Eric était dans l'ascenseur accompagné d'un militaire, il n'avait aucune idée de qui il était réellement. Ni qu'il avait dans sa poche du sang de ce même homme. Il était blessé et avait été soigné de façon pour le moins rudimentaire. Dans sa tête il n'avait que cette trahison et cet homme qui voulait lui voler ses recherches ! Il le pensait aussi faible que ça ?
*Pour qui me prend t'il ? Pour un naif né de la dernière pluie ! Un généticien incompétent ?*
Les idées fusaient dans son esprit, était il seul dans ce complot qui visait ses recherches. Et ce piètre défis qu'on lui avait lancé avec cette épidémie ! Une épidémie était elle réelle au moins, Eric serra le tube de sang dans la poche de sa veste. Il fallait qu'il en ai le cœur net !
*Si je trouve cette saleté de faut médecin dans le laboratoire à voler mes recherches, j'aurais un specimen sur lequel essayer ce fouttu sang et voir de quoi il retourne !*
Le généticien bouillait intérieurement. Ses pensées partaient en tous sens. Il tourna le regard vers le militaire à ses cotés.
"Je sais pas qui vous à rafistolé mais c'est du sale boulot !"
Son manque de tact était pour le moins flagrant dans l'instant. Il lorgna un peu plus sur les blessures de l'homme en ce disant qu'il faudrait rapidement qu'il soit mieux soigné. Il ne put s’empêcher de voir un point de sang comme si on lui avait prélevé du sang sur son bras. Il allait lui poser une question importante quand l'ascenseur arriva au pont 2, les portes avaient été littéralement arrachées. Il vit un autre militaire lui ordonnant de sortir au plus vite. Ne comprenant pas pourquoi, il n'eut pas le temps de comprendre qu'on le jetait en dehors de l'ascenseur. Il s'écrasa sur le sol en finissant par glisser sur quelques centimètre. L'enfer remonta alors des niveaux inférieur. Des flammes, des craquements inquiétant et le spectacle impressionnant de l'ascenseur projeté et compressé vers le haut soufflé par l'explosion.
Eric regarda autour de lui et toucha son corps comme pour s'assurer qu'il était encore entier...Légèrement troublé il ne mit néanmoins pas longtemps à se remettre debout et sans trop écouter les soucis du militaire qui lui passait très loin au dessus de lui il fila vers le laboratoire de médecine. Sa mâchoire était serrée. On voulait lui voler ses recherches et le mettre au défis ! On ne lui volerait rien du tout et il allait leur montrer à tous qui il était !
*Pour qui me prend t'il ? Pour un naif né de la dernière pluie ! Un généticien incompétent ?*
Les idées fusaient dans son esprit, était il seul dans ce complot qui visait ses recherches. Et ce piètre défis qu'on lui avait lancé avec cette épidémie ! Une épidémie était elle réelle au moins, Eric serra le tube de sang dans la poche de sa veste. Il fallait qu'il en ai le cœur net !
*Si je trouve cette saleté de faut médecin dans le laboratoire à voler mes recherches, j'aurais un specimen sur lequel essayer ce fouttu sang et voir de quoi il retourne !*
Le généticien bouillait intérieurement. Ses pensées partaient en tous sens. Il tourna le regard vers le militaire à ses cotés.
"Je sais pas qui vous à rafistolé mais c'est du sale boulot !"
Son manque de tact était pour le moins flagrant dans l'instant. Il lorgna un peu plus sur les blessures de l'homme en ce disant qu'il faudrait rapidement qu'il soit mieux soigné. Il ne put s’empêcher de voir un point de sang comme si on lui avait prélevé du sang sur son bras. Il allait lui poser une question importante quand l'ascenseur arriva au pont 2, les portes avaient été littéralement arrachées. Il vit un autre militaire lui ordonnant de sortir au plus vite. Ne comprenant pas pourquoi, il n'eut pas le temps de comprendre qu'on le jetait en dehors de l'ascenseur. Il s'écrasa sur le sol en finissant par glisser sur quelques centimètre. L'enfer remonta alors des niveaux inférieur. Des flammes, des craquements inquiétant et le spectacle impressionnant de l'ascenseur projeté et compressé vers le haut soufflé par l'explosion.
Eric regarda autour de lui et toucha son corps comme pour s'assurer qu'il était encore entier...Légèrement troublé il ne mit néanmoins pas longtemps à se remettre debout et sans trop écouter les soucis du militaire qui lui passait très loin au dessus de lui il fila vers le laboratoire de médecine. Sa mâchoire était serrée. On voulait lui voler ses recherches et le mettre au défis ! On ne lui volerait rien du tout et il allait leur montrer à tous qui il était !