Simulation

Preparatif

Le Sergent Chef rassemble l'équipage du C-101. Il y a le Co-Pilote Caporal Martin Milan, du Lieutenant "Guerre électronique" Louis Jefferson, un ancien de la Cent unième aéroporté, et le Caporal Canonnier Japonais Taka Takata, provenant d'Atlantis.

" - Messieurs nous devons préparer notre bon vieux C-101 comme si nous devons effectuer une mission à long cour. Pour le moment ceci n'est qu'un exercice, mais cela pourrait déboucher sur une mission réel!

Caporal Milan vous êtes chargé de la préparation du cargo. Moteur, pièces de rechange, ainsi que des scaphandres, pour quatre à six personnes. Bon courrage Martin!

Caporal Takata pour vous c'est l’intendance, la nourriture pour ce voyage, il faut aussi préparer le navire, pour que l'équipage puisse y vivre en deux quart! Et pensez à l'arment du P-90 aux canons électromagnétiques du vaisseaux. Il y a du travail Taka!

Quand à nous Lieutenant, nous avons deux choses à faire, la première c'est de faire des simulations d'une attaque que nous passerons à la moulinette en " Nav et Com", pour le réalisme et les problèmes que cela implique, et le deuxième, trouver un membre ou deux comme contrôleur ou analyste, Louis vous pensez à des personne qui conviendraient pour ce poste?. Ha oui Louis nous avons quatre heures pour faire un premier projet cohérent."

Des le départ, on buta sur un problème grave, le AIM120X AMRAAM, le missils anti bouclier des F-311, disponibles en grande quantité, avait une porté très limité. Donc il ne pouvait pas servir pour une croisière au long coure!
On allait devoir arrêter le projet, avant de le commencer, quand le Caporal Taka Takata se souvent d'une arrivé de missiles expérimentaux quelques semaines avant l'exode de la cité d'Atlantis.Ils devaient toujours être là!

Effectivement on retrouva dans l’arsenal, ces six gros missiles, arrimés à leur socles. Aucun n'avait de charges, car ils étaient là pour l’étude du comportement dans l'espace profonds des étages. Ils pouvaient atteindre des grandes vitesses, mais le plus intéressant étaient qu'on pouvait rallumer les moteurs, et orienté les tuyères, plusieurs fois. De plus l’engin était furtif!

On pouvait lui rajouter par missile, un poste de commande à distance. Quand aux charges, trois missiles auraient des trois charges anti boucliers, deux missiles des charges anti navires, quand à la dernière charge ce fut le Co-Pilote Milan qui pensa qu'on pouvait y adjoindre  des cônes de missiles exercices. Douze cônes pouvaient rentrer dans la coiffe, et pouvaient être éparpillés en avant de l'attaque final et servir de leurres, et saturer les défenses ennemise, permettant au autre missiles de pouvoir s'approcher de la cible.

C'était faisable, mais cela demandait beaucoup de travail.

Le Russe se posait la question de la cible. Il en voyait bien une..........

En attendant il restait, à passer ce principe à la moulinette. Plusieurs séance de simulation en "Nav et Com" allaient tester ce concepts. Avec le Lieutenant Jefferson, ils commencerent une première évaluation du concepts.

Dans la salle en 3D, ils virent l'évolution et la progression  des missiles virtuels!

[Lancé de dé : Pilotage (70)]

Le membre 'Vladimir Kouznetsov' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Résolution (61-80)' :

Cela faisait plusieurs fois que Vladimir Illich faisait des simulations en salle de "Nav et Com" et avec le Lieutenant Jefferson ils cherchaient ce qui pourraient bien faire dérailler le plus d'une attaque longue section. Le Russe savait parfaitement qu'un plan ne se passait généralement pas bien, car il apparaissait toujours un élément non prévus qui faisait dérailler les prévisions.
Vladimir Illich se souvient des ses cours de stratégie à l’académie  Frounze, qu'une bataille ne se gagne jamais avec le plan original, car l’ennemie il fait rien pour que nous embêter, comme si il voulait nous empêchés de gagner.

Ce qui embêtait le plus le Pilote c'est que les Goa'olds avaient toujours une ou deux longueur s’avancent comme si ils avaient déjà accès au plants, comme si il y avait une taupe au seins de leur organisation.
Secrètement, sans rien dire à personne, pendant ses rares, moment libres, Vladimir Illich prépara un plan B, avec les moyens du bord, sans en référer à personne et surtout sans simulations. De cette façon, il ne laisse aucune trace, qui pourrait être découvert par un observateur attentif.

Il passe aussi du temps à vérifier la préparation du C-101. Car là aussi il y a du travail! Il faut que les moteurs soit opérationnels, que l’armement soit complet, qu'il y a aussi asse d'eau et de nourriture, que le routage soit fonctionnel...... Il pourra de toute façon se reposer pendant le voyage......... Si l'angoisse, la peur au ventre lui en laisse le temps.

Mais qui pourrait dans ce coin de la galaxie, pourrait être un espion?