Aeryn regardait à travers la vitre d’observation de la porte des étoiles. Face à l’anneau en rotation Plume avait l’air tendue et Nadja vérifiait son équipement d’un calme mu par l’habitude. L’irlandaise aurait été bien en peine de deviner à quoi penser Zander. A la mission qui les attendait sans doute, ou au fait qu’il ne pouvait pas partir avec son vaisseau ? Le caporal Akawé et le sergent Parks restaient en retrait, silencieux. La scientifique les avait adjoint à cette mission par précaution. Elle ne savait pas ce qu’ils trouveraient sur place. Leur seul objectif était de trouver et ramener JP-2.
Il n’y avait pas si longtemps. Dans une galaxie pas si lointaine, JP-2 débarquaient, confiants, sur P4R-761, une planète semblable à la Terre. La végétation étaient abondante dans la zone de la Porte des étoiles et la température agréable. ils ne tardèrent pas à trouver et suivre un sentier les menant vers un village. Les habitants, vivants dans des maisonnettes en bois et en paille les accueillirent à bras ouverts. Bien qu’ils ne parlent pas la même langue, leur comportement chaleureux était de bon augure. La présence inhabituelle de toutes sortes d’animaux surprit d’abord l’équipe du SDT qui restait sur ses gardes mais, bien vite, ils se rendirent compte que ces créatures, aussi puissantes qu’elles paraissaient, ne représentaient pas le moindre danger. Elles obéissaient aux villageois et faisaient visiblement partie de leur quotidien. Ceux-ci semblèrent même s’interroger sur l’absence d’animaux accompagnants le groupe.
Le soir, une grande fête (à la mesure des moyens du village) fut organiser pour fêter l’arrivée de visiteurs amicaux. L’équipe mangea et but avec les autochtones. Ils ne comprirent pas tous les gestes et attitude des villageois mais leur bonté était visible. Ils se couchèrent dans une maison libérée pour eux mais eurent la surprise, en se réveillant, de se sentir pour le moins étrange.
Les vêtements et équipements qu’ils portaient la veille se trouvaient à côté d’eux mais ils ne purent pas s’en saisir. Vladimir, soudain à l’étroit dans la cabane, eut du mal à franchir la porte. En effet, il y était entré sous forme humaine et se trouvait maintenant dans le corps d’un ours blanc. Aynira n’attendit pas qu’il y parvienne pour s’envoler, sous les traits d’un aigle, par la fenêtre avant de se poser sur le toit de l’habitation. Jacob, quant à lui, dut prendre garde à ne pas se laisser emporter par le courant d’air qui pénétra pas le fenêtre. Sous sa forme de papillon, il était sans doute plus sage d’attendre dans un endroit tranquille. Enfin, Hilda, observait la carcasse volumineuse de Vladimir tenter de franchir la porte, perchée sur deux longues et fines pattes aux extrémités palmées. Son plumage, d’un rose vif, détonnait dans l’habitation sommaire.
Ainsi, il fut difficile de contacter le JPS comme prévu, ni de répondre à leurs communications.
Il n’y avait pas si longtemps. Dans une galaxie pas si lointaine, JP-2 débarquaient, confiants, sur P4R-761, une planète semblable à la Terre. La végétation étaient abondante dans la zone de la Porte des étoiles et la température agréable. ils ne tardèrent pas à trouver et suivre un sentier les menant vers un village. Les habitants, vivants dans des maisonnettes en bois et en paille les accueillirent à bras ouverts. Bien qu’ils ne parlent pas la même langue, leur comportement chaleureux était de bon augure. La présence inhabituelle de toutes sortes d’animaux surprit d’abord l’équipe du SDT qui restait sur ses gardes mais, bien vite, ils se rendirent compte que ces créatures, aussi puissantes qu’elles paraissaient, ne représentaient pas le moindre danger. Elles obéissaient aux villageois et faisaient visiblement partie de leur quotidien. Ceux-ci semblèrent même s’interroger sur l’absence d’animaux accompagnants le groupe.
Le soir, une grande fête (à la mesure des moyens du village) fut organiser pour fêter l’arrivée de visiteurs amicaux. L’équipe mangea et but avec les autochtones. Ils ne comprirent pas tous les gestes et attitude des villageois mais leur bonté était visible. Ils se couchèrent dans une maison libérée pour eux mais eurent la surprise, en se réveillant, de se sentir pour le moins étrange.
Les vêtements et équipements qu’ils portaient la veille se trouvaient à côté d’eux mais ils ne purent pas s’en saisir. Vladimir, soudain à l’étroit dans la cabane, eut du mal à franchir la porte. En effet, il y était entré sous forme humaine et se trouvait maintenant dans le corps d’un ours blanc. Aynira n’attendit pas qu’il y parvienne pour s’envoler, sous les traits d’un aigle, par la fenêtre avant de se poser sur le toit de l’habitation. Jacob, quant à lui, dut prendre garde à ne pas se laisser emporter par le courant d’air qui pénétra pas le fenêtre. Sous sa forme de papillon, il était sans doute plus sage d’attendre dans un endroit tranquille. Enfin, Hilda, observait la carcasse volumineuse de Vladimir tenter de franchir la porte, perchée sur deux longues et fines pattes aux extrémités palmées. Son plumage, d’un rose vif, détonnait dans l’habitation sommaire.
Ainsi, il fut difficile de contacter le JPS comme prévu, ni de répondre à leurs communications.