La situation pouvait paraître cocasse. La station était attaquée par ce qui semblait être un véritable nuage de drones. Les alarmes hurlaient à tout rompre, les lieux tremblaient par moment sous la violence de l'assaut et pendant ce temps. Nadja, Plume et Aynira se rendaient au réfectoire pour manger un morceau.
Après avoir été recousue, la visiteuse du futur se changea à l'abri des regards avant de se faire conduire au mess par les deux femmes. La pièce était vide et le personnel de cuisine s'affairait à tout ranger. Il semble qu'il n'y ait pas que l'infirmerie qui a eut sa période rockeur dans une chambre d’hôtel.
Par chance, certains plats étaient encore comestible et n'avaient pas quitter le bac ou leur emballage :
"On a peut être pas de super antidouleur de la mort. Mais on a des fruits, des légumes et de la viande. En quantité et que du vrai. Et puis je suis sûr qu'une fois avoir goutée le chocolat t'y deviendra accroc... c'est fourbe le chocolat... et je parle même pas des cookies"
Elle prit un plateau et le donna à Nadja :
"Et te prive pas. Le seul rationnement qu'on pratique ici, c'est la limite de ton estomac"
Elle rigola et commença à se servir. Les cuisiniers n'étaient pas vraiment de cet avis en raison de l'état du mess et des cuisines, mais ils ne pouvaient pas vraiment y faire quelque chose...
C'est alors que les hauts-parleurs de la station se turent quelques instant avant de commencer à diffuser... de la musique ? Un titre qui sent bon le métal et les rifts à la guitare. Le volume était à la limite du supportable, mais curieusement, la baie vitrée de la mess commençait à s'illuminer. Des explosions, des milliers d'explosions simultanées. un rideau de feu semblait entourée la station :
"C'est moi... où est ce que la musique est en train de les faire exploser ?"
Après avoir été recousue, la visiteuse du futur se changea à l'abri des regards avant de se faire conduire au mess par les deux femmes. La pièce était vide et le personnel de cuisine s'affairait à tout ranger. Il semble qu'il n'y ait pas que l'infirmerie qui a eut sa période rockeur dans une chambre d’hôtel.
Par chance, certains plats étaient encore comestible et n'avaient pas quitter le bac ou leur emballage :
"On a peut être pas de super antidouleur de la mort. Mais on a des fruits, des légumes et de la viande. En quantité et que du vrai. Et puis je suis sûr qu'une fois avoir goutée le chocolat t'y deviendra accroc... c'est fourbe le chocolat... et je parle même pas des cookies"
Elle prit un plateau et le donna à Nadja :
"Et te prive pas. Le seul rationnement qu'on pratique ici, c'est la limite de ton estomac"
Elle rigola et commença à se servir. Les cuisiniers n'étaient pas vraiment de cet avis en raison de l'état du mess et des cuisines, mais ils ne pouvaient pas vraiment y faire quelque chose...
C'est alors que les hauts-parleurs de la station se turent quelques instant avant de commencer à diffuser... de la musique ? Un titre qui sent bon le métal et les rifts à la guitare. Le volume était à la limite du supportable, mais curieusement, la baie vitrée de la mess commençait à s'illuminer. Des explosions, des milliers d'explosions simultanées. un rideau de feu semblait entourée la station :
"C'est moi... où est ce que la musique est en train de les faire exploser ?"