« Du coup, je t’aiderais à te faire la main sur la paperasse au départ mais je te laisserais petit à petit plus de boulot ok ? Entre les entrainements pour JP-2, les papiers à gérer ainsi que les diverses questions de sécurités j’ai largement de quoi m’occuper. »
Jonathan se contenta de sourire avant de se diriger vers la machine à café. Le soldat attrapa deux gobelets avant de les laisser se remplir du liquide noir qui devenait l’essence de certains.
Cela faisait maintenant presque trois mois qu’il avait reçu cette « Promotion » le propulsant au rang de responsable militaire de la station. Enfin disait-il au début.
C’était sans compté la montagne de travail qui l’attendait. Gérer les autorisations, les demandes de repos, les planifications, les entrainements et j’en passe.
Pendant trois mois, Jonathan tenta de gérer la totalité. Heureusement qu’il avait pris l’habitude de pouvoir dormir n’importe quand dans la journée. Mais il fallait se rendre compte d’une chose… Il avait besoin d’une personne pour l’assister.
L’appareil avait bipé qu’il avait terminé.
Jonathan attrapa les deux gobelets avant d’en tendre un à la personne qui observait l’espace à travers la baie vitrée.
« C’est beau non ? »
Un mince sourire vint apparaître sur ses lèvres, pendant que Jonathan se contenta de laisser le café réchauffer sa gorge.
« A chaque fois que je la regarde, je ne m’en lasse jamais… »
Elle se contenta de sourire un peu plus, et un silence s’installa, simplement troublé par les bruits à l’extérieur de la pièce.
Jusqu’à ce que le bruit du communicateur Bell vienne interrompre ce silence relatif. Jonathan se contenta de consulter le message et leva un sourcil.
C’était concis.
Très concis.
Vraiment Inhabituel.
Une chose était sure, quelque chose allait bouger aujourd’hui…
« Bon… Il va falloir qu’on range tout ça…, lâcha-t-il en tournant son écran de telle manière à ce que le message fut visible, tu as des questions particulières ? »
La personne ne réagit pas, se contentant de garder son regard vers l’espace, avant de tourner la tête vers Jonathan, un air de question dans son regard.
« Tu recherches un but dans ta vie non ? Les gars de ton unité me disaient que tu semblais de plus en plus silencieuse depuis quelques temps. Qu’est ce qui se passe ? » Lâcha Jonathan avant de se diriger pour ranger le bazar qui était sur la table de réunion.
Il n’y eu pas de réponse. Il soupira.
« Pense bien que mon choix n’a pas été un hasard. J’ai atteint des retards sur tellement de chose que j’en perd mes nuits… Ca risque d’être essentiellement du travail de bureau mais tu auras ta part d’action… »
Il attrapa le pistolet avant de le lui lancer.
« Je ne te tiendrait pas rigueur si tu veux abandonner au bout de quelques semaines, mais je te demande juste d’essayer quelques jours… S’il te plait... »
L’unique personne dans la salle soupira, avant d’accrocher l’arme à son ceinturon et de se rapprocher du bazar de dossier qu’était la table.
Jonathan se contenta de sourire avant de se diriger vers la machine à café. Le soldat attrapa deux gobelets avant de les laisser se remplir du liquide noir qui devenait l’essence de certains.
Cela faisait maintenant presque trois mois qu’il avait reçu cette « Promotion » le propulsant au rang de responsable militaire de la station. Enfin disait-il au début.
C’était sans compté la montagne de travail qui l’attendait. Gérer les autorisations, les demandes de repos, les planifications, les entrainements et j’en passe.
Pendant trois mois, Jonathan tenta de gérer la totalité. Heureusement qu’il avait pris l’habitude de pouvoir dormir n’importe quand dans la journée. Mais il fallait se rendre compte d’une chose… Il avait besoin d’une personne pour l’assister.
L’appareil avait bipé qu’il avait terminé.
Jonathan attrapa les deux gobelets avant d’en tendre un à la personne qui observait l’espace à travers la baie vitrée.
« C’est beau non ? »
Un mince sourire vint apparaître sur ses lèvres, pendant que Jonathan se contenta de laisser le café réchauffer sa gorge.
« A chaque fois que je la regarde, je ne m’en lasse jamais… »
Elle se contenta de sourire un peu plus, et un silence s’installa, simplement troublé par les bruits à l’extérieur de la pièce.
Jusqu’à ce que le bruit du communicateur Bell vienne interrompre ce silence relatif. Jonathan se contenta de consulter le message et leva un sourcil.
C’était concis.
Très concis.
Vraiment Inhabituel.
Une chose était sure, quelque chose allait bouger aujourd’hui…
« Bon… Il va falloir qu’on range tout ça…, lâcha-t-il en tournant son écran de telle manière à ce que le message fut visible, tu as des questions particulières ? »
La personne ne réagit pas, se contentant de garder son regard vers l’espace, avant de tourner la tête vers Jonathan, un air de question dans son regard.
« Tu recherches un but dans ta vie non ? Les gars de ton unité me disaient que tu semblais de plus en plus silencieuse depuis quelques temps. Qu’est ce qui se passe ? » Lâcha Jonathan avant de se diriger pour ranger le bazar qui était sur la table de réunion.
Il n’y eu pas de réponse. Il soupira.
« Pense bien que mon choix n’a pas été un hasard. J’ai atteint des retards sur tellement de chose que j’en perd mes nuits… Ca risque d’être essentiellement du travail de bureau mais tu auras ta part d’action… »
Il attrapa le pistolet avant de le lui lancer.
« Je ne te tiendrait pas rigueur si tu veux abandonner au bout de quelques semaines, mais je te demande juste d’essayer quelques jours… S’il te plait... »
L’unique personne dans la salle soupira, avant d’accrocher l’arme à son ceinturon et de se rapprocher du bazar de dossier qu’était la table.