La journée avait commencée normalement sur Atlantis. Tout le monde vaquait à ses occupations et pendant les sempiternelles réunions, des rapports de la Tok'ra et des Narisiens faisant part d'une activité étrange sur une planète éloignée de l'empire de Tonatiuh étaient revenue sur le devant de la scène. Pourquoi ne pas s'en occuper plus tôt ? Eh bien Atlantis avait autre chose à faire à l'époque, notamment assurer sa propre survie et chercher des alliés tout en évitant de trop se faire remarquer.
Mais là, les rapports indiquaient une forte augmentation du trafic local sur cette planète qui n'avait aucun intérêt stratégique. Ayant perdue sa biosphère récemment, ce n'était plus qu'un cailloux stérile avec une atmosphère respirable qui se sera dissipée d'ici quelques siècles... Une mise à jour des rapports, plus approfondie faisait part de la présence d'une installation en surface fortement surveillée et surtout d'une puissante source d'énergie alimenté par le noyau de la planète, qui semblait être en naquadriah.
Tout le monde savait que si Tonatiuh avait à sa disposition une telle source d'énergie, ce n'était pas pour la laisser prendre la poussière dans un coin et encore mois pour alimenter une usine de bonbons. Il fallait détruire cette source d'énergie et les Tok'ras avaient la solution : une bombe au naquadah spécialement conçue pour détruire une planète en explosant dans son noyau. Les Terriens avaient déjà eut affaire à ce genre de dispositif à l'époque du SGC. Une opération conjointe entre une équipe SG et des tok'ra étant parvenu à détruire de cette manière Netu, la lune prison du Goa'uld Sokar, terraformée pour ressembler à la version biblique des enfers.
Une opération fut donc montée pour transporter cette bombe foreuse sur la planète et la faire exploser, mais la direction d'Atlantis avait une autre idée en tête. Certes un tel pouvoir ne devrait pas être au main de Tonatiuh, mais d'un autre côté, elle pourrait être grandement utile pour les Terriens. Les E2PZ d'Atlantis avaient été énormément sollicités et une source d'appoint serait plus que bienvenue.
C'était une mission à haut risque, la première véritablement dangereuse depuis la fuite de la Terre, mais on ne reprend pas sa planète en laissant les autres travailler parce qu'on passe notre temps dans des négociations sur le prix du plancton...
Mais là, les rapports indiquaient une forte augmentation du trafic local sur cette planète qui n'avait aucun intérêt stratégique. Ayant perdue sa biosphère récemment, ce n'était plus qu'un cailloux stérile avec une atmosphère respirable qui se sera dissipée d'ici quelques siècles... Une mise à jour des rapports, plus approfondie faisait part de la présence d'une installation en surface fortement surveillée et surtout d'une puissante source d'énergie alimenté par le noyau de la planète, qui semblait être en naquadriah.
Tout le monde savait que si Tonatiuh avait à sa disposition une telle source d'énergie, ce n'était pas pour la laisser prendre la poussière dans un coin et encore mois pour alimenter une usine de bonbons. Il fallait détruire cette source d'énergie et les Tok'ras avaient la solution : une bombe au naquadah spécialement conçue pour détruire une planète en explosant dans son noyau. Les Terriens avaient déjà eut affaire à ce genre de dispositif à l'époque du SGC. Une opération conjointe entre une équipe SG et des tok'ra étant parvenu à détruire de cette manière Netu, la lune prison du Goa'uld Sokar, terraformée pour ressembler à la version biblique des enfers.
Une opération fut donc montée pour transporter cette bombe foreuse sur la planète et la faire exploser, mais la direction d'Atlantis avait une autre idée en tête. Certes un tel pouvoir ne devrait pas être au main de Tonatiuh, mais d'un autre côté, elle pourrait être grandement utile pour les Terriens. Les E2PZ d'Atlantis avaient été énormément sollicités et une source d'appoint serait plus que bienvenue.
C'était une mission à haut risque, la première véritablement dangereuse depuis la fuite de la Terre, mais on ne reprend pas sa planète en laissant les autres travailler parce qu'on passe notre temps dans des négociations sur le prix du plancton...