Andrew Blake
Age : 31 ans
Sexe : Masculin
Type de personnage : Militaire
Spécialité : Déminage et armement
Physique : Musclé. Grand. Visage fermé. On pourrait s’arrêter là, et on aurait pratiquement fait le tour de l’apparence physique de cet homme. Mais bien entendu, que serait une description physique sans des détails ? Ou du moins, sans un portrait plus complet que de s’arrêter à donner trois mots. Enfin, quatre. Bref. Commençons par le commencement, c'est-à-dire la généralité. De bonne stature, le jeune homme (oui, 31 ans c’est pas vieux, namého) possède un corps relativement fin, musclé à la dure (vie de militaire oblige) et à même d’imposer le respect dans la rue. Trop de gens se font agresser parce qu’ils semblent frêles. Ce n’est pas son cas. Passons à la suite. Le dos bien droit, quelques petites cicatrices, un tatouage représentant une tête de mort entre les deux omoplates. Peu de gens peuvent se vanter d’avoir d’ailleurs vu ce tatouage. Maintenant le visage. Chose la plus importante du physique, vous en conviendrez. Et même si vous êtes pas d’accord on s’en tamponne l’oreille avec une babouche. Ma fiche, ma présentation. Donc, des cheveux châtains sur le sommet du crâne (et l’arrière oui aussi). Des yeux marron clairs, une peau tout à fait européenne. Une barbe naissante, peu entretenue car forcément faut laisser le temps que ça pousse. Un visage la plupart du temps fermé, impassible, ne trahissant aucune émotion ou presque. Il a appris à le faire depuis ses 17 ans, remarque. Et l’armée, ainsi que son activité en son sein, l’a aidé à renforcer ce côté-là. Du côté de son style vestimentaire, il porte toujours la tenue du programme, avec la veste noire, le pantalon noir, les rangers, et bien entendu le logo sur l’épaule.
Caractère : Andrew… n’est pas un mauvais bougre. Ce n’est pas non plus un type méchant. Il est simplement… silencieux. Il parle peu, généralement que lorsque c’est nécessaire. Il en faut pour lui faire ouvrir la bouche. Il faut vraiment qu’il n’ait pas trop le choix, par exemple si c’est un supérieur qui lui parle. Dans ce genre de cas, il est bien obligé de répondre. Mais là encore, il s’arrange pour en dire le moins possible. Il s’avère, lorsque que la glace est brisée, quelqu’un de sympathique, toutefois. Il aide volontiers les gens, arrive même à sourire de temps en temps. En ce qui concerne ses loisirs, il est rare de le voir faire autre chose que manger, dormir, boire, et… la musique. Un moyen sur de l’intégrer à une conversation ? La musique ! Grand amateur de rock et autres dérivés de ce style, Andrew est un guitariste à ses heures perdues. Bien qu’écoutant des groupes relativement modernes, il lui arrive d’en écouter des plus vieux, notamment l’incontournable groupe Queen, légende parmi les légendes selon lui. Mais nous nous égarons là. Il s’agit donc d’une faiblesse à exploiter, pour un peu qu’on la connaisse, bien entendu. Il n’a guère d’ami. Les seuls qui pourraient gagner ce mot, le mériter, sont rares. Voir morts. Trop de ses camarades soldats sont morts pour qu’il se fasse encore des amis. Il commence à en avoir assez. Niveau intelligence, n’entrez pas dans le débat militaire/scientifique. Il est relativement doué en math, bien qu’il préfère des domaines moins scientifiques. Il a une large connaissance des armements et des matériels de guerre. De plus, il maîtrise deux langues, en plus de l’anglais : le français, appris à l’école, et l’allemand. Bien sur, son français continue d’exaspérer ceux que naissent avec la langue de Molière, à cause de son indéniable accent écossais. Il adorerait parler russe mais se dit que la Guerre Froide est finie depuis trop longtemps pour ça vaille le coup.
Histoire : Né à Glasgow, en Ecosse, Andrew Blake est le fils d’un militaire anglais et d’une écossaise enseignant l’allemand. Il est né sans connaitre son père, qui partit bien avant la naissance de l’enfant. Bien que haïssant son père, Andrew n’a jamais voulu faire autre chose que militaire. Il estimait qu’il allait de sa propre fierté de réussir là où son père avait lamentablement échoué : être militaire et un homme qui assume ses responsabilités. Autrement dit, un homme, pas un lâche.
C’est dans cet optique que grandit le jeune homme : renfermé, n’acceptant pas beaucoup qu’on lui marche sur les pieds, et faisant tout ce qu’il pouvait pour obtenir la reconnaissance des gens. Une scolarité difficile accompagne le jeune homme. Dès l’âge de dix ans, il a déjà redoublé deux fois. Il n’arrive pas à s’intégrer comme il le devrait dans une classe. On le juge trop… différent. Il n’y a pas d’autres mots ou expressions pour cela. Différent, dans ce cas, veut dire cinq fois plus mature que les autres, et au moins dix fois moins loquace. Et bien sur, des notes qui ne dépassent jamais le B, sauf en langue. Il faut attendre encore quelques années, et l’âge de 15 ans, pour qu’Andrew devienne soudainement quelqu’un qui bosse.
En effet, cette année là, deux choses se passent dans sa vie. Premièrement, il rencontre pour la première fois son père. Le choc est assez violent d’ailleurs, car Andrew tente de le frapper en le voyant. Bien que rapidement maîtrisé par son père et sa demi-sœur (sa mère s’était remariée) le jeune homme n’est pas calme pour un sou. Il fulmine, il continue de chercher à en mettre une dans le visage de son géniteur. Les explications viennent, mais ne parviennent pas à convaincre le jeune homme. Il décide de s’enfuir.
Il reviendra, trois jours plus tard, après avoir fait une drôle de rencontre. L’un des rares amis qu’il avait l’avait hébergé, et il y a fait la connaissance du grand frère de son ami, militaire. Une longue discussion anime les deux personnes, Andrew étant passionné par ça. Il comprend rapidement la désillusion de la vie militaire, qui n’a rien à voir avec ce qu’on voit dans un film ou dans une série. Mais bizarrement, cela ne lui plait que davantage. Il se renforce dans l’idée qu’il peut faire mieux que son père. Qu’il peut concilier vie de famille et vie de militaire. Malheureusement pour lui, sa vie sentimentale est une série d’échecs. Bien que plutôt séduisant, il ne parvient jamais à franchir complètement le cap émotionnel, ce qui lasse forcément ses compagnes.
A 19 ans, il s’engage. Envoyé sous mandat de l’ONU au Moyen-Orient, il devient rapidement clair pour lui que le militaire de base n’est pas ce qui lui convient. Il se spécialise dans le déminage, devenant ainsi un soldat ayant une réputation de « tête brûlée » et de « taré ». Car c’est ainsi que sont vu les démineurs. Il côtoie des soldats de différentes nationalités, notamment des américains, des français et des allemands. Ce n’est pas pour autant qu’il en devient plus sociable. Il montera en grade trois fois. Caporal. Puis sergent. Avant de redescendre à caporal pour redevenir sergent. Et finalement, quelques mois avant aujourd’hui, après une dizaine d’années en Afghanistan, il tombe sur un objet dans le sable. Objet qu’il garde précieusement avec lui, le cachant, car indéniablement d’une avancée technologique supérieure.
De retour chez lui, en Ecosse, Andrew tente d’en percer les secrets. Il touche l’appareil, l’active, et essaye de comprendre. L’écriture qu’il voit ne lui dit absolument rien, ressemblant à un truc si complexe qu’aucun humain ne pourrait le comprendre. C’est du moins ce qu’il pense. Trois jours après activation, il reçoit la visite de deux hommes, l’un en costume sur mesure, l’autre en tenue de gala américain. Son premier réflexe est de mettre la main sur le pistolet qu’il garde sur lui. Mais la suite devient absolument… incroyable. On lui apprend l’existence d’un artefact appelé Porte des Etoiles. Puis, de voyage à travers l’espace. Et enfin, d’une race appelée les Anciens. D’une autre appelée les Goa’ulds.
Le premier réflexe d’Andrew ? Eclater de rire. Il y avait longtemps qu’il n’avait pas entendu une telle chose. Il répond qu’après dix ans de déminage au Moyen-Orient, on peut être sur d’avoir vu assez de trucs dingues. Un contre-argument ne tarde pas à venir, car l’homme en costume prend l’appareil touché par Andrew, et lui lis ce qui est marqué. Et là, bien sur, réaction avec les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte… Non, disons juste une stupéfaction totale dans le regard. Subitement, bien sur, la conversation change d’intérêt. On explique à Andrew le but du programme concernant la Porte des Etoiles. Bien qu’étant un démineur, il ne peut qu’avouer que les sensations fortes ça le tente. Et une telle aventure serait… plus que tentante. Elle serait incroyable. Unique. Il y réfléchit encore quand les deux hommes, le militaire et celui en costard, font mine de partir. Il se précipite alors, demandant où est-ce qu’on signe. Mais il devait bien avouer qu’i l ne s’attendait pas à avoir le gêne des Anciens (ça il ne le sait pas encore) ni à aller sur une station spatiale (ça il le découvre en arrivant).
Acteur : Ewan Mcgregor
Avez-vous déjà joué des forums RPG : Yep
Quelle est votre fréquence de connexion : A ma guise
Comment avez-vous découvert SGZ ? : A ma façon
Sexe : Masculin
Type de personnage : Militaire
Spécialité : Déminage et armement
Physique : Musclé. Grand. Visage fermé. On pourrait s’arrêter là, et on aurait pratiquement fait le tour de l’apparence physique de cet homme. Mais bien entendu, que serait une description physique sans des détails ? Ou du moins, sans un portrait plus complet que de s’arrêter à donner trois mots. Enfin, quatre. Bref. Commençons par le commencement, c'est-à-dire la généralité. De bonne stature, le jeune homme (oui, 31 ans c’est pas vieux, namého) possède un corps relativement fin, musclé à la dure (vie de militaire oblige) et à même d’imposer le respect dans la rue. Trop de gens se font agresser parce qu’ils semblent frêles. Ce n’est pas son cas. Passons à la suite. Le dos bien droit, quelques petites cicatrices, un tatouage représentant une tête de mort entre les deux omoplates. Peu de gens peuvent se vanter d’avoir d’ailleurs vu ce tatouage. Maintenant le visage. Chose la plus importante du physique, vous en conviendrez. Et même si vous êtes pas d’accord on s’en tamponne l’oreille avec une babouche. Ma fiche, ma présentation. Donc, des cheveux châtains sur le sommet du crâne (et l’arrière oui aussi). Des yeux marron clairs, une peau tout à fait européenne. Une barbe naissante, peu entretenue car forcément faut laisser le temps que ça pousse. Un visage la plupart du temps fermé, impassible, ne trahissant aucune émotion ou presque. Il a appris à le faire depuis ses 17 ans, remarque. Et l’armée, ainsi que son activité en son sein, l’a aidé à renforcer ce côté-là. Du côté de son style vestimentaire, il porte toujours la tenue du programme, avec la veste noire, le pantalon noir, les rangers, et bien entendu le logo sur l’épaule.
Caractère : Andrew… n’est pas un mauvais bougre. Ce n’est pas non plus un type méchant. Il est simplement… silencieux. Il parle peu, généralement que lorsque c’est nécessaire. Il en faut pour lui faire ouvrir la bouche. Il faut vraiment qu’il n’ait pas trop le choix, par exemple si c’est un supérieur qui lui parle. Dans ce genre de cas, il est bien obligé de répondre. Mais là encore, il s’arrange pour en dire le moins possible. Il s’avère, lorsque que la glace est brisée, quelqu’un de sympathique, toutefois. Il aide volontiers les gens, arrive même à sourire de temps en temps. En ce qui concerne ses loisirs, il est rare de le voir faire autre chose que manger, dormir, boire, et… la musique. Un moyen sur de l’intégrer à une conversation ? La musique ! Grand amateur de rock et autres dérivés de ce style, Andrew est un guitariste à ses heures perdues. Bien qu’écoutant des groupes relativement modernes, il lui arrive d’en écouter des plus vieux, notamment l’incontournable groupe Queen, légende parmi les légendes selon lui. Mais nous nous égarons là. Il s’agit donc d’une faiblesse à exploiter, pour un peu qu’on la connaisse, bien entendu. Il n’a guère d’ami. Les seuls qui pourraient gagner ce mot, le mériter, sont rares. Voir morts. Trop de ses camarades soldats sont morts pour qu’il se fasse encore des amis. Il commence à en avoir assez. Niveau intelligence, n’entrez pas dans le débat militaire/scientifique. Il est relativement doué en math, bien qu’il préfère des domaines moins scientifiques. Il a une large connaissance des armements et des matériels de guerre. De plus, il maîtrise deux langues, en plus de l’anglais : le français, appris à l’école, et l’allemand. Bien sur, son français continue d’exaspérer ceux que naissent avec la langue de Molière, à cause de son indéniable accent écossais. Il adorerait parler russe mais se dit que la Guerre Froide est finie depuis trop longtemps pour ça vaille le coup.
Histoire : Né à Glasgow, en Ecosse, Andrew Blake est le fils d’un militaire anglais et d’une écossaise enseignant l’allemand. Il est né sans connaitre son père, qui partit bien avant la naissance de l’enfant. Bien que haïssant son père, Andrew n’a jamais voulu faire autre chose que militaire. Il estimait qu’il allait de sa propre fierté de réussir là où son père avait lamentablement échoué : être militaire et un homme qui assume ses responsabilités. Autrement dit, un homme, pas un lâche.
C’est dans cet optique que grandit le jeune homme : renfermé, n’acceptant pas beaucoup qu’on lui marche sur les pieds, et faisant tout ce qu’il pouvait pour obtenir la reconnaissance des gens. Une scolarité difficile accompagne le jeune homme. Dès l’âge de dix ans, il a déjà redoublé deux fois. Il n’arrive pas à s’intégrer comme il le devrait dans une classe. On le juge trop… différent. Il n’y a pas d’autres mots ou expressions pour cela. Différent, dans ce cas, veut dire cinq fois plus mature que les autres, et au moins dix fois moins loquace. Et bien sur, des notes qui ne dépassent jamais le B, sauf en langue. Il faut attendre encore quelques années, et l’âge de 15 ans, pour qu’Andrew devienne soudainement quelqu’un qui bosse.
En effet, cette année là, deux choses se passent dans sa vie. Premièrement, il rencontre pour la première fois son père. Le choc est assez violent d’ailleurs, car Andrew tente de le frapper en le voyant. Bien que rapidement maîtrisé par son père et sa demi-sœur (sa mère s’était remariée) le jeune homme n’est pas calme pour un sou. Il fulmine, il continue de chercher à en mettre une dans le visage de son géniteur. Les explications viennent, mais ne parviennent pas à convaincre le jeune homme. Il décide de s’enfuir.
Il reviendra, trois jours plus tard, après avoir fait une drôle de rencontre. L’un des rares amis qu’il avait l’avait hébergé, et il y a fait la connaissance du grand frère de son ami, militaire. Une longue discussion anime les deux personnes, Andrew étant passionné par ça. Il comprend rapidement la désillusion de la vie militaire, qui n’a rien à voir avec ce qu’on voit dans un film ou dans une série. Mais bizarrement, cela ne lui plait que davantage. Il se renforce dans l’idée qu’il peut faire mieux que son père. Qu’il peut concilier vie de famille et vie de militaire. Malheureusement pour lui, sa vie sentimentale est une série d’échecs. Bien que plutôt séduisant, il ne parvient jamais à franchir complètement le cap émotionnel, ce qui lasse forcément ses compagnes.
A 19 ans, il s’engage. Envoyé sous mandat de l’ONU au Moyen-Orient, il devient rapidement clair pour lui que le militaire de base n’est pas ce qui lui convient. Il se spécialise dans le déminage, devenant ainsi un soldat ayant une réputation de « tête brûlée » et de « taré ». Car c’est ainsi que sont vu les démineurs. Il côtoie des soldats de différentes nationalités, notamment des américains, des français et des allemands. Ce n’est pas pour autant qu’il en devient plus sociable. Il montera en grade trois fois. Caporal. Puis sergent. Avant de redescendre à caporal pour redevenir sergent. Et finalement, quelques mois avant aujourd’hui, après une dizaine d’années en Afghanistan, il tombe sur un objet dans le sable. Objet qu’il garde précieusement avec lui, le cachant, car indéniablement d’une avancée technologique supérieure.
De retour chez lui, en Ecosse, Andrew tente d’en percer les secrets. Il touche l’appareil, l’active, et essaye de comprendre. L’écriture qu’il voit ne lui dit absolument rien, ressemblant à un truc si complexe qu’aucun humain ne pourrait le comprendre. C’est du moins ce qu’il pense. Trois jours après activation, il reçoit la visite de deux hommes, l’un en costume sur mesure, l’autre en tenue de gala américain. Son premier réflexe est de mettre la main sur le pistolet qu’il garde sur lui. Mais la suite devient absolument… incroyable. On lui apprend l’existence d’un artefact appelé Porte des Etoiles. Puis, de voyage à travers l’espace. Et enfin, d’une race appelée les Anciens. D’une autre appelée les Goa’ulds.
Le premier réflexe d’Andrew ? Eclater de rire. Il y avait longtemps qu’il n’avait pas entendu une telle chose. Il répond qu’après dix ans de déminage au Moyen-Orient, on peut être sur d’avoir vu assez de trucs dingues. Un contre-argument ne tarde pas à venir, car l’homme en costume prend l’appareil touché par Andrew, et lui lis ce qui est marqué. Et là, bien sur, réaction avec les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte… Non, disons juste une stupéfaction totale dans le regard. Subitement, bien sur, la conversation change d’intérêt. On explique à Andrew le but du programme concernant la Porte des Etoiles. Bien qu’étant un démineur, il ne peut qu’avouer que les sensations fortes ça le tente. Et une telle aventure serait… plus que tentante. Elle serait incroyable. Unique. Il y réfléchit encore quand les deux hommes, le militaire et celui en costard, font mine de partir. Il se précipite alors, demandant où est-ce qu’on signe. Mais il devait bien avouer qu’i l ne s’attendait pas à avoir le gêne des Anciens (ça il ne le sait pas encore) ni à aller sur une station spatiale (ça il le découvre en arrivant).
Acteur : Ewan Mcgregor
Avez-vous déjà joué des forums RPG : Yep
Quelle est votre fréquence de connexion : A ma guise
Comment avez-vous découvert SGZ ? : A ma façon
Dernière édition par Andrew Blake le Dim 2 Juin 2013 - 12:03, édité 3 fois