Zander savait qu'il avait besoin de calme et, surtout, de dormir. Mais cela semblait trop demander.
« C'est ce que je me tue à leur répéter depuis tout à l'heure, mais personne ne semble en avoir rien à faire et préfère me harceler au sujet de ces fichus bracelets... » dit-il sur un un agacé.
Quand Nadja se mit parler à quelqu'un d'autre, il se désintéressa de la discussion qui se tenait, aussi n'entendit-il pas les propos d'Aeryn. Il essaya plutôt de mettre un peu d'ordre dans ses pensées qui partaient dans tous les sens. Il sentit l'étreinte se resserrer et se laisser aller dans ses bras.
« J'y peux rien… je t'assure que j'essaie… mais je n'y arrive pas, c'est plus fort que moi… c'est comme si mes émotions avaient pris le dessus et que j'étais incapable de reprendre le contrôle... C'est frustrant, tu peux pas savoir… Et dans combien de temps je vais m'habituer à ça, au juste ? » demanda-t-il, tendu.
Il ferma les yeux et se concentra sur sa respiration, se rappelant un vieil exercice du temps de l'académie destiné à... il ne savait plus quoi au juste, mais cela aidait souvent en cas de situation de stress intense. Un silence, relatif, se fit autour d'eux, qu'il apprécia vraiment. Voilà tout ce qu'il demandait, un peu de calme. Il rouvrit les yeux lorsque Nadja lui parla. Il s'assit sur le lit avec soulagement.
« Un peu… En fait, je me sens surtout complètement vidé et j'ai l'impression que ma tête va exploser. Mon esprit tourne en rond comme un cheval emballé sans que j'arrive à le calmer. » dit-il d'une voix fatiguée.
Il se laissa tomber sur ses oreillers et replia un bras sur ses yeux pour se protéger de la lumière, sans pour autant lâcher l'autre main de Nadja.
« Merci… Si tu n'étais pas intervenue, je crois que j'aurais fait une grosse connerie et que je serais peut-être dans une cellule à l'heure qu'il est. » murmura-t-il.
« C'est ce que je me tue à leur répéter depuis tout à l'heure, mais personne ne semble en avoir rien à faire et préfère me harceler au sujet de ces fichus bracelets... » dit-il sur un un agacé.
Quand Nadja se mit parler à quelqu'un d'autre, il se désintéressa de la discussion qui se tenait, aussi n'entendit-il pas les propos d'Aeryn. Il essaya plutôt de mettre un peu d'ordre dans ses pensées qui partaient dans tous les sens. Il sentit l'étreinte se resserrer et se laisser aller dans ses bras.
« J'y peux rien… je t'assure que j'essaie… mais je n'y arrive pas, c'est plus fort que moi… c'est comme si mes émotions avaient pris le dessus et que j'étais incapable de reprendre le contrôle... C'est frustrant, tu peux pas savoir… Et dans combien de temps je vais m'habituer à ça, au juste ? » demanda-t-il, tendu.
Il ferma les yeux et se concentra sur sa respiration, se rappelant un vieil exercice du temps de l'académie destiné à... il ne savait plus quoi au juste, mais cela aidait souvent en cas de situation de stress intense. Un silence, relatif, se fit autour d'eux, qu'il apprécia vraiment. Voilà tout ce qu'il demandait, un peu de calme. Il rouvrit les yeux lorsque Nadja lui parla. Il s'assit sur le lit avec soulagement.
« Un peu… En fait, je me sens surtout complètement vidé et j'ai l'impression que ma tête va exploser. Mon esprit tourne en rond comme un cheval emballé sans que j'arrive à le calmer. » dit-il d'une voix fatiguée.
Il se laissa tomber sur ses oreillers et replia un bras sur ses yeux pour se protéger de la lumière, sans pour autant lâcher l'autre main de Nadja.
« Merci… Si tu n'étais pas intervenue, je crois que j'aurais fait une grosse connerie et que je serais peut-être dans une cellule à l'heure qu'il est. » murmura-t-il.