Vous l’attendiez depuis longtemps et bien le voilà, un nouveau concours d’écriture tout beau tout neuf. Et oui, il n’y a pas que les graphistes qui peuvent gagner des concours sur stargate zone. Mais alors, allez-vous me dire, en quoi consiste ce concours ? En l’attente de lancer un RP d’or d’ici quelques temps, nous allons nous échauffer avec quelques poèmes.
J’invite donc tous les poètes en herbe à publier ci-dessous leurs plus beaux écrits que ce soit dans la langue de Molière ou celle de Shakespeare. Vous aurez ensuite tous l’opportunité de voter pour votre poème préféré.
Récompense à la clef : 1xp par poème publié (dans la limite de 5xp par foyer et pour les propriétaires d’une carte fidélité stargate zone. Pour contacter le SAV : 00 89 10 11 12, 80ct/min en France métropolitaine et 1,50€/min en DomTom + prix de l’appel)
Pour le vainqueur, un surplus de 20xp lui sera proposé, le second pouvant prétendre à 10xp (offre non cumulable)
Stargatement et en attendant de voir vos œuvres,
Jacob Smith.
PS: offre valable dans la limite des stocks et jusqu'au10 15 novembre de l'année en cours.
Vous avez maintenant jusqu'au 15 décembre pour élire votre poème préféré parmi les suivants:
Dernière édition par Jacob Smith le Ven 23 Nov 2018 - 19:45, édité 4 fois
J’invite donc tous les poètes en herbe à publier ci-dessous leurs plus beaux écrits que ce soit dans la langue de Molière ou celle de Shakespeare. Vous aurez ensuite tous l’opportunité de voter pour votre poème préféré.
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Stargatement et en attendant de voir vos œuvres,
Jacob Smith.
PS: offre valable dans la limite des stocks et jusqu'au
Vous avez maintenant jusqu'au 15 décembre pour élire votre poème préféré parmi les suivants:
Nadja Cook :
Fuyez pauvres fous
Automne, saison des châtaignes
Plume est en colère
Automne, saison des châtaignes
Plume est en colère
Rose :
Petite danseuse en bois
Elle danse danse
Et je ne peut m’empêcher de la regarder tourner
Cette petit danseuse en bois
Dont je ne me lasse pas
Elle danse danse
Et je ne peut m’empêcher de l’oublier
Cette petite danseuse en bois
Qui me marque autant que ça
Je me rappellerais encore de ce jours de printemps, ou mon regard a croisé,
Ceux de cette danseuse en bois, dans cette petite boutique abandonnée
Un sourire sur ses lèvres, laissant imaginer
Le bonheur qu’elle ressentait, lorsqu’elle dansait
Était-ce un hasard, un jeu de la providence
Qu’elle se trouva sur mon chemin pour aller travailler
Que chaque matin, je l’imaginait virevolter sur son socle d’acier
Celle dont je n’avais pas l’honneur de voir danser.
Le temps passa, et à chaque fois, elle était là
Toujours au même endroit, n’ayant pas bougé
N’attendant qu’un mouvement de ma part
Pour commencer à danser.
Mais le temps est passé, et je n’ai pas bougé.
Je l’ai toujours observé, mais je n’ai jamais pensé
Que quelqu’un voudrait aussi voir
Cette danseuse bouger, histoire d’un soir
Elle n’étais plus là désormais
La petite danseuse en bois
Partit dans les bras d’un autre, ça je le sais
Petite danseuse en bois
Elle n’étais plus pour moi, désormais
Le temps passe, les journées s’écoule,
Et pourtant, je passe toujours devant l’endroit où se trouvait
Souriante, petit rayon de soleil de mes journées
Cette petite danseuse en bois
Desormais, elle était perdue dans la foule
Et pourtant, une partie de moi
N’arrivait jamais
A laisser partir, ce sourire toujours amusé
De cette danseuse en bois
Je passe toujours devant la boutique
Mon regard se portant à chaque fois
Vers l’endroit où se trouvait
Cette petite danseuse de bois
Je n’arrive jamais à calmer ce fou espoir
De la recroiser par le fruit du hasard
Celle demoiselle tant désiré
Hantant tel un fantôme la moindre de mes pensées
Petite danseuse en bois
Que j’aimerais tellement oublier
Elle danse danse
Et je ne peut m’empêcher de la regarder tourner
Cette petit danseuse en bois
Dont je ne me lasse pas
Elle danse danse
Et je ne peut m’empêcher de l’oublier
Cette petite danseuse en bois
Qui me marque autant que ça
Je me rappellerais encore de ce jours de printemps, ou mon regard a croisé,
Ceux de cette danseuse en bois, dans cette petite boutique abandonnée
Un sourire sur ses lèvres, laissant imaginer
Le bonheur qu’elle ressentait, lorsqu’elle dansait
Était-ce un hasard, un jeu de la providence
Qu’elle se trouva sur mon chemin pour aller travailler
Que chaque matin, je l’imaginait virevolter sur son socle d’acier
Celle dont je n’avais pas l’honneur de voir danser.
Le temps passa, et à chaque fois, elle était là
Toujours au même endroit, n’ayant pas bougé
N’attendant qu’un mouvement de ma part
Pour commencer à danser.
Mais le temps est passé, et je n’ai pas bougé.
Je l’ai toujours observé, mais je n’ai jamais pensé
Que quelqu’un voudrait aussi voir
Cette danseuse bouger, histoire d’un soir
Elle n’étais plus là désormais
La petite danseuse en bois
Partit dans les bras d’un autre, ça je le sais
Petite danseuse en bois
Elle n’étais plus pour moi, désormais
Le temps passe, les journées s’écoule,
Et pourtant, je passe toujours devant l’endroit où se trouvait
Souriante, petit rayon de soleil de mes journées
Cette petite danseuse en bois
Desormais, elle était perdue dans la foule
Et pourtant, une partie de moi
N’arrivait jamais
A laisser partir, ce sourire toujours amusé
De cette danseuse en bois
Je passe toujours devant la boutique
Mon regard se portant à chaque fois
Vers l’endroit où se trouvait
Cette petite danseuse de bois
Je n’arrive jamais à calmer ce fou espoir
De la recroiser par le fruit du hasard
Celle demoiselle tant désiré
Hantant tel un fantôme la moindre de mes pensées
Petite danseuse en bois
Que j’aimerais tellement oublier
Jacob Smith :
Solitude
En attendant encore et encore
Dans le vent violent de mon cœur,
Le trouble sans espoir où mon âme me mène,
Ce vide persistant qui m’enlève et m’entraîne
Vers cet espace sans joie et sans peine
Où tout tourment un jour s’amène.
Afin qu’une terre promise soit enfin dévoilée,
Que la femme désirée enfin prenne pitié
Du pauvre erre qui n’a pu résister
Au charme impitoyable, mystérieux et secret
De ce parfum si envoûtant et sucré
Qui un jour vous attire et vous plaît.
En attendant encore et encore
Le jour lointain où nous marcherons en chœur,
Main dans la main, insoumis et heureux
Comme tous ces jeunes couples fous amoureux
Que je regarde aujourd’hui avec dédain,
Ignorant si un jour cet amour sera mien,
Soupirant de la tristesse d’un avenir incertain
Dans la triste douceur de la fraîcheur du matin.
Voyageur de passage, voici mon histoire,
Celle du renégat solitaire qui de ta mémoire
Sortira rapidement pour un jour recommencer
A écouter la légende malheureuse de l’amour tourmenté.
En attendant encore et encore
Dans le vent violent de mon cœur,
Le trouble sans espoir où mon âme me mène,
Ce vide persistant qui m’enlève et m’entraîne
Vers cet espace sans joie et sans peine
Où tout tourment un jour s’amène.
Afin qu’une terre promise soit enfin dévoilée,
Que la femme désirée enfin prenne pitié
Du pauvre erre qui n’a pu résister
Au charme impitoyable, mystérieux et secret
De ce parfum si envoûtant et sucré
Qui un jour vous attire et vous plaît.
En attendant encore et encore
Le jour lointain où nous marcherons en chœur,
Main dans la main, insoumis et heureux
Comme tous ces jeunes couples fous amoureux
Que je regarde aujourd’hui avec dédain,
Ignorant si un jour cet amour sera mien,
Soupirant de la tristesse d’un avenir incertain
Dans la triste douceur de la fraîcheur du matin.
Voyageur de passage, voici mon histoire,
Celle du renégat solitaire qui de ta mémoire
Sortira rapidement pour un jour recommencer
A écouter la légende malheureuse de l’amour tourmenté.
Plume :
Le témoin du larcin
J’étais là, j’ai tout vu, je peux vous l’assurer
Le coupable est perdu, je m’en vais le nommer.
Mais laissez-moi d’abord, vous raconter l’histoire
Qui mena au délit de ce vendredi soir.
On rentrait de balade, ayant croisé le maire
Sa femme étant malade, il avait fort à faire.
Son plus jeune fils Clément, qui rentrait en CP
Avait un entrainement qu’il ne pouvait rater.
Le football à tout âge était une passion
Qui touchait, je le gage, jusqu’aux jeunes garçons.
Mais ce n’est pas du sport qu’il nous faut discourir
Revenons-en au sort de Clément et ses sbires.
Le maire, donc disais-je, se voyait fort contraint
De demander notre aide pour conduire le gamin.
Madame étant sortie, en cette fin de semaine
Nous nous voyons ravis de proposer notre aide.
Tout se passa fort bien, jusqu’au moment précis
Où l’équipe de bambins, en sueurs eut fini.
J’ai honte mais je l’avoue, j’ai manqué d’attention
Pendant tout l’entraînement, je suivais le ballon.
Mon attitude, soudain, changea du tout au tout
Due aux cris des copains, dont certains semblaient fous.
Et voilà que tout le monde, se met à suspecter
Les voisins à la ronde pour un larcin suspect.
Je m’approche en silence puis je tends une oreille
Et comprends, je le pense, d’où vient cette querelle.
Le bracelet d’or blanc de Manon est manquant
On accuse Clément, le garçon se défend.
Ce n’est pas lui qui a dérobé le bijou
Affirme-t-il tout bas en se frottant le cou.
Son air coupable et triste le condamne pour sûr
Mais moi, je vous l’affirme, l’enfant à l’âme pure.
L’innocence de Clément de ferait aucun doute
Si vous étiez patient et tout à mon écoute.
Le bracelet disparu, je l’ai vu scintiller
Non loin de votre vue, presque sous votre nez.
Le voleur est sournois et tellement silencieux
Qu’aucun de vous je crois, ne le prends au sérieux.
Pourtant discrètement, il se posa au sol
Déroba l’anneau blanc et reprit son envol.
Personne ne l’a vu. Que dis-je ! A par moi
Mais comme bien entendu, vous ne m’écoutez pas.
Qui pourrait vous blâmer, nul ne donne crédit
Aux jappements fatigués du vieux chien que je suis.
J’étais là, j’ai tout vu, je peux vous l’assurer
Le coupable est perdu, je m’en vais le nommer.
Mais laissez-moi d’abord, vous raconter l’histoire
Qui mena au délit de ce vendredi soir.
On rentrait de balade, ayant croisé le maire
Sa femme étant malade, il avait fort à faire.
Son plus jeune fils Clément, qui rentrait en CP
Avait un entrainement qu’il ne pouvait rater.
Le football à tout âge était une passion
Qui touchait, je le gage, jusqu’aux jeunes garçons.
Mais ce n’est pas du sport qu’il nous faut discourir
Revenons-en au sort de Clément et ses sbires.
Le maire, donc disais-je, se voyait fort contraint
De demander notre aide pour conduire le gamin.
Madame étant sortie, en cette fin de semaine
Nous nous voyons ravis de proposer notre aide.
Tout se passa fort bien, jusqu’au moment précis
Où l’équipe de bambins, en sueurs eut fini.
J’ai honte mais je l’avoue, j’ai manqué d’attention
Pendant tout l’entraînement, je suivais le ballon.
Mon attitude, soudain, changea du tout au tout
Due aux cris des copains, dont certains semblaient fous.
Et voilà que tout le monde, se met à suspecter
Les voisins à la ronde pour un larcin suspect.
Je m’approche en silence puis je tends une oreille
Et comprends, je le pense, d’où vient cette querelle.
Le bracelet d’or blanc de Manon est manquant
On accuse Clément, le garçon se défend.
Ce n’est pas lui qui a dérobé le bijou
Affirme-t-il tout bas en se frottant le cou.
Son air coupable et triste le condamne pour sûr
Mais moi, je vous l’affirme, l’enfant à l’âme pure.
L’innocence de Clément de ferait aucun doute
Si vous étiez patient et tout à mon écoute.
Le bracelet disparu, je l’ai vu scintiller
Non loin de votre vue, presque sous votre nez.
Le voleur est sournois et tellement silencieux
Qu’aucun de vous je crois, ne le prends au sérieux.
Pourtant discrètement, il se posa au sol
Déroba l’anneau blanc et reprit son envol.
Personne ne l’a vu. Que dis-je ! A par moi
Mais comme bien entendu, vous ne m’écoutez pas.
Qui pourrait vous blâmer, nul ne donne crédit
Aux jappements fatigués du vieux chien que je suis.
Hilda Haraldsen :
Nos doigts sont étroitement enlacés
C’est le moment de l’intense connexion
Quelques secondes avant de plonger
Dans l’incontrôlable tourbillon
De l’autre côté du rideau
Ca s’agite, ça prend place
Je suis à fleur de peau
J’ai raccroché ma carapace
Tout se mélange
Nos souffles nos émotions
C’est tout le challenge
L’entière acceptation
Des heures d’entraînements
De remises en questions et de souffrance
Pour une unique et éphémère transe
Sous la bannière de la bienveillance
Pas de texte, pas de placement
Aucune idée de ce que nous allons jouer
Et encore moins comment
Il faudra réagir immédiatement
L’adrénaline s’insinue en nous
Elle monte en puissance
Souple comme du bambou
Faisant monter notre impatience
Les projecteurs nous éblouissent
Le chrono est à zéro
Nos voix en une seule rugissent
5,4,3,2,1, impro !!!
C’est le moment de l’intense connexion
Quelques secondes avant de plonger
Dans l’incontrôlable tourbillon
De l’autre côté du rideau
Ca s’agite, ça prend place
Je suis à fleur de peau
J’ai raccroché ma carapace
Tout se mélange
Nos souffles nos émotions
C’est tout le challenge
L’entière acceptation
Des heures d’entraînements
De remises en questions et de souffrance
Pour une unique et éphémère transe
Sous la bannière de la bienveillance
Pas de texte, pas de placement
Aucune idée de ce que nous allons jouer
Et encore moins comment
Il faudra réagir immédiatement
L’adrénaline s’insinue en nous
Elle monte en puissance
Souple comme du bambou
Faisant monter notre impatience
Les projecteurs nous éblouissent
Le chrono est à zéro
Nos voix en une seule rugissent
5,4,3,2,1, impro !!!
Dernière édition par Jacob Smith le Ven 23 Nov 2018 - 19:45, édité 4 fois