Paquet surprise

La station partait en lambeau et soudain, le sol s'inclina dangereusement. Ted avait, comme d'habitude, finit par céder aux suppliques de Noa et avait balancer une Miccah soudainement épileptique par dessus son épaule. Le trio était parvenu à quitter la salle avant que la baie vitrée ne cède et déverse ses langues de feu dans toute la pièce.

"Par où ?!"

Le militaire suivit Noa jusqu'à une capsule de survie qui semblait bien trop étroite pour contenir trois personnes adultes. heureusement, la goa'uld n'était pas bien épaisse. Ils s'y entassèrent tant bien que mal.

*C'est de pire en pire !*

*Ne m'en parles pas !*

La chaleur était étouffante et il n'y avait aucun doute que si la température ne les tuait pas, ils finiraient asphyxiés avant même d'avoir une chance de toucher le sol. D'ailleurs quelque chose clochait.

"Est-ce qu'on n'est pas sensé ralentir ?"

Ted croisa maladroitement le regard de Noa, par dessus le corps convulsant de Nadira. Mais, avant qu'il ne puisse réellement comprendre ce qui allait se produire, le décor changea entièrement et il s'effondra sur un sol métallique. Un coup d'oeil autour de lui lui permit de constater qu'ils étaient à bord d'un C-101 et donc, d'un vaisseau allié. Enfin.

"C'est pas trop t…"

Morgan ne put pas finir sa phrase que, déjà, il avait les bras entravés par des liens en plastique et la bouche maintenue fermé par du scotch désagréable.

*C'est quoi, ça encore ? Il est pas sensé être de notre côté celui-là ?*

*J'en ai marre ! C'est n'importe quoi !*

Le militaire se débattit comme il put en lançant des regards noirs autour de lui. Qu'est-ce qui allait encore lui tomber dessus maintenant ? La seule chose qui le rassurait était de voir que Miccah avait subit le même sort. Au moins, le goa'uld ne pourrait pas s'échapper. Du moins, en théorie, …

Alors que Noa se releva avec Nadira inconsciente dans ses bras, une soudaine fatigue lui coupa les jambes. Et de nouveau, malgré la terrible réalité du monde qui s'écroulait littéralement autour de lui, il fut pris d'un vertige intérieur immense : il se sentait vide, et privé d'une énergie dont il avait plus que jamais besoin.
Ted chargea le corps de Nadira sur son épaule et secoua Noa en lui demandant la direction à prendre. L'informaticien, réussi à se ressaisir, et libéré du poids de l'égyptienne dans ses bras, il pu courir à l'extérieur de la salle, entrainant Ted derrière lui. Il naviguait en plein cauchemar : tout autour de lui n'était plus que carcasse bouillante se désagrégeant dans l'atmosphère. Il n'arrivait presque plus à respirer et la chaleur était telle qu'il avait l'impression de sentir l'odeur de sa peau en train de brûler. Il fallait qu'il trouve un moyen de sortir d'ici. Personne n'avait répondu à son SOS. Personne ne viendrait les secourir. Il fallait que Ted et Nad s'en sorte. Oui.. il le fallait. A tout prix...

Soudain il les vit : les espaces pour les capsules de sauvetages. Il en restait une, miraculeuse, et tous s'y entassèrent. L'espace était si exigüe que Noa cru perdre connaissance. Ted lui demanda quelque chose et Noa lui adressa un regard paniqué en guide de réponse : oui ils étaient censé ralentir... Ils étaient censés être seuls à bord. Nadira coincée entre eux d'eux était en train de convulser et l'informaticien cru que c'était la fin. Il chercha la main de Ted, en vain. Il aurait voulu lui dire des dernières paroles, une excuse... en vain.

Puis le décor changea subitement alors qu'une lumière blanche les aveugla. Il s'effondra sur Ted et roula sur le sol métallique qui les accueillit. Avant qu'il n'ai pu réaliser quoi que ce soit, il vit des hommes se jeter sur son compagnon pour le ligoter et le baillonner.

" Hey ! Mais qu'est ce que vous faites ?" hurla t-il tout à coup avec un regain d'énergie que cette situation lui imposait.
Les hommes l'attrapèrent à son tour et lui attachèrent les mains dans le dos.

" Mais non, attendez ! Vous devez savoi..." commença t-il avant qu'un large morceau de scotch ne vienne lui barrer la bouche.

Il se débattit sur lui-même, se tordit dans tous les sens avec une énergie nouvelle. Ses hurlements d'indignation étouffés par le baillon accompagnait ses gesticulations inutiles. Au bout de quelques minutes, il se résigna et se laissa assoir le dos contre la paroi intérieure. Il bouillonnait d'une colère noire, qui s'évapora rapidement dans une fatigue résignée. Le sentiment de vide le prit à la gorge de nouveau et une étrange pensée lui vint :
* Je suis seul.. seul...*
L'écho de ses pensées lui répondit. Xinan n'était plus là, et il n'aurait jamais cru qu'il aurait laissé un tel vide.

Noa se calma enfin et ferma les yeux en respirant doucement, la tête penchée en arrière posée contre la paroi fraiche.
Ils étaient saufs et c'est tout ce qui importait.

Dieu reconnaîtra les siens

C-101 de Guerre Électronique "Déferlante Bagration"

Suite https://sgz-rpg.forumactif.org/t3402p75-envol-de-l-aigle-achilles-hangar-a-vaisseaux#64545

Un moment de folie avait régné dans l’habitacle du Cargo, pendant qu'à l'extérieur, le F-311 du Capitaine Bolger, surveillait l'Espace.

Le Lieutenant Jefferson recommençait à scruté avec ses instrument la structure de l'ancien JLS, le Caporal Takata P-90 aux points, surveillait leur prise, le Caporal Millan rangeait les rouleaux de scotches et les réflexes, en vu d'une utilisation rapide ultérieure, pendant que le Sergent Chef Koustnezov demandait des ordres, par radio.

" - Blue Falcon, Blue Falcon, ici Déferlante Bagration, nous avons récupéré, Pakeha, Morgan et ...........Micca, il semble qu'il n'y a plus de signe de vie sur la station. Que devons nous faire? Roger."

L’Américain, lui confirma par signe qu'effectivement il n'y avait plus de signe vie dans l'ancien place forte Impériale.

Ils finirent par recevoir des ordres, le retour vers la zone 51 était déprogrammer, ils devaient joindre Atlantis!

Les deux appareils quittèrent la zone de la station Impérial.

Les prisonniers n'avaient pas eux le temps de faire ouf avant d'avoir été ficelé comme des saucissons Le Russe lisait dans leurs yeux, de la crainte, de la joie, de la haine......Il valait mieux faire le trie plus tard, car au final il ramenait cinq prisonniers, en théorie!

Atlantis se présenta bientôt, comme le C-101 était difficilement pilotable, le Pilote n'osa pas faire les quatre tonneaux signe de quatre victoires spatial pour se concentrer sur l' atterrissage... *Atlantissage* pensa le Cosmonaute..... Sur le tarmac prés des hangars à vaisseaux sur l'aile nord Ouest.

Vladimir Illich remarqua quand "Déferlante Bagration" fut arrête, que son Copilote avait préparé un pochoir et une bombe de peinture rouge pour marquer sur la carlingue, les victoires spatiales, après les formalités d'arrivé.

Quand le F-311 se posa à son tour , les deux appareils furent rangé dans le hangar. Les portes se fermèrent hermétiquement, et on ouvris les vannes d'aire. Bientôt la pression atmosphérique fut atteint. Une porte d'Atlantis s’ouvrit, et une délégation arriva devant le C-101, au même moment, le Cargo descendit sa pente arrière pendant que le F-311, leva son cockpit.

Sarah avait été soulagée en entendant que Noa et Ted avaient été récupérés. Elle se demandait encore par quel bout elle commencerait avec eux. Elle leur ferait part de son soulagement pour leur survie ou commencerait-elle par leur passer un savon sur leur capacité à transmettre des informations sur l'évolution de leur mission. Un invité surprise était compris dans le lot qui allait être déchargé par Vladimir. 
Elle prit le temps de convoquer 4 soldats à la salle se contrôle. Elle traversa l'euphorie ambiante provoquée par la survie de l'équipage Atlantis et la destruction des forces ennemies. . Elle-même avait requis une arme de poing afin d'être en capacité d'assurer sa propre défense. Le trajet jusqu'à la baie d'atterrissage désignée pour le C-101 et le F-311 fut court. Il fallut utiliser une paire de téléporteur et effectuer un léger détour pour éviter une zone endommagée pour arriver sur la zone réservée aux deux vaisseaux. Le petit groupe de cinq individus se déploya en éventail et s'apprêta à accueillir le pilote et sa cargaison. Le vaisseau entra à vive allure avant de décélérer afin de se poser à leurs pieds. Le C-101 pivota sur lui-même afin de présenter sa rampe d'accès arrière. L'escorte du major se tendit et les soldats épaulèrent leurs armes, prêts à viser et à tirer en cas de menace avérée. Sarah laissa retomber sa main sur la crosse de son arme.
 
La rampe du vaisseau s'abaissa lentement en révélant trois individus attachés et bâillonnés au sol. La blonde souleva un sourcil et ne put dissimuler un rictus en reconnaissant les prisonniers. Elle s'assurer de croiser leur regard avant de tourner son attention vers l'occupant du F-311 dont le cockpit s'ouvrait déjà.
 
" Capitaine Bolger ! Je suis ravie d'acceuillir le blue falcon sur Atlantis. Contente de vous compter tous les deux parmi les survivants. "
 
[i]Elle pénétra ensuite à l'intérieur du C-101. Elle enjamba les prisonniers dans un geste exagéré et vint rejoindre le pilote du vaisseau. Elle lui adressa un salut formel avant de lui tendre la main.
 
" Sergent-Chef Kouznetsov, bienvenu sur Atlantis. Beau travail pour ce sauvetage. "
 
Elle se retourna et posa ses poings sur ses hanches en considérant les trois captifs. Son regard s'attarda longuement sur Noa. La jeune femme s'agenouilla à côté de lui et posa sa main sur sa joue avec affection. Elle lui adressa un sourire avant de se redresser, puis elle désigna Ted du bout du doigt.
 
" Détachez celui-là, j'aimerais entendre ce qu'il a nous dire. "
 
Elle fit soudainement mine de ne plus voir ou entendre Noa.
[/i]

Ted avait cessé de remuer lorsqu'il avait comprit que cela ne servait à rien, si ce n'est user ses forces, déjà bien entamées. Il ferma les yeux en posant la tête au sol et rongea son frein.

*Et maintenant ?*

*On attend.*

Quelques secondes de silence intérieur passa avant que le racunien ne se manifeste de nouveau.

*On fait un jeu en attendant ?*

*Non.*

*Oh alleé ! T'es pas drôle ! C'est chiant d'attendre !*

Ted ne répondit pas. Alors, l'organisme semi-végétal qu'il avait dans la tête occupa le temps à sa façon.

*Un mouton. Deux moutons. Trois moutons. Quatre moutons. Cinq moutons. Six moutons.*

Arrivé à une trente sept moutons, Morgan ne tint plus.

*T'as fini !*

*Tu veux pas jouer, alors je m'occupe tout seul !*

*Tu vas me rendre chèvre !*

*T'es sûr ? Tu préfères pas être un mouton ?*

Lorsque le racunien partit en un éclat de rire, Ted se demanda vraiment s'il n'était pas fou.

Heureusement, le vaisseau arriva à destination et la rampe d'accès s'ouvrit sur, … 

*Génial ! Barbie à l'armée !*

Ted aurait bien voulut lui dire de la fermer mais, même s'il respectait beaucoup sa supérieure, il ne parvenait pas à l'apprécier. Le contact, bien trop intime, qu'elle se permit avec Noa lui rappela cruellement pourquoi. Mais, étrangement, c'est lui qu'elle choisit de libérer le premier. Morgan n'allait pas s'en plaindre mais ne parvint pas à retenir un râle rauque lorsque le russe arracha, sans la moindre précaution, le scotch qu'il avait sur la bouche. Le militaire était sûr qu'il avait dû y laisser quelques poils de barbe. Lorsqu'il fut de nouveau libre de ses mouvement et de ses paroles, il se redressa et exécuta un rapide salut.

"Ne détâchez pas Miccah !"

Ted avait toujours l'image du baiser échangé et, si elle n'avait pas été un goa'uld, il aurait probablement dit la même chose, par pure jalousie. Ce n'est qu'alors, qu'il se pencha vers Noa et s'apprêta à lui détacher les mains également.

"Avec votre permission, …"

Noa avait la tête qui tournait et sentait les battements de son coeur s'accélérer. Les yeux toujours clos, il revoyait en boucle les dernières images que Xinan lui avait transmis avant de quitter définitivement son corps. Il s'efforçait de les effacer, de les oublier, de penser à autre chose, mais le vide intérieur qu'avait créé le départ brutal de Xinan ne faisait qu'appeler les souvenirs du symbiote. Comme c'était étrange de se voir lui depuis les yeux de quelqu'un d'autre. Il se revoyait titubant sous l'alcool, les yeux brillants d'un éclat indécent, pathétique. Il en eu honte.
Finalement, pour chasser ces images, il ouvrit grand les yeux et regarda le plafond. Il était terrifié à l'idée de croiser de regard de Ted. Il était angoissé à l'idée de baisser les yeux sur le corps convulsé de Nadira. Il ne pouvait qu'imaginer la douleur qu'elle était en train d'éprouver à présent. Qu'est-ce qui ressortira d'elle après cette lutte acharnée ? Pourquoi Xinan avait fait ça ? Ca n'avait aucun sens...
De nouveau la tête lui tournait et il avait envie de vomir. Il était livide et voyait parfois des taches noires se balader devant sa vision. Il comprenait à présent combien il s'était reposé sur Xinan depuis qu'il était en lui. Son absence l'affaiblissait d'une manière catastrophique.

Le C101 se posa enfin et la porte s'ouvrit. Noa tourna la tête et fut soulagé de voir le visage de Sarah. Il poussa un soupir malgré son bâillon et commença à se tortiller pour présenter ses liens. Mais Sarah détourna les yeux et salua Bolger, puis elle entra dans l'habitacle, les enjamba sans un regard et félicita Kouznetsov et son équipe. Noa se figea et, cette fois-ci, il se tourna pour envoyer un regard interrogateur à Ted. Enfin, Sarah daigna porter son attention sur eux. Elle fixa longuement Noa du regard, ce qui eut pour effet de le troubler plus que de raison. Mais à quoi jouait-elle ? Pourquoi prenait-elle tout son temps pour les détacher ? Etaient-ils suspects de quelque chose ? Ils avaient déjà à subir l'humiliation d'être traité comme des prisonniers, il avait à présent l'impression d'être la risée de tout le hangar.

Finalement, lorsque Sarah s'agenouilla devant Noa et posa une main sur sa joue, l'informaticien s'arrêta de respirer. Cela faisait des mois qu'une telle proximité n'existait plus entre eux et il aurait vraiment apprécié le moment... si Ted n'en avait pas été le témoin direct. Mais, contre toute attente, Sarah désigna son compagnon du doigt en demandant à ce qu'il soit libéré. A cet instant, Noa comprit seulement que Sarah se jouait de lui. Il aurait du s'en douter, la connaissant, et il mit au compte de sa lenteur, l'état de fatigue dans lequel il se trouvait. Elle devait jubiler intérieurement de la scène qu'elle venait de jouer devant eux. Noa lui adressa le regard le plus blasé qu'il pu, sans toutefois y parvenir. Il avait l'air vaguement boudeur.

Ted fut libéré violemment par Kouznetsov et donna simplement l'ordre de ne pas détacher Micca. C'était une invective sèche et Noa baissa la tête, regardant la pointe de ses chaussures, comme coupable. Il entendit le militaire demander l'autorisation à Sarah de le détacher. Le bâillon de Noa lui fut retiré par Ted qui fit preuve de plus de délicatesse que Kouznetsov. Noa fit une moue et lorsque ses poignets furent libres, il les massa doucement en se relevant.
" Merci " dit-il, tourné ostensiblement vers Ted.

Puis il se tourna vers Sarah, les sourcils froncés, le regard plus dur qu'il ne l'aurait voulu. Il balaya les gardes et les autres officiers autour d'eux.
" Bon et alors quoi ? Vous voyez bien qu'elle a besoin de soin ? Qu'est-ce ce que vous attendez ? " dit-il en désignant Nadira, parcourue de spasmes, du doigt.
" Il faut l'emmener à l'infirmerie tout de suite... sous haute sécurité." ajouta t-il en s'adressant à Sarah.
Puis il tourna de nouveau les yeux vers les gardes autour d'elle.

" Et si il y en a un qui a la mauvaise idée d'avoir la gâchette facile, je le fais passer par dessus bord sans hésiter." ajouta t-il en se souvenant que Nadira avait, à présent, le visage de leur ennemi.

Noa sentit tout à coup la fatigue et les vertiges le gagner de nouveau. Son visage devint livide et son regard se troubla tandis qu'il sentit sa tête lui tourner. Il vacilla et se prit la tête entre les mains. Il posa un genou à terre pour éviter de tomber dans les pommes.
" Xinan est en elle... " murmura t-il avec difficulté. "Il est allé en elle "


Il respira doucement pour essayer de reprendre le dessus. Il savait qu'il payait les mois de malnutrition et de surmenage qu'il s'était infligé. Le Tokra avait pansé les plaies mais son absence révélaient la fatigue accumulée dans son corps.

Deux polichinelles dans le tiroirs?

Les hommes de "Déferlante Bagration" commençaient vraiment à fatiguer. Cela faisait combien d'heures maintenant qu'ils étaient sur le pont? Un bon paquet. Vladimir Illich voyaient bien que son équipage, commençaient à traîner la patte. Une bonne douche, un repas chaud, et quelques heures de sommeille, c'est ce qui leur fallait! Et maintenant présentement, ils servaient de garde chiourme.

Bon le Major Lawrence les félicita pour le sauvetage, mais leur demandés de libérer Ted, elle avait ses propres gorilles, pour faire cela.

Le Russe fit un effort, il y avait dans sa famille Tatiana Iéléna qui était infirmière au village et qui disait toujours que pour retirer un sparadrap, il faut le tirer violemment, c'est beaucoup plus terrible quand on y va lentement!

Alors Kousnezov décolla, un petit bout du scotch et il tira fermement dessus.............. A première vu Tatiana Iéléna avait tord! Les yeux de Morgan, le foudroya un instant!

" - Désolé, camarade....." dit le Pilote piteusement.

Ted puis Noa une fois libéré, se mirent à parler et il semblerait que la femme ait deux parasites pour le prix d'un.

Vladimir Illich était présent quand le Néo-Zélandais avait récupéré Xinan, et maintenant en regardant Nadira, il se demandait ce qui se passait dans son corps.

Ce ne devait pas être joli, joli!

La main droite du Russe, défit par précaution le cran d’arrêt du P-90.