Walter devait se dépêcher, il devait arriver à l'infirmerie avant qu'Archibald ne parvienne à la passerelle afin de fermer l'infirmerie avant que les infectés du JPS n'y soient téléportés. Mais en traînant son captif il savait qu'il n'y arriverait pas. Ses muscles commençaient à accuser le coup et il savait qu'il lui serait impossible de traîner cette masse inerte encore longtemps.
En suivant les indications peintes sur les murs, le seconde classe se rapprochait pas après pas de son premier objectif. Bientôt un couloir ou s'alignaient des portes de cellule apparu. Walter fit une halte et souffla un instant.
"Nous y voila !"
Dit il avait un ton satisfait voir même soulagé, au fond de lui le seconde classe Wallas ne savait pas si il parviendrait jusque là et plus d'une fois il eu envie d'abandonner là le captif sans parler de son envie de l'abattre sans sommation pour régler tout dilemme. Il avait fait tant de dégât dans le JPS qu'il ne pouvait se résigner à le laisser sans surveillance. Walter appuya sur un bouton et la porte s'ouvrit. Il traîna le corps de son captif sur les derniers mètres avec beaucoup de peine.
Quand il prit la parole son souffle était court.
"Voila... Si il y a... un antidote... On te soignera..."
Avant de partir Walter se souvint que cet homme faisait parti du SDT, il n'était pas un prisonnier de guerre. Il prit un instant pour retirer le lien qui joignait les poings aux pieds du captif. Dernière amabilité il tira sur le nœud qui joignait les poings du destructeur du JPS. Avec un peu de patience il savait qu'ainsi il pourrait se débarrasser de ses liens plus facilement.
Walter sortit de la cellule à reculons, l'expérience lui avait appris que l’excès de prudence n'existait pas. Il traversa la porte et appuya sur le bouton pour sceller la cellule. Il lui fallait rallier au plus vite l'infirmerie, mais il était au bout du rouleau, c'est donc à petites foulées qu'il partit en direction de l'infirmerie.
En suivant les indications peintes sur les murs, le seconde classe se rapprochait pas après pas de son premier objectif. Bientôt un couloir ou s'alignaient des portes de cellule apparu. Walter fit une halte et souffla un instant.
"Nous y voila !"
Dit il avait un ton satisfait voir même soulagé, au fond de lui le seconde classe Wallas ne savait pas si il parviendrait jusque là et plus d'une fois il eu envie d'abandonner là le captif sans parler de son envie de l'abattre sans sommation pour régler tout dilemme. Il avait fait tant de dégât dans le JPS qu'il ne pouvait se résigner à le laisser sans surveillance. Walter appuya sur un bouton et la porte s'ouvrit. Il traîna le corps de son captif sur les derniers mètres avec beaucoup de peine.
Quand il prit la parole son souffle était court.
"Voila... Si il y a... un antidote... On te soignera..."
Avant de partir Walter se souvint que cet homme faisait parti du SDT, il n'était pas un prisonnier de guerre. Il prit un instant pour retirer le lien qui joignait les poings aux pieds du captif. Dernière amabilité il tira sur le nœud qui joignait les poings du destructeur du JPS. Avec un peu de patience il savait qu'ainsi il pourrait se débarrasser de ses liens plus facilement.
Walter sortit de la cellule à reculons, l'expérience lui avait appris que l’excès de prudence n'existait pas. Il traversa la porte et appuya sur le bouton pour sceller la cellule. Il lui fallait rallier au plus vite l'infirmerie, mais il était au bout du rouleau, c'est donc à petites foulées qu'il partit en direction de l'infirmerie.