Après avoir offerte son cadeau que Plume adopta sur le champ, la Narisienne fut embarquée dans la station par Plume jusqu'à son teltak car elle devait lui offrir son cadeau "qui semblerait ridicule en comparaison du sien" et qu'elle ne l'avait pas sur elle. Les deux femmes quittèrent donc la fête qui commençait à battre son plein et se dirigèrent vers le hangar puis vers le "Free Bird" où Plume verrouilla la porte derrière elles.
Elle partit vers la soute et revint avec une boite qu'elle offrit à Aynira. Elle précisa juste avant que la Narisienne ne l'ouvre que ça ne pourrait pas être aussi que son pendentif et s'en excusa. Ayni ne répondit qu'avec un sourire rassurant avant d'ouvrir la boîte contenant un bijou ancien. Un bracelet visiblement en argent avec une plume pendant à l'un des maillons. La jeune femme expliqua qu'elle l'avait trouvée dans la forêt quelques jours après avoir été libérée de l'emprise de Métis. C'était la plume du bijou qui lui inspira le nouveau nom qu'elle se donna.
La valeur symbolique que ce bracelet représentait était tout simplement inestimable et c'était bien plus qu'un bijou en émeraude comme il en existait tant d'autres dans l'Univers. Comme peut l'être un objet tellement inspirant, même inconsciemment qu'on décide de se donner son nom. Plume pensa que son cadeau était ridicule, certaine d'avoir commise une erreur ou de s'être montrée ridicule en offrant ce qui était pour elle qu'une breloque sans valeur pendant qu'Aynira attacha le bracelet à son poignet, la taille semblant lui aller parfaitement assez lâche pour ne pas être désagréable à porter et assez serrer pour rester en place.
Plume continua sur sa lancée, disant qu'une fois sur Terre, elle trouverait un autre cadeau, mais la Narisienne la fit taire en l'embrassant passionnément tout en l'enlaçant, une de ses mains glissant dans ses cheveux. Ce n'est que plusieurs longues secondes plus tard qu'elle rompit le contact de ses lèvres, posant son front contre le sien et la fixant du regard :
"Il est comme toi... parfait"
Elle redéposa un second baiser, plus tendre cette fois-ci. Honnêtement, elle s'en foutait que ce soit un vieux bracelet trouvé dans les bois, cela aurait put être une planète entière ou un simple fleur qu'elle n'y aurait vue aucune différence. C'était un cadeau avec toute la valeur que ça impliquait et c'était ça qui comptait.
Elle partit vers la soute et revint avec une boite qu'elle offrit à Aynira. Elle précisa juste avant que la Narisienne ne l'ouvre que ça ne pourrait pas être aussi que son pendentif et s'en excusa. Ayni ne répondit qu'avec un sourire rassurant avant d'ouvrir la boîte contenant un bijou ancien. Un bracelet visiblement en argent avec une plume pendant à l'un des maillons. La jeune femme expliqua qu'elle l'avait trouvée dans la forêt quelques jours après avoir été libérée de l'emprise de Métis. C'était la plume du bijou qui lui inspira le nouveau nom qu'elle se donna.
La valeur symbolique que ce bracelet représentait était tout simplement inestimable et c'était bien plus qu'un bijou en émeraude comme il en existait tant d'autres dans l'Univers. Comme peut l'être un objet tellement inspirant, même inconsciemment qu'on décide de se donner son nom. Plume pensa que son cadeau était ridicule, certaine d'avoir commise une erreur ou de s'être montrée ridicule en offrant ce qui était pour elle qu'une breloque sans valeur pendant qu'Aynira attacha le bracelet à son poignet, la taille semblant lui aller parfaitement assez lâche pour ne pas être désagréable à porter et assez serrer pour rester en place.
Plume continua sur sa lancée, disant qu'une fois sur Terre, elle trouverait un autre cadeau, mais la Narisienne la fit taire en l'embrassant passionnément tout en l'enlaçant, une de ses mains glissant dans ses cheveux. Ce n'est que plusieurs longues secondes plus tard qu'elle rompit le contact de ses lèvres, posant son front contre le sien et la fixant du regard :
"Il est comme toi... parfait"
Elle redéposa un second baiser, plus tendre cette fois-ci. Honnêtement, elle s'en foutait que ce soit un vieux bracelet trouvé dans les bois, cela aurait put être une planète entière ou un simple fleur qu'elle n'y aurait vue aucune différence. C'était un cadeau avec toute la valeur que ça impliquait et c'était ça qui comptait.