Depuis deux jours que l’Achilles était posé (et la moitié de ses pièces consciencieusement démontées, triées et disposées sur le pont d’envol) Nadja s’ennuyait ferme. Elle était sensée se reposer, évidemment, mais ça n’était pas son style. Les civils avaient été débarquées, les blessés également. Même si l’Achilles avaient pu redécoller immédiatement, il lui aurait manqué un bon tiers d’équipage.
La veille, elle s’était penché sur la chaîne de commandement et avait jeté sur papier une refonte de celle-ci, plus conforme a l’idée qu’elle se faisait d’une organisation militaire. Depuis le temps qu’elle reprochait aux humains d’être des amateurs, elle n’avait plus aujourd’hui de chaînés bureaucratique pour l’empêcher de faire à sa guise.
Les implications de cette réalisation l’avaient empêchées de dormir. Si les militaires devaient avoir les coudées franches pour être efficaces, ils devaient aussi dépendre d’un véritable gouvernement civil pour ne pas tomber dans la dictature. L’histoire Terrienne avait amplement prouvé ce point.
Devant qui devait-elle répondre de ces actes ? Le seul présidentiable qu’elle connaissait n’était pas vraiment prés à endosser ce rôle et n’avait de toute façon pour l’instant pas grand-chose à gouverner.
Au matin, après un café et deux blocs de protéines, elle se dirigea donc vers l’une des seules personne avec qui elle pouvait évoquer ce problèmes, et plus généralement leur rôle respectifs dans les mois à venir.
Le bureau du chef d’Atlantis était déjà occupé. Il ne devait pas manquer de travail, lui. Elle frappa et sur son invitation, rentra dans le bureau ou elle salua protocolairement avant de sourire.
« - Bonjour Docteur Doyle. Avez vous un peu de temps ce matin ? »
La veille, elle s’était penché sur la chaîne de commandement et avait jeté sur papier une refonte de celle-ci, plus conforme a l’idée qu’elle se faisait d’une organisation militaire. Depuis le temps qu’elle reprochait aux humains d’être des amateurs, elle n’avait plus aujourd’hui de chaînés bureaucratique pour l’empêcher de faire à sa guise.
Les implications de cette réalisation l’avaient empêchées de dormir. Si les militaires devaient avoir les coudées franches pour être efficaces, ils devaient aussi dépendre d’un véritable gouvernement civil pour ne pas tomber dans la dictature. L’histoire Terrienne avait amplement prouvé ce point.
Devant qui devait-elle répondre de ces actes ? Le seul présidentiable qu’elle connaissait n’était pas vraiment prés à endosser ce rôle et n’avait de toute façon pour l’instant pas grand-chose à gouverner.
Au matin, après un café et deux blocs de protéines, elle se dirigea donc vers l’une des seules personne avec qui elle pouvait évoquer ce problèmes, et plus généralement leur rôle respectifs dans les mois à venir.
Le bureau du chef d’Atlantis était déjà occupé. Il ne devait pas manquer de travail, lui. Elle frappa et sur son invitation, rentra dans le bureau ou elle salua protocolairement avant de sourire.
« - Bonjour Docteur Doyle. Avez vous un peu de temps ce matin ? »