Une fois remise d’aplomb, Aeryn reprit son poste et analysa rapidement la situation. Le constat faisait froid dans le dos. Si rien n’était fait, la station allait se désintégrer dans l’atmosphère, et il ne resterait pas assez d’elle pour remplir une petite cuillère funéraire.
Évidemment, elle pouvait toujours aller au C101 et quitter la station. Qui irait lui reprocher d’avoir sauvé sa peau ? Elle n’avait jamais prétendu au titre de héros après tout. Noa arriva alors qu’elle réfléchissait au meilleur moyen de rejoindre le cargo et lui demanda comment allait les autres. L’Egyptienne le regarda un instant sans bien comprendre sa question. Il se préoccupait de ses coéquipiers alors qu’ils allaient tous brulé vif ?
Elle lui murmura quelques mots rassurant avant de prendre l’ascenseur ? Au lieu d’appuyer sur le bouton qui l’aurait amené au niveau du hangar, elle se contenta de celui qui la renverrait à l’infirmerie. Arrivé au bon niveau, elle vida son injecteur dans sa carotide et marcha jusqu’à son domaine d’un pas rapide. Son rythme cardiaque rapide diffusa le produit dans son organisme en quelques secondes et elle était parfaitement opérationnelle pour faire son entrée.
« - Je veux une équipe de secours à tous les niveau prête à intervenir. Nous allons avoir des blessés à traiter et à déplacer si un ordre d’évacuation tombe. N’utilisez les téléporteurs internes qu’en cas d’urgence, les moteurs vont avoir besoin du maximum d’énergie disponible. ACTION !! »
Le personnel soignant s’éparpilla dans les couloirs très rapidement et elle consulta rapidement l’état des blessés qui avaient déjà été amenés. Brulures, fractures… rien d’urgent qui ne requiert son attention pour l’instant. Mais elle avait autre chose à faire d’urgent. Elle se rendit à l’armoire qui contenait les échantillons viraux les plus dangereux et les rangea avec précaution dans des tubes étanches. Si la station venait à se vaporiser, une seule de ses bactéries se rependant dans l’atmosphère ferait plus de victimes que la grippe espagnole. Elle téléporta ensuite le tout vers l’hôpital de la zone 51 pour les mettre définitivement à l’abri.
Elle soupira de soulagement et revint dans la salle de soin ou de nouveaux blessés arrivaient rapidement. Une bien belle journée en perspective, mais sans doute un peu chaude sur la fin.
Évidemment, elle pouvait toujours aller au C101 et quitter la station. Qui irait lui reprocher d’avoir sauvé sa peau ? Elle n’avait jamais prétendu au titre de héros après tout. Noa arriva alors qu’elle réfléchissait au meilleur moyen de rejoindre le cargo et lui demanda comment allait les autres. L’Egyptienne le regarda un instant sans bien comprendre sa question. Il se préoccupait de ses coéquipiers alors qu’ils allaient tous brulé vif ?
Elle lui murmura quelques mots rassurant avant de prendre l’ascenseur ? Au lieu d’appuyer sur le bouton qui l’aurait amené au niveau du hangar, elle se contenta de celui qui la renverrait à l’infirmerie. Arrivé au bon niveau, elle vida son injecteur dans sa carotide et marcha jusqu’à son domaine d’un pas rapide. Son rythme cardiaque rapide diffusa le produit dans son organisme en quelques secondes et elle était parfaitement opérationnelle pour faire son entrée.
« - Je veux une équipe de secours à tous les niveau prête à intervenir. Nous allons avoir des blessés à traiter et à déplacer si un ordre d’évacuation tombe. N’utilisez les téléporteurs internes qu’en cas d’urgence, les moteurs vont avoir besoin du maximum d’énergie disponible. ACTION !! »
Le personnel soignant s’éparpilla dans les couloirs très rapidement et elle consulta rapidement l’état des blessés qui avaient déjà été amenés. Brulures, fractures… rien d’urgent qui ne requiert son attention pour l’instant. Mais elle avait autre chose à faire d’urgent. Elle se rendit à l’armoire qui contenait les échantillons viraux les plus dangereux et les rangea avec précaution dans des tubes étanches. Si la station venait à se vaporiser, une seule de ses bactéries se rependant dans l’atmosphère ferait plus de victimes que la grippe espagnole. Elle téléporta ensuite le tout vers l’hôpital de la zone 51 pour les mettre définitivement à l’abri.
Elle soupira de soulagement et revint dans la salle de soin ou de nouveaux blessés arrivaient rapidement. Une bien belle journée en perspective, mais sans doute un peu chaude sur la fin.