RP LIVE V2 - Qu'il est con ce Régis !

Noa hocha la tête à la réponse de Paul puis le regarda avec un regard appuyé et un large sourire lorsqu'il traita Skylar d' "adolescent". Un regard qui disait « T'es sérieux, tu le charrie encore avec ça ? ». Paul était clairement rentré dans le jeu de Sarah qui s'était amusé à infantilisé le jeune homme. Mais ce dernier ne s'en était pas du tout offusqué, ce qui avait sans doute poussé Sarah à ne pas arrêter.

Noa s'étonna de la réaction du jeune homme avec ses couverts. Pourquoi parlais-t-il de manger ? Et de friand au fromage ? La situation était totalement absurde. La réponse que lui fit Ayni l'étonna. Et Il se mit à se demander si le type n'était pas un peu ... limité...

Puis les enfants les emmenèrent vers ce qui semblait être leur village.
Noa ria en regardant Paul, à la réaction de Nadira concernant la proposition du gamin. Le néo-zélandais s'assit rapidement et on lui donna une assiette de riz, de viande, ainsi qu'un verre d'alcool fort qu'il failli recraché, surpris. Finalement, il avala le breuvage, les yeux brillants et toussa.

Noa vit un des militaires qu'il ne connaissait pas sortir un gros couteau et jouer avec. Le néo-zélandais se pencha en avant pour lui murmura:
" Vous devriez éviter ça... ce serait malvenue d'effrayer nos hôtes "
Sur ces paroles, le jeune homme leva son verre en direction de leurs hôtes et ceux ci firent de même en riant.

« Je te le fais pas dire ! » répondit Noa à la phrase de Skylar concernant Sarah. Il continuait à regarder son assiette, un sourire à peine retenu sur les lèvres en voyant l'image de la jeune lieutenant,  les cheveux en bataille et la tête renversée en arrière alors qu'elle buvait au goulot d'une bouteille de whisky.

Puis Noa haussa les épaules à la question de Ayni.
«  Pas de beug !.... J'en serais responsable ! Ajouta-t-il.

Noa se tourna ensuite vers le jeune homme étrange aux couverts à côté duquel il s'était assis. Il lui tendit la main.
«  Noa Pakeha, informaticien, je suis sur le JPS. Et vous êtes ? » expliqua t-il.

Dernière édition par Noa Pakeha le Jeu 4 Aoû 2016 - 23:29, édité 3 fois

Le petit groupe s'installa sous la tente et commença à manger. L'alcool était particulièrement fort et l’égyptienne le mis rapidement de coté, n'ayant pas envie de se retrouver à rouler sous la table… enfin sur le tapis.

« - Avec la fête qui occupe tous le monde, inutile de penser à repartir ce soir, j'en ai peur. Ce qui veut dire passer la nuit ici. »

Au final, ça n'était pas si grave. Quelqu'un pourrait sans doute les conduire en ville demain matin ou ils pourraient enfin téléphoner. Une péripétie de plus à inscrire dans leur mémoire. D'une oreille, elle entendis Docteur Maboul se présenter en précisant qu'il avait le syndrome d'asperger. Voilà qui expliquait bien des choses.
Mais qu'est ce qui avait pris au SDT de l'embaucher ! Assurer un quotas d'handicapé ?

Le type lui répondit et Noa haussa les sourcils de surprise. Syndrome d'Asperger et neurochirurgien ? Le jeune homme était sincèrement impressionné et regrettait d'avoir pensé qu'il puisse être limité. C'était en fait, l'exact contraire.
" Impressionnant ! " répondit Noa.
Noa hocha négativement la tête à la question de Charlie.
" Non, je suis désolé, je n'en ai pas..."

Paul lui demanda ensuite s'il ne pouvait pas bricoler quelque chose avec le téléphone de la personne.
Noa hocha la tête.
«  Désolé de te décevoir, je suis pas Mc Gyver, … bien que j'aurais aimer ! » dit-il en levant les yeux au ciel en se rappelant avoir été complètement fan de l'acteur dans sa jeunesse.

Noa bu une longue gorgée pour terminer son verre et lorsqu'il le reposa, une autre femme vint immédiatement le remplir. Elle fit un petit geste de la main en répétant : « Don Don »  pour incité Noa à boire de nouveau.
«  Vous voulez me saouler c'est ça ? » dit-il en riant.

Nadira déclara qu'ils devraient probablement passer la nuit ici. Noa hocha la tête et regarda la femme qui attendait toujours qu'il boive son breuvage.
«  Croyez-vous que c'est possible que l'on dorme ? Ici ? Tous ? »
Noa faisait des grand gestes pour se faire comprendre, ce qui lui donnait l'air légèrement ridicule.

Finalement la femme mima le fait de dormir en posant ses deux mains sous sa tête penché. Elle hocha positivement la tête en leur indiquant la maison derrière eux puis en montrant sa poitrine.

«  Bon, voilà, je nous ai trouvé un hotel ! » plaisanta Noa en riant.

C'était un rire un peu gêné, car l'idée de passer la nuit ici ne l'enchantait guère. Sa fille devait l'attendre et s'inquiéter de ne pas le voir rentrer. Mais il se rassurait en pensant que Madame Wellington n'avait probablement couché à cette heure là en lui disant qu'il allait rentrer tard du travail.

Dernière édition par Noa Pakeha le Ven 5 Aoû 2016 - 0:09, édité 2 fois

Régis se rongeait les ongles, hyper stressé.
Il ne comprenait pas ce qu'il voyait devant lui. Toutes ces indications et ces chiffres lui étaient totalement obscurs. Il tenta de faire Ctrl-Z pour annuler ses bêtises, mais rien n'y faisait. Il tenta d'appuyer sur quelques boutons et des voyants se mirent à clignoter sur la console en face de lui. Il vit un bouton rouge s'allumer: « Back ». Ca ne pouvait pas faire de mal non ? Régis enfonça son doigt dessus et soudain, une autre barre de chargement apparue sur son écran.

Certains membres du SDT présents en Inde ainsi que d'autres membres sur la station JPS se virent de nouveau téléportés et atterrirent au milieu de ce qui devait être autrefois une rue. Tous les bâtiments autour d'eux étaient en ruines. Ils ne virent personne, mais tout à coup, des tirs se firent entendre et les frôlèrent.




Vue du ciel.




Légende :
Point bleu : lieu d'apparition des membres du SDT
Points verts: hommes armés attaquant les points rouges
Points rouges: hommes armés attaquant les points verts
Points jaunes: un jeune adolescent et un homme sont allongés au sol, visiblement touchés. Le premier semble encore respirer. Une arme est au sol à leurs côtés.
Espaces marrons: Bâtiments en ruines.







[ HRP : Pour ceux qui étaient absents la dernière fois, votre personnage qui vaquait tranquillement à ses occupations dans la station vient d'être téléportés. Pour ceux qui étaient présent la dernière fois et qui sont absent cette fois-çi, votre personnage est resté en Inde et n'a pas été pris dans le rayon. ]

Zap !

L'instant d'avant, Nadira était confortablement installée sur un tapis et s'appretais à goutter à un plat étonnamment appétissant. Et la voila qui se retrouvais soudain au beau milieu d'une zone de guerre avec des tirs qui fusaient tout autour d'elle.

- Sérieusement ?

Elle se terra contre un mur et se rendit compte qu'elle serrait encore une côtelette de mouton. Le meilleur endroit pour la preserver etant à l'intérieur de son corps, elle l’engloutit en deux bouchées puis essaya de reconnaître ou elle se trouvait. Sans doute une ville du moyen orient d'Irak ou de Syrie…

- En rentrant, je vais avoir un nouveau cobaye, croyez moi !

Pendant un instant, Jonathan eu l'impression de revenir dans le passé... Le bruit des balles.. La confusion... La destruction..
Moyen orient..
Le premier reflexe du soldat fut de se jeter contre un mur et d'écouter le bruit. Apparemment, ils se retrouvaient entre deux lignes de feu... Les décharges étaient trop confuse pour pouvoir deviner le type d'arme utiliser, mais il s'agissait surement de l'Ak...
La première chose a faire.. Sortir de la rue... A la rigueur... Le bâtiment le plus proche...
Penchant son regard sur la droite, le soldat remarqua un corps sur le côté. Un adolescent... Mais aussi une arme.
Le problème, ils étaient a découvert...
Chaque chose en son temps...
" Garder votre tete baisser et sortez de la rue... Quelqu'un avec moi, j'ai crus repérer une arme au bout de la rue... Garder un oeil sur Charlie "
En silence, le soldat commença a s'approcher de l'angle, rasant le mur de prêt sur ses gardes.

Au moins n'était-elle pas seule, même si tous le monde n'avait visiblement pas eu la chance de faire le second saut… élimine par le public probablement. Du coup, il restait les deux bombasses, le bourrin et le débile… un vais cliché de télé-réalité.

Aynira se rapprocha d'elle et lui suggéra de faire l’interprète.

« - Ca va dépendre d’où nous sommes. L'arabe possède un certain nombre de dialectes et de variante. Enfin, on verra bien. »

Ni le lieu ni le moment pour donner une conférence linguistique. D'autant que docteur Maboul venait de s'effondrer. Si elle ne disait rien peut être que personne ne remarquerai sa disparition ?

En attendant, elle emplis ses poumons d'air et essaya de parler le plus distinctement possible.

« - Equipe médicale sur zone. Cessez le feu !! Cessez le feu. »

Pas sur qu'on l'ai entendue… ou qu'elle ai été compris. Ou que les tireurs en aient quoi que ce soit à faire...

Dernière édition par Nadira Garett le Lun 5 Sep 2016 - 21:02, édité 1 fois

Des cris. De la buée et des balles. Mais étrangement, il était calme. Trop calme peut être pour certains. Mais paniquer reviendrait à risquer sa vie.

Sa vie était un risque continue après tout.

Sans un bruit, le soldat s'approcha de l'angle, restant à distance des éclats de balles quand il entendit le bruit d'un moteur. Pas un avion. Non. Jeep.

« JEEP! »

Le cris fut suffisamment fort pour que tout le monde l'entende, et Jonathan se jeta à couvert, attendant qu'elle passe.

Une fois que la poussière fut éloigné un peu, Jonathan jeta un œil au carrefour. Apparemment, les tirs avaient cessés... C'était maintenant ou jamais.

En courant le corps baissé afin de diminuer un possible impact, le soldat se rua sur l'arme et vérifiât qu'elle était chargée. Pas de tir.

Continuant sur sa lancée, le soldat se mit a fouiller les cadavres sans ménagement, cherchant d'éventuel chargeur sur l'homme avant de s'attaquer à l'adolescent. Mais lorsqu'il toucha son corps, celui-ci bougea.

*Vivant*

Le soldat l'attrapa a la gorge, et lui fit signe de se taire. En silence, le soldat lui montra la direction de son groupe, et lui montra trois doigt. Avant de montrer un rapide signe vers son coup.

Si il fallait vraiment qu'il court. Il tirerait.

Simplement.

Le soldat repointa ses trois doigt, puis deux, puis un.

Sans ménagement, le soldat attrapa l'adolescent avant de le faire courir en direction du groupe, l'arme à la main.

« Gareth ! Essayer de voir si vous pouvez obtenir des informations ! »


Le soldat fit signe à l'adolescent de la rejoindre, avant de prendre le temps de vérifier le matériel qu'il avait récupérer sur le cadavre.