Paul ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait. Il sentit un picotement dans la nuque et ensuite tout disparut autour de lui, sa téléportation se passa tellement vite qu’il n’eut même pas le temps de se demander quoi est qu’est-ce. Il se retrouva aussitôt dans ses quartiers avec le fanion entre les mains et son sac sur les épaules. Bien évidemment, il n’avait pas eu le temps de se remettre quelque chose sur le dos.
Il fut un peu surpris d’arriver tout de suite dans ses quartiers. Swagger pensait qu’il allait d’abord atterrir dans un genre d’hall d’accueil et que quelqu’un l’aurait prit en charge afin de lui faire visiter le complexe, lui présenter ses nouveaux collègues et ses quartiers. Mais il n’y avait absolument personne, il faisait totalement noir et aucun bruit ne se faisait entendre. Paul déposa alors son sac par terre avec le fanion dessus. Il tourna la tête un peu partout afin de voir à quoi pouvait ressemblait ses quartiers, une lumière verdâtre qui tournoyait au dessus de la porte lui permettait de distinguer à peu près ce que contenait la pièce. Il aperçut d’ailleurs un lit double, une armoire, un bureau… Tout ce que devait contenir un quartier.
C’est alors que Swagger remarqua quelque chose de formidable. Il s’approcha lentement de sa fenêtre et fit de grands yeux en contemplant l’Espace. Il eut une sensation de vide, de chute en voyant l’infini et toutes ses étoiles. Jamais il n’aurait cru pouvoir être dans l’Espace un jour et il n’oubliera jamais ce jour. Paul avait là une chance immense.
Mais Swagger se tourna rapidement sur sa droite quand il entendit un bruit sourd. Avec la pénombre, le militaire ne distinguait pas ce que ça pouvait être. Il se mit en position de garde, peut être que c’était un autre test, un nouvel exercice du Blumberg. Paul s’approcha alors doucement mais surement et posa ensuite la question banale.
« Qui est là ? Montrez-vous ! »
Il fut un peu surpris d’arriver tout de suite dans ses quartiers. Swagger pensait qu’il allait d’abord atterrir dans un genre d’hall d’accueil et que quelqu’un l’aurait prit en charge afin de lui faire visiter le complexe, lui présenter ses nouveaux collègues et ses quartiers. Mais il n’y avait absolument personne, il faisait totalement noir et aucun bruit ne se faisait entendre. Paul déposa alors son sac par terre avec le fanion dessus. Il tourna la tête un peu partout afin de voir à quoi pouvait ressemblait ses quartiers, une lumière verdâtre qui tournoyait au dessus de la porte lui permettait de distinguer à peu près ce que contenait la pièce. Il aperçut d’ailleurs un lit double, une armoire, un bureau… Tout ce que devait contenir un quartier.
C’est alors que Swagger remarqua quelque chose de formidable. Il s’approcha lentement de sa fenêtre et fit de grands yeux en contemplant l’Espace. Il eut une sensation de vide, de chute en voyant l’infini et toutes ses étoiles. Jamais il n’aurait cru pouvoir être dans l’Espace un jour et il n’oubliera jamais ce jour. Paul avait là une chance immense.
Mais Swagger se tourna rapidement sur sa droite quand il entendit un bruit sourd. Avec la pénombre, le militaire ne distinguait pas ce que ça pouvait être. Il se mit en position de garde, peut être que c’était un autre test, un nouvel exercice du Blumberg. Paul s’approcha alors doucement mais surement et posa ensuite la question banale.
« Qui est là ? Montrez-vous ! »