Le Retour de Régis

Vladimir Illich fait le tour des pupitres de la passerelle. Le Zephire a été lancé complétement au hasard, heureusement Il n'y a pas eux de problème cette fois dans ce bond vers l'inconnue. La route est facile a retracer. Toutes les données sont là. Il suffit simplement de paramètre une route inverse pour le retour. Ils ont la vitesse, la distance, et l'azimute. En attendant le Sergent ce lance dans les calcules, puis ceci fait préparer la programmation d'un vole directe pour retrouver le JPS.
Il lance une simulation, pour vérifier qu'il n'a rien oublier. Il y a simplement ce passage étrange, ils abordent un navire, puis juste après il y a un combat spatial....... Mais le vaisseau ennemie.......... fuit. Une personne à du lire un DVD de SF.....
Tous les paramètres sont au vert, alors comme un simple pilote de l'Aeroflot, Vladimir ouvre le micro général du Zéphyr " - Il est treize heure, heure universel, la température est de vingt degrés, nous sommes prêt au décollage...."

En entendant le Goa’uld lui susurrer des soi-disant souvenirs libidineux, Nadja ne put s’empêcher de frissonner. Avait-elle réellement... ? Non elle refusait d’y croire. Elle serra la crosse de son arme un peu plus fermement et regarda du côté de Teoh. Un seul mot de sa part et elle logerait une balle dans le crane de ce monstre sans autre forme de procès.

Mais l’ordre ne vint pas et le lieutenant accepta de donner le statut d’invité au serpent. L’ex marine serra les lèvres, mais rangea néanmoins son arme. Avec un peu de chance, il y aurait d’autres occasions.

« - Je vais rester là pour la surveiller, doc. Elle dit sans doute vrai pour son opposition à Tonatiuh, mais on ne peut pas leur faire confiance. »

Quelques jours après le retour du Zephir, Regis mangeait seul à la cantine. Depuis qu’il avait tenté d’égayer une soirée triste à mourir, tous le monde semblait lui en vouloir. C’était sa faute, sans doute, si ces barges avaient piqué un vaisseau et sauvé une princesse goa’uld en détresse ? Avec les informations qu’elle allait leur ramener, c’est une médaille qu’on aurait dû lui offrir. Mais non, il était devenu un paria sur la station et rasait les murs, terrifié par les militaires qui le regardait méchamment. Il n’y avait que ans les lieux publics qu’il se sentait bien, comme ici.

Une forme apparue soudain en face de lui et il faillit avaler de travers quand l’immense nana posa son plateau en face du sien. Avant qu’il n’ait pu faire un mouvement, sa main disparaissait dans celle de Cook et une douleur au pouce le fit totalement s’immobiliser.

« - Ferme-la et écoute. Tu sais ce que tu nous a fait vivre, et tu sais pourquoi je suis la. Tu as le choix. Ca peut se passer très vite, ici et maintenant, et ça restera entre toi et moi. Ou ça peut arriver n’importe quand et ca fera vraiment tres mal. Tu choisis quoi ?
- Je…
- Un mot plus haut que l’autre et mon offre prend fin. T’as dix secondes. »

Il la regarda, espérant qu’elle plaisantait, qu’elle voulait l’intimider. Mais non, elle était sérieuse. Quelqu’un interviendrait-il pour le sauver ? Pas sur. Lentement il hocha la tête et le sourire fr cette folle furieuse s’élargit en même temps que son pouce se brisait comme une brindille sèche. Il inspira profondément, mais elle lui fit signe de se taire alors que son index se brisait aussi, suivi du majeur.

« - La prochaine fois que tu drogueras des gens tu penseras aux conséquences et a ce que nous pouvons ressentir quand nous nous voyons, à présent. Tu vas aller à l’infirmerie et expliquer à quel point tu es maladroit avec les portes. Et sois convaincant. Si j’entends la moindre rumeur, je serai beaucoup moins gentille. Tire-toi maintenant ! »

Sans demander son reste le technicien se leva et sorti, la main dissimulée sous sa chemise. Nadja pour sa part attaqua son repas avec appétit. Si elle ne pourrait pas oublier ce qu’elle avait fait sur le Zephir, au moins pourrait elle à présent se le pardonner.

Au retour au JPL, Vadimir Illich eu beaucoup de problème. Il fallu répondre pour son passage sur le fauteuil de commandement, puis aussi au faite qu'il a piloter encore cette fois sans autorisation le CB-305 Zéphyr, L’interrogatoire dura trois jours et deux nuit, il fallu qu'il explique les calcules pour le voyage du retour, puis toute la programmation. Le plus dure ce fut, qu'on ne lui donna pas le temps de se changer et qu'il restât en caleçon. Comme il ne se souvenait de rien du début de la fête jusqu'au réveil sur la passerelle, le passage au sérum de vérité ne donna rien. On finit par le libérer. Il peut faire valider son vole sur sur son carnet, étant le seule pilote. Il trouve étrange d'avoir deux voles validés sur un appareil ou il n'est pas encore certifié....

Les choses se tassent à la longue le Russe finit par retrouver son pantalon au milieux de plein d'autres affaire. Mais il du faire teindre en noir, son costume blanc, la tache verte ne voulant pas partir. Il trouve aussi son mouchoir de pochette rouge.

Au cour d'un debriefing ou une partie des participant pure assister, on leurs expliqua ce qui c'est passé. Ils avaient bien participé à un combat spatial.

Vladimir ne revit pas la jeune femme à qui appartenant, le .... vous voyez ce que je veux dire! C'est une ethnologue spécialisée dans les Dieu et leurs rapports avec la population, elle serait repartis très vite sur terre ayant obtenu pleins de sujet d'étude pour une thèse.

Quand à son nœud papillon rouge, Vladimir Illich pense l'avoir revus dans les cheveux de Nadja Cook, elle s'en servait comme chouchou! Il n'a jamais osé lui réclamer en plus cela lui va bien.