Zander réapparut dans ses quartiers qu'il ne fréquentait plus très souvent, mais qu'il conservait malgré tout. Ils étaient bien pratiques lorsqu'il faisait une pause pendant son service ou pour prendre une douche après une séance de sport intensive.
En revanche, le son des alarmes étaient franchement désagréables, mais indiquait la gravité de la situation.
« Stella ? Tu m'entends ? » lança-t-il pour vérifier si son vaisseau le recevait, mais il n'attendait aucune réponse.
Il ouvrit prudemment la porte et sortit dans le couloir, prêt à tirer en cas de danger. Mais les lieux étaient pour ainsi dire déserts et il ne voyait qu'un petit groupe de militaires qui montaient la garde devant la porte de sécurité fermée qui bloquait l'accès aux escaliers. Il ne doutait pas qu'un groupe similaire se trouvait un peu plus loin devant l'ascenseur.
Peut-être étaient-ils en train de manger au moment où l'alerte s'était déclenchée et ils s'étaient retrouvés coincés ici... Mais généralement, à cette heure-là, ce pont était peu fréquenté, en dehors du réfectoire où se trouvaient toujours quelques militaires et civils. Mais sinon, rares étaient ceux qui avaient des quartiers permanents à bord.
Deux militaires se retournèrent d'un bloc. Il s'arrêta et mis les mains et son fusil en l'air, bien en évidence et de façon à ne pas paraître menaçant.
« - Ne tirez pas ! Zander Hayes, JP-1.
- D'où est-ce que vous sortez, Hayes ? Vous n'étiez pas quand on a fait le décompte, lança le sergent Alcatraz.
- Je viens de me faire téléporter depuis mon vaisseau pour aller prêter main-forte à l'infirmerie.
- Armé comme ça ?
- Je ne savais pas quelle serait la situation exacte ou ce que je trouverai à mon arrivée ici, alors j'ai préféré être prudent.
- Vous savez ce qui se passe au juste ?
- Tir d'armes à énergie dans la salle de la Porte, nombreuses pertes de notre côté et ennemis inconnus. La situation s'annonçait très mal pour les troupes là-haut. Oh, les communications avec la station sont coupées. C'est tout ce que je sais.
- D'accord. Vous ne pouvez pas aller plus loin. L'ascenseur est hors service et les portes de sécurité sont verrouillées et personne n'a d'accréditation ici pour les ouvrir.
- Des blessés ?
- Non. Juste quelques civils effrayés qu'on a regroupés dans le salon du personnel. »
Il retint un soupir et se dit qu'il aurait mieux fait de rester sur son vaisseau en fin de compte. Il n'était pas plus utile ici que là-bas.
En revanche, le son des alarmes étaient franchement désagréables, mais indiquait la gravité de la situation.
« Stella ? Tu m'entends ? » lança-t-il pour vérifier si son vaisseau le recevait, mais il n'attendait aucune réponse.
Il ouvrit prudemment la porte et sortit dans le couloir, prêt à tirer en cas de danger. Mais les lieux étaient pour ainsi dire déserts et il ne voyait qu'un petit groupe de militaires qui montaient la garde devant la porte de sécurité fermée qui bloquait l'accès aux escaliers. Il ne doutait pas qu'un groupe similaire se trouvait un peu plus loin devant l'ascenseur.
Peut-être étaient-ils en train de manger au moment où l'alerte s'était déclenchée et ils s'étaient retrouvés coincés ici... Mais généralement, à cette heure-là, ce pont était peu fréquenté, en dehors du réfectoire où se trouvaient toujours quelques militaires et civils. Mais sinon, rares étaient ceux qui avaient des quartiers permanents à bord.
Deux militaires se retournèrent d'un bloc. Il s'arrêta et mis les mains et son fusil en l'air, bien en évidence et de façon à ne pas paraître menaçant.
« - Ne tirez pas ! Zander Hayes, JP-1.
- D'où est-ce que vous sortez, Hayes ? Vous n'étiez pas quand on a fait le décompte, lança le sergent Alcatraz.
- Je viens de me faire téléporter depuis mon vaisseau pour aller prêter main-forte à l'infirmerie.
- Armé comme ça ?
- Je ne savais pas quelle serait la situation exacte ou ce que je trouverai à mon arrivée ici, alors j'ai préféré être prudent.
- Vous savez ce qui se passe au juste ?
- Tir d'armes à énergie dans la salle de la Porte, nombreuses pertes de notre côté et ennemis inconnus. La situation s'annonçait très mal pour les troupes là-haut. Oh, les communications avec la station sont coupées. C'est tout ce que je sais.
- D'accord. Vous ne pouvez pas aller plus loin. L'ascenseur est hors service et les portes de sécurité sont verrouillées et personne n'a d'accréditation ici pour les ouvrir.
- Des blessés ?
- Non. Juste quelques civils effrayés qu'on a regroupés dans le salon du personnel. »
Il retint un soupir et se dit qu'il aurait mieux fait de rester sur son vaisseau en fin de compte. Il n'était pas plus utile ici que là-bas.