Dans la salle de réunion, un scientifique faisait les cent pas autour de ce qui était un gros bloc de pierre en apparence.
Depuis quelques jours, l'Achilles était en vol, profitant de son hyperpropulseur pour permettre à des scientifiques de faire des études sur les différentes planètes du Système Solaire, directement sur place. Officieusement, beaucoup de premiers pas sur ces astres avaient été fait au cours des derniers jours. Mercure, Titan, Pluton. Un retour sur la Lune et sur Mars.
Ce bloc de roche en question était en réalité un astéroïde prélevé dans la Ceinture entre Mars et Jupiter et non, ce n'est pas comme dans Star Wars et les autres films de science fiction : la Ceinture d'Astéroïde comptent en effet des milliards de fragments de tailles diverses, mais ils sont en réalité très éloignés les uns des autres. Rien à voir donc avec ces "nuées de roches" virevoltant dans tout les sens comme on a tendance à l'imaginer.
Le scientifique en question était d'origine italienne, la trentaine. C'était le genre de scientifique passionné par son travail... un peu trop même. Avant d'être recruté par le SDT, il était connu pour ses recherches dans des domaines un peu obscures comme les trous blancs, hypothétique opposés des trous noirs qui n'auraient pas une gravité positive infinie, mais une anti-gravité infinie. Ou encore pour ses théories farfelues comme le fait de pouvoir réduire les conditions de températures et de pression nécessaire pour obtenir une réaction de fusion nucléaire dans le cadre d'un procédé qu'il a baptisé la "fusion tiède". C'était aussi un adepte de certaines théories farfelues et/ou conspirationniste comme la Théorie des Anciens Astronautes qui dit entre autre que des extraterrestres sont venus sur Terre dans le passé et que les hommes d'alors, ébahit par ces êtres venus des cieux, s'étaient mit à les vénérer comme des dieux.
Antonio Varcetti. C'était son nom. Et si le SDT l'avaient sortie de son labo quasi clandestin dans les sous-sol de l'université de Rome, c'est parce qu'il en avait en réalité raison sur pas mal de points et qu'il n'avait pas son pareil pour repérer les petits détails qui faisaient toute la différence.
C'était la première fois qu'il devait faire un rapport à un groupe de personne sur sa dernière découverte. Ou plutôt, c'était la première fois qu'il devait le faire devant un groupe qui ne le prendrait pas pour un excentrique, un hurluberlu ou un fou.
Dans les hauts-parleurs du vaisseau, un message se fit entendre :
"Votre attention s'il vous plait : Les différents chefs de service sont attendus à la salle de réunion. Je répète, les différents chefs de service sont attendus à la salle de réunion. Merci !"
C'était maintenant le moment de vérité pour Antonio...
Depuis quelques jours, l'Achilles était en vol, profitant de son hyperpropulseur pour permettre à des scientifiques de faire des études sur les différentes planètes du Système Solaire, directement sur place. Officieusement, beaucoup de premiers pas sur ces astres avaient été fait au cours des derniers jours. Mercure, Titan, Pluton. Un retour sur la Lune et sur Mars.
Ce bloc de roche en question était en réalité un astéroïde prélevé dans la Ceinture entre Mars et Jupiter et non, ce n'est pas comme dans Star Wars et les autres films de science fiction : la Ceinture d'Astéroïde comptent en effet des milliards de fragments de tailles diverses, mais ils sont en réalité très éloignés les uns des autres. Rien à voir donc avec ces "nuées de roches" virevoltant dans tout les sens comme on a tendance à l'imaginer.
Le scientifique en question était d'origine italienne, la trentaine. C'était le genre de scientifique passionné par son travail... un peu trop même. Avant d'être recruté par le SDT, il était connu pour ses recherches dans des domaines un peu obscures comme les trous blancs, hypothétique opposés des trous noirs qui n'auraient pas une gravité positive infinie, mais une anti-gravité infinie. Ou encore pour ses théories farfelues comme le fait de pouvoir réduire les conditions de températures et de pression nécessaire pour obtenir une réaction de fusion nucléaire dans le cadre d'un procédé qu'il a baptisé la "fusion tiède". C'était aussi un adepte de certaines théories farfelues et/ou conspirationniste comme la Théorie des Anciens Astronautes qui dit entre autre que des extraterrestres sont venus sur Terre dans le passé et que les hommes d'alors, ébahit par ces êtres venus des cieux, s'étaient mit à les vénérer comme des dieux.
Antonio Varcetti. C'était son nom. Et si le SDT l'avaient sortie de son labo quasi clandestin dans les sous-sol de l'université de Rome, c'est parce qu'il en avait en réalité raison sur pas mal de points et qu'il n'avait pas son pareil pour repérer les petits détails qui faisaient toute la différence.
C'était la première fois qu'il devait faire un rapport à un groupe de personne sur sa dernière découverte. Ou plutôt, c'était la première fois qu'il devait le faire devant un groupe qui ne le prendrait pas pour un excentrique, un hurluberlu ou un fou.
Dans les hauts-parleurs du vaisseau, un message se fit entendre :
"Votre attention s'il vous plait : Les différents chefs de service sont attendus à la salle de réunion. Je répète, les différents chefs de service sont attendus à la salle de réunion. Merci !"
C'était maintenant le moment de vérité pour Antonio...