Lorsque Ted murmura son prénom, il sentit comme une décharge lui électriser l'estomac. S'approcher, le sentit tout contre lui,... Noa aurait tout donné pour sentir ses lèvres contre les siennes, pour s'abandonner enfin dans ses bras comme par le passé. Sa détermination se lisait dans ses yeux, il était capable de tout pour ça. Qui serait capable de se mettre entre eux deux ? L'amour qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre n'était-il pas si évident ?
* Tu dérailles complètement mon vieux , réveilles toi !* lui murmura Xinan sur un ton dur.
Noa sentit qu'il n'avait plus les idées claires, qu'il était capable de tout pour se sentir de nouveau aimé par Ted. Mais la main du militaire posée sur sa poitrine était la preuve que ses sentiments fous et démesurés n'étaient pas réciproques. Noa baissa un regard triste sur la main de Ted.
" Ça va, je vais pas te forcer, non plus." dit-il sur un ton presque irrité.
Puis, lorsqu'il releva un regard pétillant vers Ted, il ajouta :
" Quoique, ..."
C'est alors que Noa se mit à rire nerveusement, comme si l'idée de forcer Ted à l'embrasser était la plus hilarante des situations. Il laissa retomber ses bras d'un air las, comme s'il était soudain épuisé. Oui, épuisé, il l'était, physiquement mais surtout mentalement... Il était épuisé de voir ses sentiments faire des loopings, de ses joutes verbales stériles et de devoir de se battre pour quelque chose qu'il n'aurait probablement plus jamais. Était-ce même à lui de se battre pour ça ? Il avait l'impression d'avoir tout donné dans ce combat... pour ne récolté que frustration et peine. Il avait envie de hurler, de pleurer et de frapper tout ce qu'il y avait autour de lui, pourtant, il était en train de rire. Mais c'était un rire bref, nerveux, d'épuisement psychologique et ses yeux humides ne trompait personne lorsqu'il eut fini de rire.
* Tu dérailles complètement mon vieux , réveilles toi !* lui murmura Xinan sur un ton dur.
Noa sentit qu'il n'avait plus les idées claires, qu'il était capable de tout pour se sentir de nouveau aimé par Ted. Mais la main du militaire posée sur sa poitrine était la preuve que ses sentiments fous et démesurés n'étaient pas réciproques. Noa baissa un regard triste sur la main de Ted.
" Ça va, je vais pas te forcer, non plus." dit-il sur un ton presque irrité.
Puis, lorsqu'il releva un regard pétillant vers Ted, il ajouta :
" Quoique, ..."
C'est alors que Noa se mit à rire nerveusement, comme si l'idée de forcer Ted à l'embrasser était la plus hilarante des situations. Il laissa retomber ses bras d'un air las, comme s'il était soudain épuisé. Oui, épuisé, il l'était, physiquement mais surtout mentalement... Il était épuisé de voir ses sentiments faire des loopings, de ses joutes verbales stériles et de devoir de se battre pour quelque chose qu'il n'aurait probablement plus jamais. Était-ce même à lui de se battre pour ça ? Il avait l'impression d'avoir tout donné dans ce combat... pour ne récolté que frustration et peine. Il avait envie de hurler, de pleurer et de frapper tout ce qu'il y avait autour de lui, pourtant, il était en train de rire. Mais c'était un rire bref, nerveux, d'épuisement psychologique et ses yeux humides ne trompait personne lorsqu'il eut fini de rire.