En zone 52, Jacob avait beaucoup de paperasse inutile à gérer et cela le déconcertait au plus haut point. N’avait-il pas autre chose à faire ? Ne serait-il pas mieux, là-haut, dans l’espace, sur une autre planète pleine de vie et de mystères foisonnant. Au grand air. Certes il était un scientifique de formation et avait vécu une grande partie de sa vie enfermée dans un labo ou devant un bureau à demander des budgets, des bourses et gérer des étudiants mais depuis qu’il avait découvert l’univers de ces propres yeux grâce à la porte des étoiles et au JPS, il avait beaucoup plus de difficultés à ne pas être tenté par l’aventure. D’ailleurs son travail de gestion n’avait rien à voir avec un travail de recherche non plus.
Au milieu de cet enfer qu’il vivait et qui l’emmenait peut-être au bord du Burn-Out, Jacob entretenait un projet qui lui permettait de sortir la tête de l’eau et de réfléchir de temps en temps d’avantage en scientifique qu’en comptable. Celui-ci consistait à moderniser les appareillages astronomiques dont disposait la zone 52 et, de par là même, le SDT. Pour cela, il avait fait appel aux plus grandes sociétés dans ce domaine pour avoir tous les appareils les plus à la pointe. Son objectif était de se les fournir et de tous les relier grâce à un calculateur ancien. Il pourrait ainsi décupler leur puissance réunie et créer ainsi pour le SDT du matériel unique et d’une qualité inégalée sur Terre.
Venait donc le jour où il devait aller chercher tout ce beau matériel. Il ne voulait pas se le faire livrer par une société tierce car il connaissait très bien le peu d’intérêt que portaient celles-ci pour les colis, qu’il soir marqué fragile dessus ou non. De plus les outils étaient de haute précision et leur prix lui imposait de se rendre sur place afin de s’assurer que le cahier des charges était respecté pour chacun d’eux, d’autant plus que, les mettant en connexion, une erreur sur une seule de ces belles machines pouvait aboutir à un malfonctionnement global du système. Et il va sans dire qu’une fois connecté, il serait très difficile voire impossible de trouver d’où venait l’erreur parmi ce beau monde.
Le problème était qu’il ne trouvait personne dans la base qui pouvait lui servir de chauffeur. Il lui fallait quelqu’un qui avait un permis poids lourd et tous le candidats étaient indisponibles. Ils étaient soit en vacances soit occupés par un autre travail prévu de plus longue date et celui qu’il avait finalement trouvé avait réussit à choper une sérieuse méningite qui l’empêchait de conduire pendant quelques temps. Il dut donc utiliser ses sources sur le JPS afin de dégoter quelqu’un de libre. Un russe du nom de Vladimir Kouznetsov.
Jacob attendait donc l’arrivée de son chauffeur sur le parking, assis contre le camion qu’il avait fait préparer par le SDT pour l’occasion.
Au milieu de cet enfer qu’il vivait et qui l’emmenait peut-être au bord du Burn-Out, Jacob entretenait un projet qui lui permettait de sortir la tête de l’eau et de réfléchir de temps en temps d’avantage en scientifique qu’en comptable. Celui-ci consistait à moderniser les appareillages astronomiques dont disposait la zone 52 et, de par là même, le SDT. Pour cela, il avait fait appel aux plus grandes sociétés dans ce domaine pour avoir tous les appareils les plus à la pointe. Son objectif était de se les fournir et de tous les relier grâce à un calculateur ancien. Il pourrait ainsi décupler leur puissance réunie et créer ainsi pour le SDT du matériel unique et d’une qualité inégalée sur Terre.
Venait donc le jour où il devait aller chercher tout ce beau matériel. Il ne voulait pas se le faire livrer par une société tierce car il connaissait très bien le peu d’intérêt que portaient celles-ci pour les colis, qu’il soir marqué fragile dessus ou non. De plus les outils étaient de haute précision et leur prix lui imposait de se rendre sur place afin de s’assurer que le cahier des charges était respecté pour chacun d’eux, d’autant plus que, les mettant en connexion, une erreur sur une seule de ces belles machines pouvait aboutir à un malfonctionnement global du système. Et il va sans dire qu’une fois connecté, il serait très difficile voire impossible de trouver d’où venait l’erreur parmi ce beau monde.
Le problème était qu’il ne trouvait personne dans la base qui pouvait lui servir de chauffeur. Il lui fallait quelqu’un qui avait un permis poids lourd et tous le candidats étaient indisponibles. Ils étaient soit en vacances soit occupés par un autre travail prévu de plus longue date et celui qu’il avait finalement trouvé avait réussit à choper une sérieuse méningite qui l’empêchait de conduire pendant quelques temps. Il dut donc utiliser ses sources sur le JPS afin de dégoter quelqu’un de libre. Un russe du nom de Vladimir Kouznetsov.
Jacob attendait donc l’arrivée de son chauffeur sur le parking, assis contre le camion qu’il avait fait préparer par le SDT pour l’occasion.