Walter entendit le patient du docteur Stanford répondre à la jeune femme avec une extrême courtoisie. Sur le coup in ne sut comment interpréter ce que l'homme disait, était il ironique ou bien cela était il naturel dans son caractère en de telles circonstances ? Et alors qu'il l'entendait, une expression lui vint à l'esprit.
*Trop poli pour être honnête...*
Le militaire eut un sourire intérieur alors que son visage était impassible, regardant ce qui se déroulait sous ses yeux. Il savait qu'il avait laissé peu de marge de manœuvre à la jeune femme. Et bien qu'il restait une faible marge d'erreur sur son jugement les précautions étaient de mise compte tenue des informations. Tonatuih avait placé des agents dormant dans la station et il pensait bien être devant l'un d'eux. Le militaire voyez très bien les manœuvres rhétoriques et psychologique qu'il employait avec la jeune femme.
*Lui faire croire qu'elle est libre de ses choix... Un vrai manipulateur celui là.*
Pensa t'il alors qu'il entendait des mots qu'il n'avait aucune envie d'entendre. Le première classe Wallas voulait le moins de personne possible présente quand il administrerait la décharge de l'arme. Il ne pouvait risquer que l'information s'évente pour le moment. Cette affaire réglée il avait pensé à un protocole pour que tous l'équipage du JPS passe à cette douloureuse mais nécessaire expérience. Il se tourna vers le patient de la jeune docteur et fronça un instant les sourcils.
"Nous devons nous entretenir entre responsables avec le docteur Fellner et le docteur Stanford Monsieur Harrison, si cela ne vous dérange pas, il vous faudra prendre rendez vous pour le rencontrer"
Walter insista sur sa dernière phrase. Il lui faudrait déjà expliquer les circonstances à Eric Fellner mais il avait confiance en son pragmatisme, de plus sa position au sein du JPS lui ferait garder le silence. Il n'avait en revanche aucune certitude concernant l'homme devant lequel il se trouvait. Walter esquissa un sourire de satisfaction, il venait d'obtenir ce qu'il voulait.
"ça n'est pas tant pour me rassurer que pour le bon fonctionnement du JPS. Je pense que prévenir votre supérieur dans ce genre de circonstances est la moindre des choses."
Le militaire avait répondu sur un ton des plus naturel, du moins autant qu'il pouvait l'être avec le climat de suspicions qui planait. Quand la jeune femme monta sur ses grands chevaux et se montra indigner de l'acte de Walter celui ci ne broncha pas. A ses yeux sa réaction était démesuré par rapport à l'acte en question.
*Je ne sais pas qui essai de la jouer à l'envers à qui... Mais une chose est certaine la réaction est un brin démesurée...*
En pensant cela, il ne peut s’empêcher de penser à Thomas et à sa réaction, à son acte démesuré. Se pouvait il que le médecin qui la soignait ait été atteinte aussi par ce mal ? Une résurgence du mal de Chulak serait à la source de ces comportements d'après ces dires. Walter n'y connaissait rien en médecine mais il n'avait aucune envie de revivre ça. Quoi qu'il en soit le militaire préféra garder le silence en voyant l'irritation de la jeune femme. Il fallait parfois savoir se taire et cette fois en faisait parti.
Quand il vit la jeune femme s'inoculer elle même le contenue de la seringue dans sa cuisse. Il en fut plus que surpris à quoi bon faire cela ? Le première classe Wallas n'y comprit absolument rien, cet acte n'avait aucun sens à ses yeux et ne prouvait rien de plus que ce qu'apprendrait la discussion avec le responsable médicale de la station. A moins que...
*A moins que la seringue ne contienne une substance mortelle et qu'une nouvelle fois un suicide se déroule sous ses yeux !*
Si la jeune femme souffrait du même mal que Thomas cette option n'était pas à écarter, il s'attendait à voir la jeune femme s’effondrer d'un moment à l'autre mais rien n'y fit. Il la vit même avancer vers la porte de la salle de soin du docteur Fellner avec aucune difficulté. Cette acte l'obséda jusqu’à la porte de la pièce qu'il gagnait. ça n'a vraiment aucun sens... Finit il par essayer d'admettre sans chercher plus loin...
*Trop poli pour être honnête...*
Le militaire eut un sourire intérieur alors que son visage était impassible, regardant ce qui se déroulait sous ses yeux. Il savait qu'il avait laissé peu de marge de manœuvre à la jeune femme. Et bien qu'il restait une faible marge d'erreur sur son jugement les précautions étaient de mise compte tenue des informations. Tonatuih avait placé des agents dormant dans la station et il pensait bien être devant l'un d'eux. Le militaire voyez très bien les manœuvres rhétoriques et psychologique qu'il employait avec la jeune femme.
*Lui faire croire qu'elle est libre de ses choix... Un vrai manipulateur celui là.*
Pensa t'il alors qu'il entendait des mots qu'il n'avait aucune envie d'entendre. Le première classe Wallas voulait le moins de personne possible présente quand il administrerait la décharge de l'arme. Il ne pouvait risquer que l'information s'évente pour le moment. Cette affaire réglée il avait pensé à un protocole pour que tous l'équipage du JPS passe à cette douloureuse mais nécessaire expérience. Il se tourna vers le patient de la jeune docteur et fronça un instant les sourcils.
"Nous devons nous entretenir entre responsables avec le docteur Fellner et le docteur Stanford Monsieur Harrison, si cela ne vous dérange pas, il vous faudra prendre rendez vous pour le rencontrer"
Walter insista sur sa dernière phrase. Il lui faudrait déjà expliquer les circonstances à Eric Fellner mais il avait confiance en son pragmatisme, de plus sa position au sein du JPS lui ferait garder le silence. Il n'avait en revanche aucune certitude concernant l'homme devant lequel il se trouvait. Walter esquissa un sourire de satisfaction, il venait d'obtenir ce qu'il voulait.
"ça n'est pas tant pour me rassurer que pour le bon fonctionnement du JPS. Je pense que prévenir votre supérieur dans ce genre de circonstances est la moindre des choses."
Le militaire avait répondu sur un ton des plus naturel, du moins autant qu'il pouvait l'être avec le climat de suspicions qui planait. Quand la jeune femme monta sur ses grands chevaux et se montra indigner de l'acte de Walter celui ci ne broncha pas. A ses yeux sa réaction était démesuré par rapport à l'acte en question.
*Je ne sais pas qui essai de la jouer à l'envers à qui... Mais une chose est certaine la réaction est un brin démesurée...*
En pensant cela, il ne peut s’empêcher de penser à Thomas et à sa réaction, à son acte démesuré. Se pouvait il que le médecin qui la soignait ait été atteinte aussi par ce mal ? Une résurgence du mal de Chulak serait à la source de ces comportements d'après ces dires. Walter n'y connaissait rien en médecine mais il n'avait aucune envie de revivre ça. Quoi qu'il en soit le militaire préféra garder le silence en voyant l'irritation de la jeune femme. Il fallait parfois savoir se taire et cette fois en faisait parti.
Quand il vit la jeune femme s'inoculer elle même le contenue de la seringue dans sa cuisse. Il en fut plus que surpris à quoi bon faire cela ? Le première classe Wallas n'y comprit absolument rien, cet acte n'avait aucun sens à ses yeux et ne prouvait rien de plus que ce qu'apprendrait la discussion avec le responsable médicale de la station. A moins que...
*A moins que la seringue ne contienne une substance mortelle et qu'une nouvelle fois un suicide se déroule sous ses yeux !*
Si la jeune femme souffrait du même mal que Thomas cette option n'était pas à écarter, il s'attendait à voir la jeune femme s’effondrer d'un moment à l'autre mais rien n'y fit. Il la vit même avancer vers la porte de la salle de soin du docteur Fellner avec aucune difficulté. Cette acte l'obséda jusqu’à la porte de la pièce qu'il gagnait. ça n'a vraiment aucun sens... Finit il par essayer d'admettre sans chercher plus loin...