L’écran principal de l’infirmerie affichait des données en blancs sur fond noir. Des séries de chiffres, des compositions de molécules. L’image principale montrait des cellules sur fond rouge qui bougeaient dans tous les sens, sans ordre apparent.
Installée à son bureau, Nadira observait les données depuis plus d’une heure. Immobile, le menton reposant sur ses mains croisées elle laissait les données défiler seule et s’en imprégnait. Il n’y avait que peu de monde dans l’infirmerie aujourd’hui et elle avait donné comme instruction de ne pas la déranger, sauf urgence majeure.
Avec le temps qu’elle avait réussi à dégager, elle travaillait sur un sérum permettant de se servir de la technologie Goa’uld. Normalement, ces gadgets réagissaient au naqahdah présent dans le sang du porteur. Mais injecter du métal dans les veines de quelqu’un n’était pas la meilleure chose à faire si on voulait qu’il survive. Du coup, elle testait d’autres solutions, sans grand succès pour l’instant. Sois la concentration était trop forte et les globules rouges étaient détruit par l’injection, sois trop faible et les artéfacts en réagissaient pas.
Ce matin, elle avait lancé une nouvelle série de test et ces résultats, tous plus déprimants les uns que les autres.
Si quelqu’un était entré dans la bureau à ce moment, il aurait été surpris par le silence de cathédrale qui régnait dans la pièce, à peine dérangé par le léger ronflement qui s’échappait des lèvres du médecin.
Installée à son bureau, Nadira observait les données depuis plus d’une heure. Immobile, le menton reposant sur ses mains croisées elle laissait les données défiler seule et s’en imprégnait. Il n’y avait que peu de monde dans l’infirmerie aujourd’hui et elle avait donné comme instruction de ne pas la déranger, sauf urgence majeure.
Avec le temps qu’elle avait réussi à dégager, elle travaillait sur un sérum permettant de se servir de la technologie Goa’uld. Normalement, ces gadgets réagissaient au naqahdah présent dans le sang du porteur. Mais injecter du métal dans les veines de quelqu’un n’était pas la meilleure chose à faire si on voulait qu’il survive. Du coup, elle testait d’autres solutions, sans grand succès pour l’instant. Sois la concentration était trop forte et les globules rouges étaient détruit par l’injection, sois trop faible et les artéfacts en réagissaient pas.
Ce matin, elle avait lancé une nouvelle série de test et ces résultats, tous plus déprimants les uns que les autres.
Si quelqu’un était entré dans la bureau à ce moment, il aurait été surpris par le silence de cathédrale qui régnait dans la pièce, à peine dérangé par le léger ronflement qui s’échappait des lèvres du médecin.