Durant la conversation qu'il avait eu avec James pendant son séjour à l'infirmerie, Bruce se retrouva de nouveau à penser quelque chose de similaire à ce qu'il avait émis en son for intérieur, il y a une heure.
*Tiens ! Le décor a encore changé !*
Cette fois, il n'avait pas été emmené par le biais d'une puissance qui le dépassait dans un bureau. Ceci dit, il y avait tout de même un meuble du même nom dans la pièce où il était arrivé. Mais la chose principale qui le rendit sûr qu'il ne s'agissait absolument pas d'un lieu de travail était le lit totalement prêt à le réceptionner.
Il y avait également quelques placards et une salle annexe auquel Bruce ne prêta pas plus attention que ça dans l'immédiat. Il aurait tout le temps de savoir ce qui se trouvait à l'intérieur.
Bruce s'était écroulé sur le lit. Il continuait de relâcher une pression accumulée en quelques heures, mais cette fois, celle-ci partait moins radicalement que dans le bureau de celle qui allait certainement être sa patronne, du moins dans la forme. Il espérait que ce ne soit pas elle qui signe son chèque à la fin de chaque mois. L'image qu'il lui avait laissé était bien loin d'être flatteur pour lui. Il espérait pouvoir se rattraper, même s'il avait beaucoup de mal à imaginer comment.
La pression continuait de vouloir se relâcher chez le géologie qui perçut qu'elle voulait se manifester matériellement. Conscient des sensations qu'il éprouvait à cause de ce qu'elle lui faisait subir, il se leva et ouvrit la porte de ce qui était une salle de bains.
* Pas le bon endroit ! *
Étant donné la contiguïté de ce qu'il pouvait vraisemblablement nommer comme étant un quartier, il sortit de celui-ci pour trouver le genre d'endroit propre à résoudre son problème, lequel était gênant, mais pas encore embarrassant.
Par chance, Bruce avait choisi la bonne direction en sortant de sa chambre, laquelle était la droite. Il arriva rapidement aux WC. Il eut la décence d'esprit de s'arrêter avant de pénétrer dans ceux des femmes. Le mot les concernant et un symbole de spécimen en jupe ou en robe était gravés dessus la porte. Il passa donc à la salle suivante qui concernait les gentlemen et les autres. Il tâchait de penser qu'il avait le mérite de faire partie de la première catégorie malgré des circonstances qui auraient eu tendance à prouver le contraire.
Bruce ouvrit rapidement la porte d'un des WC. Celui-ci était impeccable. La personne chargée du ménage avait parfaitement effectué son travail. Il baissa son pantalon, puis son boxer, posa ses fesses sur la lunette et laissa la nature faire le reste.
La pression évacuait.
Bruce prit ainsi le temps de réfléchir.
Après cet instant de solitude obligatoire, où devait-il se rendre afin de savoir où il avait été envoyé.
Il n'avait pas d'autre choix que de visiter le lieu en question en espérant qu'il ne commette pas la moindre gaffe.
Une fois les manifestations des anxiétés de l'archéologue parties dans un tourbillon d'eau avec quelques feuilles de papier propres à un usage qu'il vaut mieux taire, tant cela parait évident, Bruce se lava les mains et sortit des toilettes pour hommes.
Il retourna à ses quartiers se demandant ce qu'on avait pu laisser à sa disposition.
Quelle ne fut pas le joie de Bruce en retrouvant sur l'un des meubles son blouson cuir contenant tous ses effets personnels !
Ce devait sans doute vouloir dire qu'il était retourné non loin du lieu d'où il avait été téléporté pour la première fois. Donc, incontestablement, il était sur Terre.
Bruce remit son vêtement, laissant tomber la blouse, qu'il ne comptait plus mettre avant un moment, n'oubliant pas non plus son carnet, son stylo et son crayon. Il remit tout cela dans sa poche intérieure gauche.
Une fois habillé, Bruce sortit de ses quartiers et fila cette fois à gauche, ayant remarqué en allant aux WC qu'il irait immanquablement dans une impasse en allant à droite.
Là, il trouva un ascenseur et appela celui-ci grâce au bouton qui se trouvait tout disposé à être appuyé pour appeler l'engin se déplaçant de haut en bas.
Une fois à l'intérieur, Bruce dut choisir une destination. Celles-ci étant vagues, il dut se contenter de se laisser guider par son instinct en posant le doigt sur l'un des nombreux chiffres, symbolisant les étages du bâtiment dans lequel il se trouvait.
A deux reprises, Bruce était revenu à ses quartiers. La première fois, pour s'y reposer. La seconde, qui se déroulait en ce moment, était due au rapport qu'il voulait à tout prix écrire. Il avait été dans une situation délicate et il valait mieux qu'il consigne ce qui s'y était passé plutôt qu'il fasse comme si de rien n'était. Le rapport serait sans doute long et fastidieux, mais mieux valait le préparer maintenant que de le remettre à plus tard. Après ça, il faudrait écrire la lettre d'excuses à Mlle Stanford. Il avait déjà un ennemi en la personne du psychologue. S'en faire un second qui soit aussi médecin donnerait une malheureuse réputation à Bruce.
Une fois le tout écrit à la main, Bruce réitéra son acte en version dactylographiée sur ordinateur, puis il en sauvegarda une copie de chaque électroniquement. Puis il en fit encore une autre copie de chaque qu'il garda sur clé USB. Enfin, il imprima la version papier de chaque et les mit toutes deux dans des enveloppes. L'une simple e écrite à la main à destination de la très charmante mais irritable Laureen Stanford et les deux autres, manuscrite et dactylographiée, qu'il lui fallait cacher en lieu sûr. En y repensant, il ne voyait que deux endroits. Surtout au vu des circonstances présentes.
Gardant avec lui les documents qu'il remettrait aux personnes concernées, il les posa dans un sac et s'en alla manger en postant l'un des deux courriers au passage. Celui adressé à Laureen Stanford.
*Tiens ! Le décor a encore changé !*
Cette fois, il n'avait pas été emmené par le biais d'une puissance qui le dépassait dans un bureau. Ceci dit, il y avait tout de même un meuble du même nom dans la pièce où il était arrivé. Mais la chose principale qui le rendit sûr qu'il ne s'agissait absolument pas d'un lieu de travail était le lit totalement prêt à le réceptionner.
Il y avait également quelques placards et une salle annexe auquel Bruce ne prêta pas plus attention que ça dans l'immédiat. Il aurait tout le temps de savoir ce qui se trouvait à l'intérieur.
Bruce s'était écroulé sur le lit. Il continuait de relâcher une pression accumulée en quelques heures, mais cette fois, celle-ci partait moins radicalement que dans le bureau de celle qui allait certainement être sa patronne, du moins dans la forme. Il espérait que ce ne soit pas elle qui signe son chèque à la fin de chaque mois. L'image qu'il lui avait laissé était bien loin d'être flatteur pour lui. Il espérait pouvoir se rattraper, même s'il avait beaucoup de mal à imaginer comment.
La pression continuait de vouloir se relâcher chez le géologie qui perçut qu'elle voulait se manifester matériellement. Conscient des sensations qu'il éprouvait à cause de ce qu'elle lui faisait subir, il se leva et ouvrit la porte de ce qui était une salle de bains.
* Pas le bon endroit ! *
Étant donné la contiguïté de ce qu'il pouvait vraisemblablement nommer comme étant un quartier, il sortit de celui-ci pour trouver le genre d'endroit propre à résoudre son problème, lequel était gênant, mais pas encore embarrassant.
Par chance, Bruce avait choisi la bonne direction en sortant de sa chambre, laquelle était la droite. Il arriva rapidement aux WC. Il eut la décence d'esprit de s'arrêter avant de pénétrer dans ceux des femmes. Le mot les concernant et un symbole de spécimen en jupe ou en robe était gravés dessus la porte. Il passa donc à la salle suivante qui concernait les gentlemen et les autres. Il tâchait de penser qu'il avait le mérite de faire partie de la première catégorie malgré des circonstances qui auraient eu tendance à prouver le contraire.
Bruce ouvrit rapidement la porte d'un des WC. Celui-ci était impeccable. La personne chargée du ménage avait parfaitement effectué son travail. Il baissa son pantalon, puis son boxer, posa ses fesses sur la lunette et laissa la nature faire le reste.
La pression évacuait.
Bruce prit ainsi le temps de réfléchir.
Après cet instant de solitude obligatoire, où devait-il se rendre afin de savoir où il avait été envoyé.
Il n'avait pas d'autre choix que de visiter le lieu en question en espérant qu'il ne commette pas la moindre gaffe.
Une fois les manifestations des anxiétés de l'archéologue parties dans un tourbillon d'eau avec quelques feuilles de papier propres à un usage qu'il vaut mieux taire, tant cela parait évident, Bruce se lava les mains et sortit des toilettes pour hommes.
Il retourna à ses quartiers se demandant ce qu'on avait pu laisser à sa disposition.
Quelle ne fut pas le joie de Bruce en retrouvant sur l'un des meubles son blouson cuir contenant tous ses effets personnels !
Ce devait sans doute vouloir dire qu'il était retourné non loin du lieu d'où il avait été téléporté pour la première fois. Donc, incontestablement, il était sur Terre.
Bruce remit son vêtement, laissant tomber la blouse, qu'il ne comptait plus mettre avant un moment, n'oubliant pas non plus son carnet, son stylo et son crayon. Il remit tout cela dans sa poche intérieure gauche.
Une fois habillé, Bruce sortit de ses quartiers et fila cette fois à gauche, ayant remarqué en allant aux WC qu'il irait immanquablement dans une impasse en allant à droite.
Là, il trouva un ascenseur et appela celui-ci grâce au bouton qui se trouvait tout disposé à être appuyé pour appeler l'engin se déplaçant de haut en bas.
Une fois à l'intérieur, Bruce dut choisir une destination. Celles-ci étant vagues, il dut se contenter de se laisser guider par son instinct en posant le doigt sur l'un des nombreux chiffres, symbolisant les étages du bâtiment dans lequel il se trouvait.
A deux reprises, Bruce était revenu à ses quartiers. La première fois, pour s'y reposer. La seconde, qui se déroulait en ce moment, était due au rapport qu'il voulait à tout prix écrire. Il avait été dans une situation délicate et il valait mieux qu'il consigne ce qui s'y était passé plutôt qu'il fasse comme si de rien n'était. Le rapport serait sans doute long et fastidieux, mais mieux valait le préparer maintenant que de le remettre à plus tard. Après ça, il faudrait écrire la lettre d'excuses à Mlle Stanford. Il avait déjà un ennemi en la personne du psychologue. S'en faire un second qui soit aussi médecin donnerait une malheureuse réputation à Bruce.
Une fois le tout écrit à la main, Bruce réitéra son acte en version dactylographiée sur ordinateur, puis il en sauvegarda une copie de chaque électroniquement. Puis il en fit encore une autre copie de chaque qu'il garda sur clé USB. Enfin, il imprima la version papier de chaque et les mit toutes deux dans des enveloppes. L'une simple e écrite à la main à destination de la très charmante mais irritable Laureen Stanford et les deux autres, manuscrite et dactylographiée, qu'il lui fallait cacher en lieu sûr. En y repensant, il ne voyait que deux endroits. Surtout au vu des circonstances présentes.
Gardant avec lui les documents qu'il remettrait aux personnes concernées, il les posa dans un sac et s'en alla manger en postant l'un des deux courriers au passage. Celui adressé à Laureen Stanford.