recroquevillait dans sa coquille et attendait la fin du trajet avec une impatience grandissante.
Heureusement le voyage fut rapide et le taxi les déposa dans un parking souterrain ce qui fit soupirer Nadja d’aise.
« - Ça va mieux. Tu crois que je finirai par m’y habituer ? »
Elles avaient choisi cette zone commerciale après le petit déjeuner. Une centaine de boutique sur plusieurs niveaux sans avoir à sortir à l’extérieur. Nadja trouverait sans doute ce qu’elle cherchait et pourrait se faire une idée de l’argent dont elle disposait.
Il était tôt, mais il y avait déjà du monde. Un escalier roulant les mena au rez-de-chaussée et Nadja sourit en découvrant ce qui était finalement similaire aux galeries commerciales qu’elle avait pu visiter à son époque. Des hommes, des femmes des enfants, en train de dépenser leur argent joyeusement… et des marchands en train de compter leur argent.
Son œil exercé repéra également les services de sécurité qui allaient et venaient dans les allées. Leur présence discrète mais nombreuse la surprit.
« - Y a beaucoup d’agent non ? C’est normal ? »
C’était rageant. Elle aurait voulu tout voir, tout entendre, tout sentir. Au lieu de ça, elle se recroquevillait dans sa coquille et attendait la fin du trajet avec une impatience grandissante.
Heureusement le voyage fut rapide et le taxi les déposa dans un parking souterrain ce qui fit soupirer Nadja d’aise.
« - Ça va mieux. Tu crois que je finirai par m’y habituer ? »
Elles avaient choisi cette zone commerciale après le petit déjeuner. Une centaine de boutique sur plusieurs niveaux sans avoir à sortir à l’extérieur. Nadja trouverait sans doute ce qu’elle cherchait et pourrait se faire une idée de l’argent dont elle disposait.
Il était tôt, mais il y avait déjà du monde. Un escalier roulant les mena au rez-de-chaussée et Nadja sourit en découvrant ce qui était finalement similaire aux galeries commerciales qu’elle avait pu visiter à son époque. Des hommes, des femmes des enfants, en train de dépenser leur argent joyeusement… et des marchands en train de compter leur argent.
Son œil exercé repéra également les services de sécurité qui allaient et venaient dans les allées. Leur présence discrète mais nombreuse la surprit.
« - Y a beaucoup d’agent non ? C’est normal ? »