Xavier était finalement arrivé dans la base d’entraînement. Cela faisait longtemps pour lui qu’il n’était pas venu dans une de ces bases conçues pour évaluer et entraîner les gens. Il avait pensé prendre un taxi ou louer une voiture, mais il avait préféré faire une demande à l’armée qui est venue le reconduire. Après tout, le taxi ou la voiture serait une chose impensable à faire et surtout extrêmement stupide. Il sortit de la voiture et avança de quelques pas. Il s’arrêta pour s’assurer que ses habits soient propres. Non pas qu’il détestait avoir de la saleté sur lui, mais tout simplement, car cela lui permettait tout simplement de faire en sorte qu’on le sous-estime. Une fois qu’il avait fini d’épousseter son uniforme, il afficha un sourire. Cela lui avait permis de se réchauffer les muscles après un si long voyage. Il regarda autour de lui. Son regard se porta sur les bâtiments même si en fait l’objet de son observation se trouvait dans le coin droit de son champ de vision. Il les observa pendant un bref moment, recueillant ce qu’il voulait savoir de ces deux personnes. Il s’approcha donc des deux personnes présentes avant de parler d’un ton distingué.
‘’Bonjour à vous, Monsieur, Major.’’
Il fit le salut militaire au Major avant de baisser son bras. Il se douterait bien qu’on lui ferait des reproches, mais il s’en fichait éperdument.
‘’Le fond de l’air est plutôt frais. Savez-vous où se trouve l’entraîneur si on peut appeler cela comme ça. Vous savez le type de militaire qui ne fait que crier et fait semblant d’être un gros dur, mais que si on fouillait ses quartiers, on verrait qu’il aime la couleur rose et qu’il a conservé sa douillette d’enfance.’’
Xavier n’était pas stupide. Il se doutait fort bien que le Major était sûrement l’entraîneur. Il avait fait cela pour le jauger, car après tout, si le Major le jaugeait, il ne voyait aucune raison de le jauger à son tour. C’était aussi une vieille blague que les entraîneurs se faisaient entre eux, il y a longtemps.
‘’Bonjour à vous, Monsieur, Major.’’
Il fit le salut militaire au Major avant de baisser son bras. Il se douterait bien qu’on lui ferait des reproches, mais il s’en fichait éperdument.
‘’Le fond de l’air est plutôt frais. Savez-vous où se trouve l’entraîneur si on peut appeler cela comme ça. Vous savez le type de militaire qui ne fait que crier et fait semblant d’être un gros dur, mais que si on fouillait ses quartiers, on verrait qu’il aime la couleur rose et qu’il a conservé sa douillette d’enfance.’’
Xavier n’était pas stupide. Il se doutait fort bien que le Major était sûrement l’entraîneur. Il avait fait cela pour le jauger, car après tout, si le Major le jaugeait, il ne voyait aucune raison de le jauger à son tour. C’était aussi une vieille blague que les entraîneurs se faisaient entre eux, il y a longtemps.