L'Achilles était en orbite autour de la Terre depuis quelques semaines. Les différents membres de l'équipage se tenait prêt à intervenir n'importe quand, mais l'ambiance n'était pas vraiment au beau fixe. La situation sur Terre impactée toute la hiérarchie. Les tensions diplomatiques étaient extrêmes, les relations entre les différents pays se dégradaient lentement mais surement sans qu'aucune solution pour corriger le tir ne pointe son nez quelque part. Certains disaient que ça ressemblait un peu à la Crise des Missiles de Cuba, mais sur une échelle de temps plus longue "histoire que le business des abris antiatomiques en profite" disaient les plus cyniques.
Le SDT était aussi impacté par cette crise diplomatique sans précédant. L'ONU était en train d'essayer de limiter la casse, sans vraiment de succès. Au pire elle ne faisait que retarder l'inévitable selon certains. Mais du coup, entre cette crise et les relations entre pays au plus mal, les financements et les effectifs même du SDT diminuaient peu à peu, les différents pays, États-Unis en tête, préférant garder l'argent pour leurs propre besoins et rappelant leurs troupes "au cas où". Du coup, pour défendre la Terre contre une menace venu d'ailleurs qui elle, n'allait sans doute pas attendre que la situation se calme et pourrait même en profiter pour passer à l'attaque, il fallait composer avec les ressources restantes, qui fondaient comme neige au soleil.
Les scientifique du SDT travaillèrent dans l'urgence afin que cette crise ne limite pas les capacités défensives de l'organisation pour protéger la Terre contre Tonatiuh, les Goa'ulds ou quoi que ce soit d'autres que l'Univers leur réservait dans un coin. Différents projet virent le jour : Un réseau d'armes orbitale sur toute la surface, un système permettant de déphaser toute la planète de la réalité pour la "faire disparaître" si des ennemis approchaient... La reconstruction secrète de l'Avant-Poste des Anciens en Antarctique afin d'en faire la principale base de défense terrienne, fonctionnant de manière indépendante et autonome, avait même été débattue.
Mais l'idée la plus réalisable fut celle de Marick Van Heerden. Un scientifique d'origine sud-africaine qui supervisait actuellement une armée de techniciens, d'ingénieurs et de manutentionnaires pour installer son idée à bord de l'Achilles. Bien sûr, pour limiter les fuites dans un contexte où les membres de l'équipage pouvaient, par la force des choses, être contraint de quitter le vaisseau et/ou de révéler ses petits secrets de fonctionnement, le silence radio sur cette modification fut de rigueur, ordre du SDT. L'équipage ne sera mit au courant des détails qu'une fois que le scientifique donnerait son feu vert.
Bien sûr, l'équipage avait put glaner quelques infos ça et là. Ce n'était pas une arme expérimentale, ni même un nouveau générateur de bouclier. C'était apparemment un nouveau système informatique. Certains parlaient d'un nouveau système de capteurs qui permettrait de détecter l'ennemi avant qu'il n'arrive et le cueillir dès son arrivée avant même qu'il n'active ses boucliers dès qu'il émerge de l'hyperespace. D'autres disaient que ces modifications avaient pour but d'automatiser certaines fonctions du vaisseau afin de diminuer le nombre de personnes requises pour le faire fonctionner. Faire comme avec le cas des armements par exemple, ou en dehors de la maintenance et des réparations, la seule personne requise pour l'utiliser était l'artilleur sur la passerelle, l'ensemble du système, de la visée au rechargement en munition, étant automatisé.
Mais, l'heure des mystères étaient finit et le scientifique, la quarantaine, une tête de premier de la classe, dressé à quatre épingles comme s'il se présentait à une conférence de presse, attendait dans la salle de réunion. Les différents responsables du vaisseaux étaient déjà au courant de ce rendez-vous. il ne restait plus qu'à les attendre...
Le SDT était aussi impacté par cette crise diplomatique sans précédant. L'ONU était en train d'essayer de limiter la casse, sans vraiment de succès. Au pire elle ne faisait que retarder l'inévitable selon certains. Mais du coup, entre cette crise et les relations entre pays au plus mal, les financements et les effectifs même du SDT diminuaient peu à peu, les différents pays, États-Unis en tête, préférant garder l'argent pour leurs propre besoins et rappelant leurs troupes "au cas où". Du coup, pour défendre la Terre contre une menace venu d'ailleurs qui elle, n'allait sans doute pas attendre que la situation se calme et pourrait même en profiter pour passer à l'attaque, il fallait composer avec les ressources restantes, qui fondaient comme neige au soleil.
Les scientifique du SDT travaillèrent dans l'urgence afin que cette crise ne limite pas les capacités défensives de l'organisation pour protéger la Terre contre Tonatiuh, les Goa'ulds ou quoi que ce soit d'autres que l'Univers leur réservait dans un coin. Différents projet virent le jour : Un réseau d'armes orbitale sur toute la surface, un système permettant de déphaser toute la planète de la réalité pour la "faire disparaître" si des ennemis approchaient... La reconstruction secrète de l'Avant-Poste des Anciens en Antarctique afin d'en faire la principale base de défense terrienne, fonctionnant de manière indépendante et autonome, avait même été débattue.
Mais l'idée la plus réalisable fut celle de Marick Van Heerden. Un scientifique d'origine sud-africaine qui supervisait actuellement une armée de techniciens, d'ingénieurs et de manutentionnaires pour installer son idée à bord de l'Achilles. Bien sûr, pour limiter les fuites dans un contexte où les membres de l'équipage pouvaient, par la force des choses, être contraint de quitter le vaisseau et/ou de révéler ses petits secrets de fonctionnement, le silence radio sur cette modification fut de rigueur, ordre du SDT. L'équipage ne sera mit au courant des détails qu'une fois que le scientifique donnerait son feu vert.
Bien sûr, l'équipage avait put glaner quelques infos ça et là. Ce n'était pas une arme expérimentale, ni même un nouveau générateur de bouclier. C'était apparemment un nouveau système informatique. Certains parlaient d'un nouveau système de capteurs qui permettrait de détecter l'ennemi avant qu'il n'arrive et le cueillir dès son arrivée avant même qu'il n'active ses boucliers dès qu'il émerge de l'hyperespace. D'autres disaient que ces modifications avaient pour but d'automatiser certaines fonctions du vaisseau afin de diminuer le nombre de personnes requises pour le faire fonctionner. Faire comme avec le cas des armements par exemple, ou en dehors de la maintenance et des réparations, la seule personne requise pour l'utiliser était l'artilleur sur la passerelle, l'ensemble du système, de la visée au rechargement en munition, étant automatisé.
Mais, l'heure des mystères étaient finit et le scientifique, la quarantaine, une tête de premier de la classe, dressé à quatre épingles comme s'il se présentait à une conférence de presse, attendait dans la salle de réunion. Les différents responsables du vaisseaux étaient déjà au courant de ce rendez-vous. il ne restait plus qu'à les attendre...