Nadja continuait à regarder les crustacé d’un air peu amène. Non seulement l’apparence la révulsait, mais en plus cela semblait particulièrement difficile à attraper et tant Zander que les convives aux tables autour d’eux semblait tout autant en difficulté.
Elle vit que son éclat d’hilarité avait perturbé le pilote et elle cru l’avoir froissé un instant. Mais elle le vit se détendre et sourire aux convives autour d’eux, ce qu’il n’aurait jamais fait sur la station.
D’une main hésitante, elle se saisit d’un coquillage dans l’assiette de son mari et le regarda d’un air peu amène.
« - Allez marine. Tu as affronté des esclavagistes, des jaffas, des mutants, des saloperie à tentacules… Tu vas pas craquer devant une limace. Dame Koomi, donne moi ta force !»
Elle récupéra la chair comestible et après avoir pris une grande inspiration, la mit dans sa bouche.
« - Oh mon dieu, avala-t-elle convulsivement… c’est absolument… c’est répugnant. Tu… tu aimes vraiment ca ou tu voulais juste me faire partager ta douleur ? »
Elle but une longue gorgée de bière pour faire passer le goût saumâtre dans sa bouche et gloussa.
« - Bon, ben je vais en rester au poisson hein. »
Cette mésaventure n’avait pas entamée sa mauvaise humeur et elle fit un clin d’œil quand il la confronta a ses contradictions.
« - Je n’ai jamais prétendue être logique. Et on va essayer ce soir, si tu veux bien. Je viens d’affronter ton plat, je peux affronter n’importe quoi maintenant, même le vide au dessus de ma tête. Mais tu me lâche pas et je veux un massage dans le jacuzzi en rentrent. »
Elle vit que son éclat d’hilarité avait perturbé le pilote et elle cru l’avoir froissé un instant. Mais elle le vit se détendre et sourire aux convives autour d’eux, ce qu’il n’aurait jamais fait sur la station.
D’une main hésitante, elle se saisit d’un coquillage dans l’assiette de son mari et le regarda d’un air peu amène.
« - Allez marine. Tu as affronté des esclavagistes, des jaffas, des mutants, des saloperie à tentacules… Tu vas pas craquer devant une limace. Dame Koomi, donne moi ta force !»
Elle récupéra la chair comestible et après avoir pris une grande inspiration, la mit dans sa bouche.
« - Oh mon dieu, avala-t-elle convulsivement… c’est absolument… c’est répugnant. Tu… tu aimes vraiment ca ou tu voulais juste me faire partager ta douleur ? »
Elle but une longue gorgée de bière pour faire passer le goût saumâtre dans sa bouche et gloussa.
« - Bon, ben je vais en rester au poisson hein. »
Cette mésaventure n’avait pas entamée sa mauvaise humeur et elle fit un clin d’œil quand il la confronta a ses contradictions.
« - Je n’ai jamais prétendue être logique. Et on va essayer ce soir, si tu veux bien. Je viens d’affronter ton plat, je peux affronter n’importe quoi maintenant, même le vide au dessus de ma tête. Mais tu me lâche pas et je veux un massage dans le jacuzzi en rentrent. »