Une mission de routine ...

Le membre 'Nadja Cook' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'Résolution (100)' :

Vladimir Illich écoute ce que lui dit Barry.

Il n'y a pas trente six solutions.

Pas de nouvelle de l'équipe de Jimmy, une autre équipe est déjà partie, et la aussi pas de nouvelle. Envoyer une troisième équipe serait absurde, il faut attendre.

De plus dans quarante minutes il faudra avoir quitter les lieux, ou bien cela sera une bataille spatial. Le Russe doute que l'affrontement tourne à l’avantage des Terriens. Pour la simple raison c'est que les forces Goa'olds sont en constant progrès, et là cela peut être les affronter en infériorité, et surtout que les Terriens ne sont pas dans un lieu, ou ils pourraient tendre un piège à leurs ennemies, pour diminuer, ce qui pourrait être un plus en cas de combat.

Il n'y a malheureusement qu'une option partir avant l'arriver des croiseurs Impériaux. On ne peut pas rester là trop longtemps.

Il faudrait pouvoir rapatrier vite les deux équipes. Surtout que le faite qu'ils n'aient pas de nouvelle sur la passerelle, de ce qui se passe sur cette planète est plutôt très mauvais signe

" -Monsieur Barry, je voudrais savoir, si pouvons nous tous les téléportés ici? Ou cela est il impossible. Nous ne pouvons pas nous permettre de rester trop longtemps à poste."

Ce machin était décidément résistant. Heureusement, l’atmosphère enfumée l’empêchait de viser correctement.

« - Couvre moi ! »

Les tirs se firent soudain plus nourri et Nadja prit le temps de viser correctement un des cristaux. Le tir bien ajusté fit sauter un fragment de sa cible. Avec à présent un angle mort, l’arme devenait moins dangereuse. Mais surtout, le laser d’origine devenait visible. Ni une ni deux, elle dégoupilla une grenade et la fit rouler le long du couloir.

« - Grenade ! »

L’explosion secoua le couloir et envoya encore plus de poussière dans l’air, comme s’il y en avait besoin.
Par malchance, la chute d’un gravât avait brisé la jambe d’un des membres de l’équipe.

« - Ca va aller, soldat, on va te tirer de là. Allez, on se remet en route avant que tous nous tombe sur le coin de la figure. »

Sans vraiment prendre de gants, elle passa le bras du blessé autour de ses épaules et se redressa. Il devait souffrir le martyre mais serra les dents tout en claudiquant à ses côtés.
Discrètement, elle jeta un œil a sa montre. Plus qu’une demi-heure avant l’arrivée des renforts ennemis. Ça n’était vraiment pas le moment de camper mais de toute façon, le bâtiment leur serait tomber dessus bien avant. Quelle chance !

Faut tout faire ici!

" - Un, quoi on ne peut pas les récupérer? On ne peut rien faire?"

Au visage de l'homme décompsé en face de lui, Vladimir Illich comprenait, qu'il fallait attendre. Il se rongerait les ongles si ce n'était pas déjà fait! L'attente était horriblement et pendant ce temps là l'ennemie arrivait. Encore quarante minutes.......... Clic, clac, clic, clac, le temps passait,......Rapidement.....inexorable!

Et soudain il se passa quelque chose, les équipes à terre demandaient leurs téléportations. Et Barry leur annonça, qu'ils les avaient envoyés à l'infirmerie, en cas de blessure. Il charge le Russe d'annoncer au Capitaine Cook qu'il ne reste plus que trente minutes avant contacte

" - Alors faite chauffer les chaudières." dit le Pilote en prenant ses jambes à son cou. Il se mit à courir comme un fou dans les couloirs.

Pourtant maintenant que les hommes étaient, revenue, il fallait partir le plus vite possible, il n'y avait plus rien dans ce secteur de la galaxie. Le quartier allait devenir malsain. Vladimir Illich, se demandait ce qu'ils avaient trouvé sur la planète, et surtout dans quel état ils revenaient au bercail. Y avait il des blessées, des morts. Cela il ne le savait pas. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il ne restait plus que quelques minutes.........

Il arriva en fin à l'infirmerie, et entra comme une furie dans la salle, en criant :

Courir avec un soldat dans les bras n’avait rien d’aisé, surtout avec les poumons en feu. Et sans compter le bâtiment qui menaçait de s’effondrer sur eux à tous moments et un ou deux soldats ennemis qui fuyait également, visiblement dans la même direction qu’eux.

Nadja entra en première dans le sas d’accès et faillit se laisser surprendre par un dernier ennemi qui ouvrait la porte. Elle lui logea néanmoins deux balles dans la poitrine et une troisième dans la tête pour faire bonne mesure. Le pistolet n’était pas son arme de prédilection mais dans des lieux exiguë et avec une seule main, l’arme était parfaitement adaptée.

« - Allez sortons de la ! »

Celui qu’elle venait d’abattre n’avait pas de combinaison, elle en déduisait donc que l’atmosphère extérieure était respirable. Sinon, elle n’aurait que peu de temps pour se reprocher son erreur.

Mais elle ne s’était pas trompé, heureusement et les communications se rétablirent des que le petit groupe se retrouva à l’extérieur.

« - Remontez nous. Directement à l’infirmerie. »

Un flash de lumière plus tard, ils étaient à bord et pouvaient laisser leur blessé aux bon soins des infirmiers. Après avoir déposé le soldat à la jambes cassé, le capitaine allait sortir quand Jessie l’alpagua.

« - Ou croyez vous allez ainsi ?
- Je vous demande pardon ?
- Votre bras !
- Juste une égratignure. 
- Mais bien sur… J’ai vu Sacré Graal, vous savez. Asseyez vous la que je m’en occupe.
- Vous tees allé à trop bonne école, grogna Nadja. »

Le médecin fit néanmoins vite et lui posa simplement un pansement gras. Il finissait son travail quand Kouznetsov débaroula en mode boulet de canon dans l’infirmerie.

« - Je suis la, Chef. Repos. Et reprenez votre souffle, vous êtes tout rouge. »

Pilote ou non, s’il soufflait ainsi après une petite course, elle allait lui coller un programme de remise en forme gratiné.

On ne peut pas dire que le Pilote avait traîné dans les couloirs, il avait couru en se dépensant (sans drogue,....  la Vodka n'étant pas une drogue) dans les couloirs, il est vrais qu'il faudrait installer des téléporteusr pour aller plus vite

Oui le Camarade Sergent Chef Vladimir Illich Kousnesov était rouge, d'un rouge qui n'aurait pas dépareillé lors du grand défilé de la commémoration de la grande Guerre Patriotique sur la place rouge. Un beau rouge qui aurait mit en valeur son tatouage, une faucille et un marteau d'un beau jaune, sur la fesse gauche, si ce tatouage avait existé!

Donc, le Pilote, déboula dans l'infirmerie, et il vit le Capitaine Cook, non pas celui du trois mats carré HMS Endeavour, mais celle du CB-305 Achille. Il...... Elle était dans un état pas très reluisant, la balade sur la planète n'avait pas du être une sortie scolaire.....

Le Russe s'approcha du gradé, et se mettant au garde à vous délivra son message,

" - Les Go, les go, go.....*"

Dit le Cosmonaute, et en se reprenant il rajouta:

" - Les Goa'olds arrivent, mon Capitaine, ils seront sur nous dans une vingtaine de minute, deux vaisseaux ennemie, et sur la passerelle Barri attend les ordres pour partir."


* Lire Asterix

Habituée aux frasques du pilote, le capitaine attendit patiemment qu’il ait finit de se reprendre puis écouta le message.

« - Et bien nous avons encore largement le temps, répondit-elle d’un ton calme. Vous avez fini avec cette brûlure de rien du tout ?
- On va dire que oui, grommela le médecin en posant la dernière bande adhésive.
- Merci doc. Je retourne sur la passerelle. Tenez moi au courant de l’état de santé du capitaine Bolger. Monsieur Kouznetsov, avec moi !»

En quelques grandes enjambées, Nadja sortit de l’infirmerie et se dirigea vers l’ascenseur. Tout en marchant elle expliqua ou elle en était de ses réflexions.

« - Avec une préparation correcte, nous pourrions triompher de ces deux adversaires. Cela dit, nous risquons de prendre des coups et la ou ils sont des milliers, nous n’avons que deux croiseurs de combat. Le jeu n’en vaut pas la chandelle. »

Le porte de l’ascenseur s’ouvrit sur une passerelle en pleine ébullition. Le calme revint quand elle s’installa et que le cris « capitaine sur la passerelle » retentissais.

« - Barry, préparez une route vers le point de replis Alpha. Avant de partir, placez deux missiles dans cette base. Je ne vois aucune raison pour leur laisser des installations en place. »

Une fois cette tache de terrassement terminé (ça ne devrait prendre que quelques secondes) ils pourraient ouvrir une fenêtre d’hyperespace et commencer leur voyage de retour vers Atlantis.

* Un, quoi, le Jimmy, le Bolger, il est amoché??* pensa Vladimir illich, en ouvrant de grand yeux.

Le Capitaine Cook lui demanda de rester prêt d'elle. Pour le Russe en suivant le Commandant du CB-305, était le meilleur moyen d'avoir des nouvelles du Pilote Irlandais.

" - Oui, oui, je vous suis mon Capitaine" dit Vladimir Illich, en mettant ses pas des ceux de la grande femme.

Le CB-305 Achille partir bientôt, avant l’arrivé des vaisseaux ennemies, c'était le principale. Neutraliser les installations Goa'olds sur la planète, c'était normal.

Ils semblaient qu'ils avaient salement morflé pendant leur escapade sur la planète. Kousnesov n'osa pas demander si ils avaient des pertes, il ne voulait pas se retrouver accroché à une patère, par son col, cela ne serait pas cool!

Le Russe était toujours derrière la femme qui marchait au pas de charge, tel une division de blindé T-34, il essayait de ne pas se faire distancer. Il pensait a ce que qu'elle venait de dire,........Point de replis Alpha.

" - Pardon mon Capitaine, le point de replis Alpha, est une étape avant d'aller sur Atlantis, pour évité d’être suivit par les Goa'olds, c'est une destination aléatoire, ou déjà décidé à l'avance?"

La question du sergent chef état pertinente et Nadja s’expliqua en surveillant la progression du vaisseau.

« - Oui, c’est pour éviter d’être suivi. Barry a programmé plusieurs destinations de replis dans nos ordinateurs de bord. Même en analysant nos trajectoires, les goa’ulds ne pourront pas remonter nos traces jusqu’à Atlantis. Et c’est d’ailleurs le second point. Les coordonnées de la cité ne sont pas dans les ordinateurs de vol des C101. Si l’un d’eux est capturé, ils ne pourront pas non plus analyser son plan de vol. »

Pas plus que faire parler les pilotes vu que seul Barry et elle connaissait l’emplacement de la cité. Mais inutile de vocaliser ça.

Une fois sur place, l’Achille fit une étape pour analyser le système et etre sur qu’aucun espion ne s’y trouvait. Une fois certain de ne pas avoir été suivi, ils prirent la direction d’Atlantis ou ils arriveraient deux heures plus tard.

« - Je serai dans mes quartier. Barry, a vous la passerelle. »

L’ex marine sorti rapidement et marcha vers sa cabine. Une fois sur place, un témoin l’aurait vu se dégonfler littéralement et quasiment s’effondrer sur son lit. L’adrénaline qui l’avait soutenu jusqu’ici avait épuisé son organisme déjà affaibli.

Quand le signal de leur arrivée tinta, elle dormait profondément rêvant de couloir de couloirs inconnus et d’un vaisseau étrange à bord duquel elle n’avait jamais mis les pieds.

« - J’arrive ! se contata-t-elle de dire avant de se relever…"

Mais quand s'était-elle retrouvé assise à son bureau ? Impossible de s'en souvenir.

Tourner en rond

Le Sergent Chef regarde le Capitaine Cook partir...... Il demande à Barry se qu'il peut faire, le Chef de la Passerelle, lui dit de ce reposer...........Ce reposer? Non pas encore, il va à la cantine, car il a faim.
A cette heure, la salle est vide, mais il prend ce qu'il reste sur des présentoirs, un œuf dure avec un soupesons de mayonnaise, pas plus de de cinq cuillère .... à soupe et un yaourt nature sans sucre, un morceau de pain noir et un verre d'eau. Il s’installe à une table, il a le choix, le gros avantage c'est qu'il n'y a pas de bruit.

Il repense à JP-2, bon sang ou est son équipe, et puis les personnes qu'il connaît sur Atlantis!

Il prend le temps de manger.Il n'a pas sommeille. Il se dirige vers le dortoir, prend une douche, il met des vêtements propres mais dépareillés.

Mais pas question de dormir, il va faire un tour, et ses pas le conduise, à l'infirmerie. Le Russe demande des nouvelles de l'Irlandais, mais là, on lui demande de dégager, ou à la rigueur d'attendre dans une salle d'attente. Il s'assoit sur une chaise, mais là, la tension tombe, et Kousnesov s’endort.

Réveille

Quand le Russe se réveilla, une jolie infirmerie (95-49-94) Rebeca Van Der Welling, comme l'indiquait son badge,elle lui apprit que Jimmy avait été transféré à l'infirmerie d'Atlantis.
Vladimir Illich se dirigeait alors vers le C-101. Il en ferait le tour pour voir si la maintenance avait été bien faite, puis il fera le tour des membre de son équipage, pour voir comment ils allait. Il fallait qu'il remplisse, son carnet de vole, et faire un rapport sur la dernière mission.

Dans quelques jours en salle de "Nav. et Com.", il y aura un wargame, la répétition de la bataille. On discutera à froid des différentes phases de la mission. Un arbre des causes sera établie, pour voir les points d’améliorations.

Quand il rentra dans le cargo, il trouva le Co-Pilote Martin Milan, en train de dormir sur une banquette, il était en bleu de travaille , un peu plus loin il y avait le Caporal Canonnier Taka Takata, sur un matelas gonflable, il ne manquait plus que, ha si le voila, le Lieutenant Jefferson, qui dormait sur le siège de pilotage les pieds sur le tableau de bord.

Vladimir Illich n'avait plus qu'a aller chercher de quoi faire un petit déjeuné.......

Il y avait du travail, entretien des F-311 et des C-101, principalement avec le dernier équipage de sa derniers mission, puis le Sergent
Chef passa trente minutes en simulateur, il alla voir en "Nav et Com" pour connaître la situation spatial actuel, et fit une course de fond dans les couloirs, en passant par les coursives, la salle des machines, le hangar, puis les escalier jusqu'au réfectoire puis la descente, cinq fois de suite, sans compter i les debriefing, de la derniere mission, une heure sur le grille.

Quand au repas du soit, il dépendait des arrivages, souvent exotique, comme ce soir ou ils ont mangé du Xantamos à la sauce Gribiche! Bizarre autant qu'étrange.

Pendant là journées, le Russe se demandait pourquoi il était maintenant membre de l'Achille, quoiqu'il portait toujours l’écusson de JP-2. Il n'avait pratiquement plus de nouvelle de Noa, et des membres d'Atlantis.

En deux mots, il avait perdu contact avec tous ces compagnons, des seules personnes  qu'il connaissait l'une  était le Capitaine Cook, la haut, inaccessible sur sa passerelle et ’autre personne était le Capitaine Bolder, mais lui est aussi inaccessible pour une autre raison. Mais il se déplaça pour entendre de ses nouvelles mais là maintenant on lui dit : on lui demandait d'attendre, dans la salle du même nom. Alors il attendait. Cela prendrait combien de temps.

Dernière édition par Vladimir Kouznetsov le Mar 24 Mar 2020 - 12:42, édité 1 fois