[Mission 1 ] - Tour de Garde, extrat!

Mortimer entraînait Maxence vers le hangar ou ce trouvais le convertisseur.

" - Je dis, nous irons prendre un sandwich à le cuisine, puis nous nous installeront dans un endroits ou personne ne viendra nous déranger, pour travailler le question du quart du Militaire Personnel. Je connais le base, n'est il pas!
Et un petit peut les gens et toi tu les fréquentes plus. On arrive j’entends les bruits de préparation des repas, par Jupiter!"

Effectivement le lieu est en pleine activité. L’Écossais avise un marmiton, et lui commande de quoi grignoter, ainsi que cinq mètres de papier d'emballage.

Une fois servit, par des coursives, le Lieutenant-Colonel entraîne le Lieutenant vers son lieu de travail.

Il y a un code, sur la porte, que Dunaïm saisi, sans ce tromper.

" - C'est le même que celui, qui servait pour activer nos minutemans, à le base, quinze fois zéros, pour éviter les risques d’erreurs, et allé plus vite.
Tu pourras laisser ton sac ici, mais garde tes armes que tu devras plus tard amener à l'armurerie."

Notre homme allume la lumiere, ou trône une immense machine. Un long tube tournant, lentement

" - C'est le convertisseur, qui convertie le surplus électricité, de le base, en chaleur... Je te ferais visiter plus tard."

Il y a un grand établie relativement vide. Mortimer déploie la grande feuille de papier. La coupe en deux. Il tend une feuille à Maxence.

" - Tu peux commencer par noter les noms que tu te souvient, je compléterais... J'ai déjà compter le nombre d'hommes, lors votre arrivé dans le base"

L'Ingénieur Maintenance prend des marqueurs dans un bock à bière (vide) et en tend un au Français. Notre homme dessine le plan de la base, ou on distingue très bien la Grande Porte, les Canons Anti-ariens, et les générateurs des Boucliers

Maxence et Mortimer, établissaient peut à peut les tours de gardes, ils avaient bien avancé, quand le haut parleur de l’interphone se mit à grésiller puis à délivrer un message générale de la base.

"Une équipe médicale est demandée d'urgence dans le local de pré-stockage, une équipe médicale est demandée d'urgence dans le local de pré-stockage, delta, charlie, delta."

Notre homme lève la tête... Il y a quelques chose qui cloche dans ce message, mais il ne voit pas quoi, généralement ils délivrent des messages d’aspect généraux, comme le temps qui fait, c'est aujourd'hui la fête des Ryans, mais depuis qu'il est sur Pallas... Il y avait bien quelques appelles d'urgence, mais... Mais oui c'était cela, Le Lieutenant Colonel, comprit ce qui était différent de d’habitude, il y avait trois mots à la fin du message, delta, charlie, delta.
Mais mais qu'est ce que cela voulait dire ?
Y avait il un sens caché?

L’Écossais était bon pour vider une bouteille de scotch, mais très mauvais pour les rébus...

Il se remit sur sa liste, en se demandant si il devait se mettre sur la liste...  Et comme il n'avait pas de flacon de whisky à terminé, il se concentrait sans le vouloir sur ce probleme.. Les trois mots dansaient  dans sa tête...

*delta, charlie, delta.*
*dElTa, cHaRlIe,  dElTa.*
*Delta, Charlie, Delta.*
*D...elta, C...harlie, D...elta*
*D, C, D...*
*Dé... Cé... Dé...*

Soudain les yeux, de l'Ingénieur Maintenance, ce firent tout rond

" - Par Jupiter, décédé, et toute ces sortes de chose... Un mort sur Pallas?"

Les deux hommes se remirent au travail, quand soudain un deuxième appelle survint. Il y avait cette fois une alerte, et il fallait aller.
Ils avaient presque fini de toute façon.

" - Je dis, Maxence, vieux garçon, tu peux laisser ton sac ici. Je fermerais le porte par Jupiter, tu connais le code!"

Pendant que le Lieutenant s'équipait, Mortimer, lui se demandait, ce qu'il pouvait faire, il n'avait pas d'arme mais il avait sa caisse à outil, qui contenait des marteaux, des maillets, des tournevis, des clef à allen, une mini scie universelle, un décapsuleur, différentes pinces, un sert joint, des gants en coton, un miroir, un quart de C4 (Non Ryan cela ne fait pas C1), des détonateurs, des lunettes de protections, un mini chalumeau à gaz, du tabac, un briquet amadou, le Play Boy n°879 sans le poster centrale, des clous, des visses, de la colle, de l'huile, un flash de Whisky, à moitié plein, une gourde d'eau (vide), et des trucs indéterminé, mais pouvant être utile.

Ni une ni deux, le Lieutenant-Colonel, prend ses outils, peut être cela pourra servir...

L’Ingénieur Maintenance ramasse le travail qu'ils avaient pour les tours de garde et les remettra en main propre à Ryan.

Il suit le Français, en prenant soin de fermer sa porte, et il part vers vers son lieux de rassemblement... Sans savoir ou celui-ci ce situe.

Salle du Convertisseur => Lieu de rassemblement

Le Lieutenant-Colonel emmena Maxence à travers la base, bien que tout cela était loin d'être comparable à la Zone 52 ou même à la bonne vieille station spatiale du SDT, le lieu restait très impressionnant. En effet on pourrait croire que les bâtiments étaient fragiles et vulnérables, mais c'était sans compter sur les canons anti aériens et sur le générateur de bouclier.

Avant de travailler cependant, il fallait commander à manger, grand gourmand qu'il était, Dubois prit un grand sandwich au poulet mayonnaise et une bouteille d'eau, avant de suivre Mortimer :

"On ne travaille pas le ventre vide Colonel !" s'exclama-t-il sur un ton plaisantin

Il fut assez étonné du code si simpliste pour accéder au hangar, mais d'un autre côté, c'était pas si bête. Qui pourrait se douter de cela après tout ? Dubois posa son sac comme lui avait dit Mortimer, mais garda ses armes, il siffla lorsqu'il vit la machine tourner... un convertisseur ? Il n'avait aucune idée de ce qu'était ce machin...

Enfin, il y avait du travail ! Il fallait d'abord dresser une liste du personnel pour organiser les tours de garde.

Les deux soldats réussirent à dresser une liste des noms quand un appel radio apparut, informant d'un mort... Le commando bien aguerrit resta calme, car entreprendre une action dans la précipitation, et surtout sans en avoir reçu l'ordre, dans ce genre de situation, pouvait s'avérer dangereux. C'était peut-être un bête accident, mais intérieurement, il était inquiet pour la sécurité de cette base...

Un deuxième appel surgit ensuite, il fallait partir cette fois, Dubois vérifia son équipement et les deux allèrent en direction du rassemblement


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