Méta était sorti brutalement de la salle d’infirmerie. Bouillonnant de rage à cause des actions du père noël, il descendit au niveau des laboratoires et pénétra en trombe dans les laboratoires sécurisé.
Avec un grognement menaçant, il entra dans la pièce et fit partir tout le monde. Il alla s’asseoir au centre de la pièce, grognant et soufflant.
*Mais calme-toi bon sang ! C’est terminé maintenant, calme toi !
- SANNNNNNNNNNGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG !*
Méta se leva brutalement, et commençait à avoir mal au crane. Toujours comme ça quand ses deux personnalités entraient en conflits, l’une tentant de dominer l’autre, l’autre tentant de garder le contrôle sur le corps de métal.
« GRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! » Son hurlement se répercuta dans le vaisseau en rebondissant partout. A tous les coups quelqu’un allait venir s’assurer que tout allait bien, mais au vue de l’état de sa deuxième moitié, il fallait mieux l’atteler à une tache reposante en attendant.
*OCCUPE-TOI DE REPARER L’ARMURE BON SANG ! Ce n’est pas en grognant que cela changera quelque chose !
- Grrr…. Ok…. *
Méta plaça sa hache dans son dos de telle façon à cacher sa tête de derrière, et commença à se créer de quoi cacher son visage. Du papier qui trainait ferrait l’affaire.
Ce ne fut qu’au moment où il se décida à enlever son casque qu’il eut un moment d’hésitation.
Il n’avait pas le choix. Il allait devoir l’enlever s’il voulait réparer son casque. Pas le choix.
Il n’avait jamais eu le choix. Jamais eu le choix de vivre avec cette voix dans sa tête, jamais eu le choix de vivre seul. Seul, abandonné, à la limite de la folie. Ce qui restait de son casque s’enleva dans un chuintement sonore, et il le posa sur la table.
Il enroula sa tête avec du papier pour la cacher, se laissant un espace pour respirer avec le nez, ainsi qu’un espace beaucoup plus fin qui laissait difficilement voir la couleur marron de ses yeux.
Il entendit du bruit, et grogna. Sourdement, menaçant. En posant sa main sur sa hache. Il ne voulait pas être déranger par la piétaille. Il commença d’abord par tenter de fixer les pièces d’armure qui ne nécessitaient pas de manœuvres compliquées. En surchauffant ses morceaux d’armure afin de d’affaiblir les contours des pièces, il pourrait les poser à leurs places respectives. Son armure avait en fait été conçu pour pouvoir être réparer dans toutes les conditions, avec le minimum de ressource, en l’occurrence un feu, tout en gardant la même solidité que lorsque l'armure était complète.
Avec un grognement menaçant, il entra dans la pièce et fit partir tout le monde. Il alla s’asseoir au centre de la pièce, grognant et soufflant.
*Mais calme-toi bon sang ! C’est terminé maintenant, calme toi !
- SANNNNNNNNNNGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG !*
Méta se leva brutalement, et commençait à avoir mal au crane. Toujours comme ça quand ses deux personnalités entraient en conflits, l’une tentant de dominer l’autre, l’autre tentant de garder le contrôle sur le corps de métal.
« GRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! » Son hurlement se répercuta dans le vaisseau en rebondissant partout. A tous les coups quelqu’un allait venir s’assurer que tout allait bien, mais au vue de l’état de sa deuxième moitié, il fallait mieux l’atteler à une tache reposante en attendant.
*OCCUPE-TOI DE REPARER L’ARMURE BON SANG ! Ce n’est pas en grognant que cela changera quelque chose !
- Grrr…. Ok…. *
Méta plaça sa hache dans son dos de telle façon à cacher sa tête de derrière, et commença à se créer de quoi cacher son visage. Du papier qui trainait ferrait l’affaire.
Ce ne fut qu’au moment où il se décida à enlever son casque qu’il eut un moment d’hésitation.
Il n’avait pas le choix. Il allait devoir l’enlever s’il voulait réparer son casque. Pas le choix.
Il n’avait jamais eu le choix. Jamais eu le choix de vivre avec cette voix dans sa tête, jamais eu le choix de vivre seul. Seul, abandonné, à la limite de la folie. Ce qui restait de son casque s’enleva dans un chuintement sonore, et il le posa sur la table.
Il enroula sa tête avec du papier pour la cacher, se laissant un espace pour respirer avec le nez, ainsi qu’un espace beaucoup plus fin qui laissait difficilement voir la couleur marron de ses yeux.
Il entendit du bruit, et grogna. Sourdement, menaçant. En posant sa main sur sa hache. Il ne voulait pas être déranger par la piétaille. Il commença d’abord par tenter de fixer les pièces d’armure qui ne nécessitaient pas de manœuvres compliquées. En surchauffant ses morceaux d’armure afin de d’affaiblir les contours des pièces, il pourrait les poser à leurs places respectives. Son armure avait en fait été conçu pour pouvoir être réparer dans toutes les conditions, avec le minimum de ressource, en l’occurrence un feu, tout en gardant la même solidité que lorsque l'armure était complète.