Une épreuve à couper le souffle

Il n’y avait pas pire situation possible. A peine arrivé, l’instructeur – car il semblait en être un – partait d’un pas vif et décidé. Aussitôt, les quatre recrues partirent à sa suite. Erika, elle, essaya de suivre le rythme du mieux qu’elle pouvait, rangeant son portable et ses écouteurs dans ses poches. Le sport n’avait jamais été une de ses passions, et malheureusement elle en payait désormais le prix. Ce n’était pas le moment de craquer, cependant. Et elle n’était de toute façon pas la dernière. Néanmoins, la situation pouvait difficilement s’améliorer, étant donné que c’était un sosie du sergent Hartman qui les menait.

Essoufflée, sentant son cœur battre à toute vitesse dans sa poitrine, la jeune allemande regarda autour d’elle, après avoir déposé son sac et être entrée. Les autres étaient là, au moins personne n’était encore éliminé. Quelque part dans sa tête, Erika se dit qu’ils étaient là parce qu’ils étaient exceptionnels. Sinon, ils n’y seraient pas. Chacun d’entre eux devait avoir une spécialité et des compétences bien particulières.

Erika examina la pièce où ils se trouvaient. Elle n’était pas bien grande, bien que haute. Etonnez-moi, avait dit l’instructeur. Comment parvenir à étonner un type qui voyait passer des recrues pour un programme spatial depuis longtemps ? C’était certaine un défi de haute voltige, et Erika aimait les défis. Néanmoins, celui-ci pouvait difficilement se résoudre avec un hack. Elle pouvait y parvenir avec son téléphone, plus rapidement avec son ordinateur, mais elle avait le sentiment que ce n’était pas une bonne chose d’essayer. Elle examina les boutons, et la caisse. Elle semblait solide, et pouvait donc abriter n’importe quoi.

« Wartet ! Euh… désolée. Attends, je veux dire. » dit-elle au militaire.

Elle s’approcha du bouton, et s’accroupie devant. C’était surement beaucoup trop simple. Qu’aurait-elle fait pour piéger la caisse ? Le bouton le plus en évidence, et pourtant qu’on pouvait oublier le plus facilement et donc marcher dessus par inadvertance : à piéger. Ceux sur les deux murs du côté : à piéger aussi, trop évidents. Celui de derrière ? Celui du plafond était inaccessible comme ça, mais justement. N’importe qui serait tenté de l’actionner car ça paraitrait la solution. Ne restait donc plus qu’un bouton.

« Celui-là, derrière la caisse, en bas du mur. Enfin… si vous êtes d’accord. »

Lazar a écrit:

Alors que Lazar était là à observer la situation l'eau commençait à monter dangereusement. La pièce semblait se refermer sur elle même sans aucune issue possible. Juste devant eux une sorte de caisse avec un contenus étranger à l'intérieur puis à un moment donné le certain Hunter me demanda de l'aider dans sa tâche. Lazar et Hunter ouvrirent donc la boite est ne trouvèrent rien de mieux que des balles colorées. Lazar pensa alors :

*Ils n'ont rien d'autre à faire que jouer avec nous, mais une suis je bête? EUREKA ! Ce test doit être un test psychologique pour voir notre résistance dans des situations tendues*

Mais à ce moment l'autre militaire donna des ordres à tout bout de champs il fallait économiser les forces et ne pas stresser mais Lazar l'écoutait quand même. A un moment donné il demanda un bon tireur pour viser le bouton du haut. Lazar était donc son homme. Il prit la parole :

"Je suis tireur d'élite de spécialisation est toucher cette cible seras chose facile pour moi. Faîtes-moi confiance"  

Lazar préféras ne rien dire sur sa propre pensée mais lui restait zen et calme. Contrairement aux autres, le garçon savais très bien qu'ils n'allaient pas mourir ici la seul chose qui pouvait leurs arriver était de se prendre des coups de pied aux fesses par le mystérieux hommes de ce matin , mais trêve de plaisanterie Lazar devras réussir sa mission.