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Départ sous le soleil.

Base militaire de Denver (Colorado), un après midi ensoleillé d'hiver.

Le taxi jaune dépose le Caporal Dunaïm, devant l'économat de la base. Il a le temps de faire quelques courses avant de prendre son avion, un C-130 pour Fairbanks (Alaska), ou il doit passer un stage de survit. Cela suite à son étrange aventure dite " la colonie d'Orphée" qu'il a subit avec d'autres quand il était au JPS. Le Docteur Delamare, avec un grand sourire, permis à Mortimer de participer sur terre, à une session.

Avant de renter dans le bâtiment, il dépose son lourd sac, et il se regarde dans une glace. Il porte une parka sur son uniforme de travaille, ses rangers et une casquette fourrée. Sur ses vêtements il ni a que l'inscription de son nom et de son grade, sur terre il ne doit apparaitre aucune indication d'Atlantis!

Mortimer s’achète un sandwich, choucroute, saucisse de Francfort,et une bière au bars. Puis en profite pour prendre une bouteille de whysky Londs (quinze ans d'age), une de bourbon For flowers, une de Gin Whitys, une de Brandy Cherry, cela devrait suffire pour tenir la semaine!. Il achète le dernier numéro de Play Boy, et étudie le poster central, en payant un paquet de tabac blond.

Notre homme range précieusement ses trésors dans son sac , et il va manger le sandwich dans la salle d’attente déserte de l'aéroport militaire. L’écran blafard des départs lui annonce son avion dans une heure, avec un retard de quinze minutes. Les hauts parleurs égrainent une musique de centre commerciale. Alors n'ayant rien d'autre à faire, le Caporal s'installe dans un fauteuil, et profite pour faire une petite sieste en ayant programmé son minuteur. Il ne remarque même pas, l'homme baraqué qui vient de rentrer dans le hall!

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La base de Denver au Colorado, telle était sa destination. On l'avait envoyé faire un petit stage commando en condition extrêmes. Apparemment, il devait aller jusqu'à une base en Alaska. Eh bien le point positif c'était qu'il n'était jamais allé en Alaska... le point négatif : il n'aurait pas vraiment l'occasion de visiter.
Il fut lui aussi déposé en Taxi, payant sa course il déchargea son sac en descendant et remercia le chauffeur.
Le soldat était habillé chaudement : un manteau épais et des gants kakis, sous ces vêtements, il avait sa tenue militaire « officielle », c'est à dire sans les insignes du SDT. Et avait sur lui, en dessous de son manteau, son couteau de survie et une lampe torche.
Il pénétra à l'intérieur et on lui indiqua la salle d'attente des décollages et regarda l'écran : départ dans une heure.


*Bon... ben j'ai du temps devant moi.*

Dubois commença par s'acheter un sandwich et un soda au distributeur et alla s'asseoir à côté du Caporal Dunaïm, qu'il avait remarqué un peu plus tôt :

« Bonjour Dunaïm, vous allez bien depuis la dernière fois qu'on s'est vu ? »

Quelle aventure c'était d'ailleurs ! Des souvenirs qui seront sûrement ravivés par le stage de survie !

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Retrouvaille.

Comme tout soldat qui se respecte, il faut savoir profiter de la moindre occasion pour Manger, pisser et dormir, car l’enfer peut se déclencher la seconde d’après et la plus question de cela.
Il était parmi les soldats qui tenaient une position à Bassora devant les vagues d’ennemies se précipitant vers eux. Trois heures a serrer les poignets de sa mitrailleuse lourde passant ruban après ruban juste avant sa blessure. Il avait fauché des hommes comme des blés, ce jour maudis ! Alors il dort et même il rêve et il voit son chef lui parler gentiment en faisant un Streap Teas, elle allait retirer son soutien Gorges quand une voix le réveille. Notre homme soulève un œil et Terminator se trouve devant lui ou plutôt le Sergent Maxence Dubois qu’il avait côtoyé sur le JPS et sur la colonie d’Orphée. Un militaire qui avait servit de garde du corps à Earyn Sincet. Le Caporal décide après un vote à ouvrir son deuxième œil.
Le halle est vide, un coup d’œil sur le moniteur lui indique que le prochaine avion est un Galaxie pour Diego Garcia dans huit heures, cela indique qu’ils devraient prendre le même avion.

" - Bonté gracieuse Sergent, bien le bonjour, je prends le prochain vole pour Fairbanks dans une heure trente. » Le retard semblait s’allonger…….. " - Par Jupiter, je dois participer à un stage de survis au camp Le Jeune, *cela ne sera pas aussi facile qu'une tarte, On ne vas pas en **faire un orage dans une tasse de thé, je n'y vais pas pour porter du charbon à Newcastle et vous? " Dit-il en tendant au sous officier, son flash de whisky, du pur, du vrai, distillé sur Atlantis, il y a un mois.

*Les doigts dans le nez.
**En faire tout un fromage
***Peigner la girafe

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Le Caporal Dunaïm fut surprit de voir son camarade ici présent, lui aussi devait aller à Fairbanks, malheureusement pour les deux militaires, le retard de l'avion s'était encore creusé...
Le Caporal devait participer au stage de survie, tout comme Dubois, c'était bien ce qu'il avait pensé du coup. Il lui tendit un whisky :


« Oh eh bien si je peux goûter... »

Dubois prit la bouteille et l'ouvrit, il sentit le contenu qui lui chatouilla le nez :

« Hum ! Il a l'air d'attaquer ! »

Il prit une petite gorgée... Effectivement il attaquait, surtout pur ! Le soldat prit un petit rictus de douleur :

« Il est bon mais... ouah ! Il brûle un peu ! Après je suis pas un grand amateur de whisky donc c'est peut être le manque d'habitude. De mon côté j'ai rien amené mais un jour je vous ferai goûter un vin français. »

Dubois enleva l'emballage de son sandwich et en prit une bouchée, ce fut d'ailleurs à ce moment là qu'il se rendit compte à quel point il avait faim ! Autant faire le plein avant d'embarquer parce que le sandwich n'était pas un luxe dont il pouvait se permettre en stage de survie...

« Vous êtes un habitué de ces stages Caporal ? Moi en tout cas plutôt oui, les Commandos Marine en font souvent. Au fait vous faisiez quoi avant votre... mutation ? »

Demanda Dubois qui voulait savoir ce que faisait Dunaïm avant de se retrouver au SDT, mais bon il ne pouvait pas lui poser cette question aussi directement ici, même s'ils étaient dans une base militaire.

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Une version de la vie de Mortimer.

Il veux savoir, et bien allons y, pense le Caporal en regardant l’écran, ou le retard s'est encore rallonger d'un quart d'heure. Ils ont le temps, alors il raconte qu'il a  intégré le septième régiment des Seaforth Highlanders en 1983, juste après la guerre des Falklands. Il ne raconte pas que c'était cela ou vingt ans de prisons, pour vole de camions, recèles et autre peccadilles. Bizarrement, il reste dans l'armée, presque sans jamais faire le mur et ilsi plait. En 1991 c'est la première guerre du Golf, et alors que tous ce passait bien, une ballade de santé, à quelques kilomètres de Bassora, dans le désert, ils sont attaqués par vagues humaine, et ils tiennent bon. Les britanniques ne sont qu'une poignée, mais ils ont des munitions et ils mitraillent à bout portant leurs adversaires. Il faut trois heurs pour que la cavalerie américaine arrive avec les apaches, fanions au vent et Walkyrie à l'appuie. Il y a blessure, son rétablissement et c'est après qu'il a obtenue une bourse qui lui permet de rentrer à l'école de mécanique de la Royal Navy, en 1993  ou il devient Ingénieur mécanicien, avec la spécialisation de la maintenance des système de survie et dernier de sa promotion, presque sans tricher. En 1997. Il rentre a partir de cette date comme Ingénieur système dans l'équipe bleu du sous marin d'attaque le HSM Turbulent S87. Comme beaucoup de Soldat, il passe des stages,  commandos, plongeurs de combats, parachutisme, démineurs, et sauveteur, premier secours.  Il a déjà  manié le L85 en appuie feux, lors de certain débarquements clandestins pour les service secret de sa gracieuse Majesté. En 2002 il reçoit l'habilitation de préparation, maintenance et lancement de  missiles UGM-84B Sub 6 Harpoon Block 1C lancés par tubes torpilles. En 2004, il participe à la deuxième guerre du golfe, ou le sous marin fait de la figuration, la flotte Irakien étant complètement hors service. En 2011 il est mis a la retraite, avec le grade de Major, et s’ennuie ferme. En 2013, Il est rappelé en temps que consultant, Survit Système à Quantico USA. Il parvient a réparer différents matérielles, avec les moyens du bord. On lui propose un contrat civile de trois ans dans une base secrète, ou il devra faire ses preuves dans de nouvelles conditions expérimental . Mortimer est convaincu de se retrouver en Antarctique dans une base isolé ............. Mais il débarque sur Atlantis.......Comme Militaire Déminage et Armement ,avec en promotion son passage comme Caporal....

" - Et je m'y plait par Jupiter, mais voici l’hôtesse qui vient nous chercher, et toutes ses sortent de choses." Dit notre homme en montrant le navigateur du C-130 qui arrivent avec un léger  retard de trois heures.

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Dunaïm raconta son histoire, pleine de batailles apparemment, un vétéran aguerri, déjà blessé mais heureusement rétabli apparemment. De toute manière, le SDT ne recrutait que les meilleurs éléments de notre planète. Dubois savait que chaque ingénieur, chimiste, biologiste et autres scientifiques, de même que les soldats qui constituent la force d'attaquer et de défense de la Terre sont la crème de la crème de leur catégorie.
Et c'était finalement pour lui un grand honneur d'avoir été recruté dans cette grande famille, bien que le secret n'était pas toujours facile à porter, mais il se sentait utile au monde là où il était.

Finalement, l'avion prit un retard énorme et le Caporal eut le temps de finir toute son histoire. Dubois lui se contentait d'écouter et d’acquiescer, ne voulant pas interrompre le récit. Puis, on annonça l'arrivée de l'avion au bout de trois heures de retard. Il avait largement eu le temps de manger son sandwich et de boire son soda pour le coup...
Il s'installa dans l'appareil, son bagage entre les jambes :


« Vous êtes déjà allez en Alaska ? C'est dommage qu'on y aille pas pour faire du tourisme, j'aurai bien visité le coin. Après je ne sais pas s'il y a vraiment quelque chose à voir là-bas ! » plaisanta-t-il

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Les deux militaires donnent leurs ordres de mission au Copilote T.U.Wallace, comme l'indique son badge qui vérifie les noms, en regardant son listing. L'homme demande leur papier, puis une fois cette formalité effectué, il leur demande de le suivre, et de passer aux toilettes car le voyage va être long. Cette petite formalité effectué, ils quittent le hall et ils prennent un long couloir. Après plusieurs contrôles tenu par des MPs, Ils finissent par rejoindre le tarmac ou se trouve stationner un C130H-30. Un gros avion cargo, la bonne à tous faire de l'Aire force. Les quatre hélices des moteurs Allison tournent lentement. Et seule une porte sur le coté est ouverte. Ils grimpent et se retrouve dans l'immense carlingue, encombré de caisses. Terence leur indique qu'ils seront les seule passagers, et qu'il pourront s'allonger sur la banquette situé le long de la parois, pour dormir pendant le voyage. Ils ont six mille kilomètres à parcourir et ils mettrons douze heure pour atteindre Fairbanks. Le Copilote les laissent en leurs disant de s'attacher, puis nos deux héros se retrouvent seule dans la soute.

A la question du Sergent, le Caporal lui répond , qu'il est déjà passé par Anchorage sans descende de l'avion. Mais que cela doit être comme au Canada, des Caribous , des bout de ficelles, des conifères à perte de vue , de la neige, et une sorte de poutine qui tient au corps et au coeur!

Poutine

Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 10 minutes
Ingrédients (pour 1 personne) :
- 5 pommes de terre moyennes
- 50 g de sauce brune
- 30 à 50 g de fromage Gouda en grains
Préparation de la recette :
1) Éplucher les pommes de terre et les couper en forme de frites. Faire frire les pommes de terre à 160-170°C et ensuite à 180-190°C durant 2 min.
2) Préparer la sauce brune .
3) De préférence dans un bol pas trop haut (du style bol à pâtes), y mettre les frites, ajouter le fromage en grains et verser la sauce brune chaude.

Les deux hommes s'assoient et s'attachent, pendant que les Allisons se déchainent et que l'avion se déplace, pour rejoindre la piste de décollage.

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Ils avaient tout leur temps, douze heures de voyage. Étant donné le retard qu'avait pris l'avion, l'heure était probablement à la fin de l'après midi. Dubois se donna donc quelques heures avant de dormir un peu. Le bestiau était bourré de caisses et le fait qu'il n'y avait que deux passagers rendait l'endroit un peu... silencieux.
Apparemment Dunaïm n'avait pas beaucoup plus de connaissance que lui sur l'Alaska, et oui le militaire imaginait le pays à peu près comme le Canada, de la neige, des Caribous et des sapins.
Bon... la neige ne le gênait pas spécialement. Les Caribous... eh bien ça lui ferait voir la faune locale et les sapins... ça donnait du bon bois pour faire un feu.

Après, le fait qu'il n'y ait presque rien là-bas ne gênerait pas vraiment si cet État n'était pas aussi gigantesque, car c'était vrai que maintenant qu'il y réfléchissait, l'Alaska profonde devait être un des endroits où il était le plus difficile de survivre sans rien, si c'était possible.
C'est avec cette pensée qu'il s'endormit sur la banquette, ce n'était pas très confortable mais quand on avait une journée dans les pattes, n'importe quel endroit où l'on se posait devenait un lit de luxe.

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Ha! le C-130, ce n'est pas le plus gros, le plus rapide, le plus puissant, le plus jolie des avions de guerre, il est plus que cela, c'est la bonne à tous faire, des C-130, il en a qui transporte, des marchandises, des très grosses bombes, des hommes, des parachutiste, des blessés, du carburant et qui alimentent les hélicoptères, des qui servent comme contrôle aérien , des avions, espions, des Killers tout de noir avec des gatlings sur un seule coté, certain avec des skie en antarctiques, d'autre avec le livret rouge des gardes de côte, quelqu'un comme extincteur....... (Oui Maxence,?? Ha, je dois abrégé! Bon bien!)

Donc nos deux hommes finissent par dormir sur la banquette du C-130. Mais à mesures que l'avion se rapproche de l’Alaska, il se rapproche aussi d'un phénomène qui arrive à ces latitudes, un aurore boréal. Ce très beau phénomène est provoqué par le soleil, et donne lieu à des interruption de communications. Ce qui n'est pas très dangereux quand on connait la route et qu'il n'y a aucun autre avion devant soit, mais voila qu'un orage très violant, non annoncé enveloppe l'avion!

Donc nos deux homme dorment sur la banquette alors que l'avion rentre dans une perturbation très perturbante. En quelques secondes on passe d'un du monde des poupées, en mieux à space montagne, en pire. L'avion est secouer. Si nos deux héros sont toujours attachés, une caisse bouge et bloque le passage avec l’équipage qui se trouve dans le cockpit. L'avion qui vole alors à 7000 mètres est soulevé et grimpe, il devient incontrôlable, et le pilote actionne l'alarme.

Dans l'immense soute, c'est la lumière rouge qui prend le relai, avec en prime, le hurlement de la sirène. Mortimer a repéré l’armoire contenant le matérielle d’évacuation. Il commence par s'habiller en voyant Maxence l'imité. Il sort les parachutes, les masques à oxygène, avec bouteille, qu'il ouvre, et des casques. C'est très difficile de s’équiper dans les soubresauts de l'appareille, mais nos militaires y parviennent quand l'avion semble avoir finit de grimper. Le Caporal après avoir agrafé son sac à une rallonge du parachute ouvre la grande porte avec la poignet de secoure. Alors que l'avion entame sa chute, l'Ecossai prend le Français à bras le corps, et se jette avec lui dans le vide. L'avion entame sa chute, en se mettant en vrille, alors qu'il vient de pulvériser un record d'altitude, 10000 mètres. (Record qui ne sera pas homologué)

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Alors qu'il dormait profondément, il fut brutalement réveillé et dut se tenir au mur pour ne pas tomber, même s'il était attaché. Le temps d'émerger, il se rendit compte qu'il s'agissait de secousses très violentes, ce qui n'était pas normal. Tout à coup, la lumière rouge signifiant qu'il fallait sauter s'alluma dans la soute. Ok, là ils avaient un problème. Surtout que la sirène avait commencé à retentir.
Le bruit, la lumière, les secousses, dur de garder contenance dans cette situation, surtout lorsque l'on venait de se lever, mais les deux soldats étaient formés pour ça.
Rapidement, ils filèrent s'habiller pour évacuer, chose difficile en raison des secousses.

Être calme pour rester efficace, c'était le dicton qu'appliquait Dubois en permanence. Paniquer dans cette situation n'avait que pour issue une mort certaine. Comme Mortimer, après s'être habillé, Dubois accrocha son sac pour descendre avec. Le Caporal ouvra ensuite la porte et, sans attendre, s'empara du Sergent et sauta.
Le froid s'empara du corps de Dubois alors que les deux militaires prenaient de la vitesse. Dunaïm fit signe de ne pas encore ouvrir le parachute et d'attendre son signal... Les secondes passaient, puis les minutes, le sol se faisait de plus en plus proche, l'adrénaline montait dans le corps du militaire, puis, enfin, le signal ! Dubois tira sur la manette son parachute s'ouvrit, le vent s’engouffra dessous et sa chute fut immédiatement ralentie, mais pas encore suffisamment alors que le sol était vraiment proche ! Ça serait juste...


« Ough ! »

Il toucha le sol et la vitesse qui lui restait le fit tomber sur le ventre. Il se releva et détacha son parachute, et se rendit alors compte qu'il était en plein blizzard. L'adrénaline passa et le froid s'empara à nouveau de lui. Il décida donc de garder son masque pour faire une protection supplémentaire à son visage, il mit la main devant lui par réflexe et tenta de trouver Mortimer et vit ce qui semblait être son collègue un peu plus loin. Il ouvrit rapidement son manteau pour prendre sa lampe torche avant de le refermer et alluma celle-ci, au moins il se repérerait un peu mieux, il en profita pour agiter celle-ci en direction de l’Écossais pour mieux se faire voir avant de prendre son sac et de se diriger péniblement vers lui.

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Les deux hommes sautent vers dix mille mètres,en plein de la zone de mort, une zone ou il y peux d’oxygène, Mortimer vérifie que la bombonne qui est fixé à une sangle, est bien ouverte et son masque bien fixé, de plus le froid est glacial et il faut quitter ce secteur le plus rapidement possible. Il reste donc que la chute libre. Notre homme a peur, car il ne sait pas ou il est et aussi le plus grave à quel distance ils se trouvent du sol. Il ne fait pas encore tout à fait nuit et il distingue la terre blanche, cela doit être la neige, il faudra ouvrir le parachute au dernier moment, et pas se louper. La zone en dessous deux n'est pas sombre, ils n’atterriront pas dans une foret, c'est déjà cela. Les deux hommes sont déséquilibrés par le poids de leurs sacs, et ils leurs faut sens cesse lutter pour ne pas partir en vrille. Les minutes passent lentement, et la chute se poursuit ! La vision du sol n'est pas net, cela doit être le blizzard, ce terrible vent de terre, qui l’empêche d'estimer la distance avec la surface de la terre! Ils sont a 3000 mètres au baromètre, mais aucune indication visuel pour leur atterrissage. Coté oxygène, ils sont hors de danger... Maintenant le danger c'est l'arrivé, et soudain il remarque un arbre,ils sont très proche du sol. Il fait le signe d’ouvrir le parachute à Maxence. Puis c'est le choc de l'ouverture, et très vite le sac touche le sol et l'entrainement du Caporal refait surface, et il se réceptionne en roulé boulé, ralentie par la neige profonde.
Il se lève, puis il voit que le Sergent active sa lampe au loin, et se dirige vers lui! Il fait nuit, maintenant et il fait froid. Ils ne passeront pas la nuit, il n'y a pas d’hôtel! Mais il y a de la neige alors , il commence a construire des rectangles de neige, ils vont construire un igloo. Dans son sac, il y a une bougie, celle de son cinquante quatrième anniversaire, et la faible flamme de la bougie, permettra de faire monter la température dans ce genre d’habitat, comme il l'a apprit lors d'un stage commando à About-Abi, en plein désert de sable! En plus il a de l'alcool, si les bouteilles ne se sont pas cassées.

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Les deux militaires se rejoignirent et réalisèrent rapidement qu'il fallait se mettre à l'abri d'urgence ou leur température corporelle baisserait de manière fatale. Le Caporal Dunaïm eut alors l'idée de construire un igloo. Ce serait assez difficile car le maître était désormais d'économiser les calories, mais pour le moment Dubois n'avait pas de meilleure idée à proposer et ils n'avaient certainement pas le temps d'y réfléchir alors il s'empressa d'aider son collègue.
Bon, ce n'était pas un cinq étoile mais au moins ça les protégerai du vent jusqu'au levé du jour.

A l'intérieur de l'abri, Dunaïm alluma une bougie, ça ne valait pas un bon feu de camp mais c'était toujours mieux que d'être dans le froid ET dans le noir :


« Dites Dunaïm, vous connaissiez l’itinéraire de l'avion ? Parce que si on sait à peu près où on est par rapport à l'heure qu'il est, on pourra plus facilement choisir une direction. Sinon je propose de trouver une rivière, même gelée c'est pas grave, le plus important est de la suivre pour trouver la côte. »

Avec la permission de Dunaïm, Dubois prit ensuite l'une des bouteilles et but une gorgée avant de continuer :

« A moins que vous n'ayez un téléphone satellite sur vous... ou une meilleure idée. » dit-il en plaisantant

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Au milieu de nul part!

Mortimer explique, en fouillant dans ses poches à la recherche de sa radio, qu'il ne sait pas ou ils sont. Demain, ils regarderont ou se trouvent les montages, si le temps le permets, car notre homme ne voudrait pas franchir les rocheuses en hivers. Il recherche sa radio dans son sac, mais ne la trouve pas, mais sa main se pose sur la bouteille de whisky, et il s'en sert une toute petite, une légère, un doigt, une petite, un lichtopette gorgée du breuvage écossais.

"  - Par Jupiter, le bouteille est presque vide, ils font des petits model à Denver!"

Il remet dans son sac la bouteille vide au trois quart. Il se sert de quelques vêtements pour l’isoler un peut plus du sol, et c’est à se moment qu’il se souvient d’avoir posé la radio sur son sac dans l’avion pour avoir l’heure, et l’objet dans les soubresauts de l’appareil, il a du tomber et y rester. Ce qui est fait est fait. Il  explique  cela à Maxence. Ils n’ont pas de GPS, ni de liaison avec de secours, mais demain sera un autre jour. Le mieux est de dormir. Ils ont de la nourriture un peux de whisky, de l'eau à profusion sous forme de neige, ils ne sont pas blessés, et en formes.

"- *On ne va pas être collé en haut, sergent, on vas s'en sortir comme **prendre des bonbons à un bébé, malgré qu’il fasse ***froid comme le téton d’une sorcière. Je ne vais pas te ****tirer le laine pour te couvrir les yeux, mais le situation, il n’est pas désespéré. Le mieux est de dormir , par Jupiter! "

Bientôt notre Caporal préféré, se met à ronfler légèrement, et il aurait couvert sans problème les quatre moteurs Alison du C-130.    


*Se regarder le nombril.
**  Les doigts dans le nez.  
*** Un froid de canard.
**** Rouler quelqu’un dans la farine .

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Oui bien sûr, il fallait évidemment attendre demain avant de faire quoi que ce soit, ce n'était qu'une suggestion, mais Dunaïm n'était pas plus renseigné que lui sur l'endroit où ils se trouvaient.
Autrement niveau communication ? Rien du tout, pas de téléphone, pas de radio, pas de GPS, rien ! Ils étaient littéralement livrés à eux mêmes :


« Ben moi j'ai mon portable mais... »

Il montra le téléphone à Dunaïm qui indiquait « Aucun Réseau », ce qui était logique vu l'endroit où ils étaient. Oui, il ne restait plus qu'à dormir. Dubois utilisa donc son sac comme oreiller et ferma les yeux, mais rapidement il entendit son collègue ronfler. Il roula des yeux avec un sourire et ouvrit une poche de son sac pour y sortir des boules quies et les mit dans ses oreilles :

*Ah c'est mieux !*

Il ferma les yeux en se recroquevillant sur lui-même et s'endormit.

Le lendemain, tôt le matin, Dubois fut réveillé par du bruit à l'extérieur. Il sortit la tête de l'igloo et vit le Caporal qui enfilait des raquettes à ses pieds. Celui-ci l'informa que les montagnes étaient au Sud, à l'Ouest et au Nord, à part ça la tempête s'était calmée.


« J'arrive ! »

Dubois rentra à l'intérieur pour prendre son sac et le sortit avant d'aider Dunaïm avec sa besogne :

« Personnellement je pense pas que le Nord ou le Sud soient une bonne idée. » suggéra-t-il en même temps « Si on est bien dans les Rocheuses, elles s'étendent du Nord au Sud, donc on ne les quittera jamais si on va dans ces directions. »

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Préparatif.


Mortimer dort quand soudain il est réveillé par ..... le.... silence.Il regarde sa montre, neuf heure à l'heure de Denver. La tempête serait elle terminée. Notre homme retire une brique de neige et il est accueilli par un rayon de soleil.Il fait beau, il voit le ciel bleu! Le Sergent dort, alors il défait d'autre brique, et il sort. il s'enfonce dans la neige à mit cuisse. Il observe son environnement, ils sont sur une pleine couverte de neige, qui camoufle la végétation. Il sort son couteau Suisse et regarde la boussole. Du nord , à l'ouest et au sud il y a des massifs montagneux, ils sont donc à l'est des Rocheuses, pas question de les franchirent. Prendre la direction de l'est , c'est franchir tous le continent, reste la direction sud est. Il regarde l’altimètre du parachute , deux milles mètres environ.
C'est le début de l’hiver, et les conditions vont allé en se dégradant. Il ne peuvent partir a pied, ils ne feraient que un ou deux kilomètres par jour, pas suffisant! Des skies? oui mais il n'y a pas de boutiques pour en vendre. Il pense alors à faire des raquettes, comme il l'a apprit à en faire pendant un stage de survit, sur la base Diego Garcia, en utilisant des fines branches souples, du tissus et de la garcette. Il découpe des branches de sauges avec la fonction scie de son couteau Suisse, puis il se met a les courber, puis à les joindre avec de la garcette, et il passe le tissue entre les interstices. Il se sert de sa ceinture pour maintenir la première raquette à sa ranger, quand le Sergent apparait. Les deux hommes discutent de leur situation, et décident de partir vers la civilisation. Mais avant de partir il faut faire quelques préparatif, pendant que Mortimer fabrique les raquettes, Maxence sort toute leurs affaires, rassemble la nourritures et équilibre les sacs.
Après avoir manger, les deux hommes partent, ils ont encore cinq heures avant nuit. Les raquettes fonctionnent, ils doivent pouvoir faire du trois kilomètres heure.

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Après avoir fait l'inventaire les deux hommes mangèrent et se mirent en route, raquettes aux pieds. Le Sud Est semblait être la meilleure solution, un terrain plus simple à parcourir, surtout qu'ils étaient déjà à 2000 mètres...
Les deux hommes marchèrent autant de kilomètres qu'ils purent quand le soir arriva, il faudrait bientôt s'arrêter avant de se faire surprendre par la tombée de la nuit. C'est alors que le duo put apercevoir un caribou :


« On pourrait se faire repas avec ça. » murmura Dubois

Dunaïm signala alors qu'il avait sur lui une arme à feu que Dubois pouvait utiliser :


« Bien jouer Caporal ! » dit-il en prenant l'arme

Avec du 9mm il fallait toucher la tête pour donner une mort rapide à l'animal, chose pas simple à première vue mais il n'était pas tireur d'élite pour rien, le soldat pensait qu'il avait ses chances. Il visa prenant son temps et...


[Résolution Tir]

En plein dans le mille ! Le caribou n'eut même pas le temps de réaliser ce qui lui était arrivé qu'il s'écroula, mort.
Il s'avança un peu précipitamment et se tourna vers son camarade Écossais en sortant son couteau de combat :


« Va falloir un truc un peu plus gros que votre couteau suisse pour ce genre de viande ! Vous me filez un coup de main qu'on transporte tout ce qu'on peut dans nos sacs ? J'ai pas envie d'en gaspiller une miette ! »

Ils ne venaient pas de gagner leur repas du soir, mais devaient certainement avoir de quoi manger pour une semaine avec cet animal !

Dernière édition par Maxence Dubois le Mar 8 Nov 2016 - 18:25, édité 1 fois

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Le membre 'Maxence Dubois' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Résolution (31-60)' :
Si l'Alaska m'était compté Reussiteparf-4f65545

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Que demandé de plus........


Marcher dans la neige avec des raquettes est aussi fatiguant que de marcher dans le sable des déserts du golf. Le temps est beau, il y a des gents qui payeraient pour vivre ce qu'ils vivent. Voir la nature évoluer comme ce caribou qui détale pas très loin d'eux, Maxence dit que si il avait une arme et Mortimer lui donne son Glock 17, que le Sergent prend, il défet le cran d’arrêt, vise la tête en anticipent le mouvement, stoppe sa respiration, appui la détente et il touche la bête, qui roule dans la neige.
Si Mortimer est une quiche au tire, par contre.... a partir de se moment notre homme prend les choses en mains. Il sort son Couteau de sauvetage PUMA, avec un petit sourire et il demande à Maxence d'amener ici du bois, Beaucoup de bois. Ils vont faire un feux d’enfer, et passer la nuit. Notre homme découpe steacks, et quelques laniers à boucaner. Il a déjà allumé des feux à Aberdeen en pleine hiver, sous la pluie, alors ici cela ne lui fait pas peur.
Les deux hommes préparent le bois et l’écossais prend soins de placer au centre un petit monticule de bois le plus sec possible dans lequel il place un bout de tee-shirt trempé dans du whisky, Il allume le feu et ajoute le bois au fur et a mesure qu'il prend, quand le feu est parti il demande à Maxime de l’alimenter. Il va chercher des perches, il fait des fentes dans le bois,pour coincer la viande et les lanières au dessus du feux. Avec d'autre perches le Caporale prépare un abris juste à coté du feu et contre le vent. Il ne neige pas, avec le feux, l’abri construit à partir de feuillages et avec leurs vêtements, ils devraient ne pas trop avoir froid. La nuit tombe, Les deux hommes sont l'un contre l'autre à regarder le feu, et a prélever des bout de viandes, en buvant du whisky.
Cette nuit là, sous un ciel étoilé, le froid ne descendit qu'à moins vingt cinq degrés, cela n’empêcha pas nos deux hommes de dormir.......

descriptionSi l'Alaska m'était compté EmptyRe: Si l'Alaska m'était compté

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