// Accueil du camp ==> Test ou règlement de comptes ? //
Lorsqu'on lui avait dit que les nouvelles recrues seraient un médecin et un tireur d'élite, Hans avait choisi un test relatif à leurs compétences. mais les deux femmes l'avaient tellement énervé qu'il avait changer d'idée. Voyons comment elles s'en sortiraient dans cette pièce.
Blumberg ouvrit la porte de la salle et désigna l'ouverture sans un mot. Le message était clair, elles devaient entrer. Une fois la chose faite, il ne leur lança qu'une dernière phrase.
"Débrouillez vous pour sortir puisque vous êtes si maligne ! Mais vous avez plutôt intérêt à vous grouiller !"
Sur ce, il claqua la porte qui se verrouilla. Il était impossible de l'ouvrir de l'intérieur, malgré tous les efforts du monde. Il n'y avait même pas de poignée.
Un coup d'oeil à la pièce permirent aux deux femmes de découvrir l'aménagement spartiate de celle ci. Elle ne contenait pour tout meuble qu'un lourd coffre rempli de balles de jonglage. Les murs lisses de dix mètres de haut de comportaient qu'une grille de ventilation au plafond et quatre ouvertures dans les angles, au plafond également. Mais un autre éléments semblait étrange. Des boutons poussoirs d'un rouge éclatant étaient disséminés dans la pièce. Un au sol, un autre à environ un mètre de hauteur, un à environ 6 mètres de haut et un dernier à 1 mètre du plafond, sur les différents murs de la pièce.
Lorsqu'on lui avait dit que les nouvelles recrues seraient un médecin et un tireur d'élite, Hans avait choisi un test relatif à leurs compétences. mais les deux femmes l'avaient tellement énervé qu'il avait changer d'idée. Voyons comment elles s'en sortiraient dans cette pièce.
Blumberg ouvrit la porte de la salle et désigna l'ouverture sans un mot. Le message était clair, elles devaient entrer. Une fois la chose faite, il ne leur lança qu'une dernière phrase.
"Débrouillez vous pour sortir puisque vous êtes si maligne ! Mais vous avez plutôt intérêt à vous grouiller !"
Sur ce, il claqua la porte qui se verrouilla. Il était impossible de l'ouvrir de l'intérieur, malgré tous les efforts du monde. Il n'y avait même pas de poignée.
Un coup d'oeil à la pièce permirent aux deux femmes de découvrir l'aménagement spartiate de celle ci. Elle ne contenait pour tout meuble qu'un lourd coffre rempli de balles de jonglage. Les murs lisses de dix mètres de haut de comportaient qu'une grille de ventilation au plafond et quatre ouvertures dans les angles, au plafond également. Mais un autre éléments semblait étrange. Des boutons poussoirs d'un rouge éclatant étaient disséminés dans la pièce. Un au sol, un autre à environ un mètre de hauteur, un à environ 6 mètres de haut et un dernier à 1 mètre du plafond, sur les différents murs de la pièce.