08 août 2019
L’œil critique, la main sur la crosse de son arme, Nadja observait trois civils en train de vider leurs chargeurs sur des cibles disposées vingt mètres plus loin.
L’Achilles était en réparation depuis une semaine et la bouillonnante ex marine s’ennuyait ferme. Avec la bénédiction du dirigeant de la cité, elle avait mis en place un programme d’entraînement au tir pour le personnel civil. L’idée principale n’était pas d’en faire des professionnels mais au moins qu’ils soient tous capable de se servir d’un pistolet et de l’entretenir un minimum. C’était a ses yeux la condition sine qua non à l’autorisation de port d’arme.
Pour l’instant, deux avaient passé le test avec succès, un troisième avaient encore besoin d’entraînement mais prenait les choses avec philosophie et un denier avait simplement renoncé après un échange de propos aussi intense que bref.
« Non, pas comme ca, lança l’ex marine en voyant un scientifique, un géologue si elle se souvenait bien, tenter de démonter son arme sans avoir éjecter le chargeur au préalable. Le, vous appuyer ici, vous verifier que al chambre est vide et tirez un coup de sécurité a vide avant de procéder. La, c’est mieux. Continuez. »
Il la remercia d’un signe de tête et elle reprit sa surveillance. Étonnant comme quasi tous le monde prenait cet exercice avec calme. Probablement parce qu’il constituait constituait un bon dérivatif a leur situation plus que précaire. A moins qu’il donne a tous l’impression de lutte active, ce qui était toujours bon pour le moral.
L’œil critique, la main sur la crosse de son arme, Nadja observait trois civils en train de vider leurs chargeurs sur des cibles disposées vingt mètres plus loin.
L’Achilles était en réparation depuis une semaine et la bouillonnante ex marine s’ennuyait ferme. Avec la bénédiction du dirigeant de la cité, elle avait mis en place un programme d’entraînement au tir pour le personnel civil. L’idée principale n’était pas d’en faire des professionnels mais au moins qu’ils soient tous capable de se servir d’un pistolet et de l’entretenir un minimum. C’était a ses yeux la condition sine qua non à l’autorisation de port d’arme.
Pour l’instant, deux avaient passé le test avec succès, un troisième avaient encore besoin d’entraînement mais prenait les choses avec philosophie et un denier avait simplement renoncé après un échange de propos aussi intense que bref.
« Non, pas comme ca, lança l’ex marine en voyant un scientifique, un géologue si elle se souvenait bien, tenter de démonter son arme sans avoir éjecter le chargeur au préalable. Le, vous appuyer ici, vous verifier que al chambre est vide et tirez un coup de sécurité a vide avant de procéder. La, c’est mieux. Continuez. »
Il la remercia d’un signe de tête et elle reprit sa surveillance. Étonnant comme quasi tous le monde prenait cet exercice avec calme. Probablement parce qu’il constituait constituait un bon dérivatif a leur situation plus que précaire. A moins qu’il donne a tous l’impression de lutte active, ce qui était toujours bon pour le moral.