Grégory Payet était sous étroite surveillance avec un garde posté devant ses quartiers.
La station était calme, vide, le soldat somnolait quelque peu quand un bruit sourd le réveilla, il regarda dans le couloir, il n'y avait rien ni personne.
Il décida d'aller voir le prisonnier, mais en ouvrant la porte il vit Gregory Payet pendu avec sa ceinture, il avait laissé une lettre.
Le soldat appela les secours et une équipe médicale arriva très rapidement, mais le psychologue était déjà mort.
Dans la lettre, il expliquait qu'il s'était pendu pour en avoir le cœur net, il avait découvert grâce à ça qu'il avait été victime d'un lavage de cerveau, il parla de l'homme à capuche du RESO avec un fort accent russe qui l'avait capturé et torturé, puis avait fixé un dispositif sur sa tempe pour le lavage de cerveau.
Il s'excusa pour ce qu'il avait fait et souhaitait bonne chance aux membres de la station.
Mais cette lettre ne parlait visiblement pas des manipulations qu'il avait effectué dans les systèmes de la station, ni des informations qu'il avait transmises au RESO.
La station était calme, vide, le soldat somnolait quelque peu quand un bruit sourd le réveilla, il regarda dans le couloir, il n'y avait rien ni personne.
Il décida d'aller voir le prisonnier, mais en ouvrant la porte il vit Gregory Payet pendu avec sa ceinture, il avait laissé une lettre.
Le soldat appela les secours et une équipe médicale arriva très rapidement, mais le psychologue était déjà mort.
Dans la lettre, il expliquait qu'il s'était pendu pour en avoir le cœur net, il avait découvert grâce à ça qu'il avait été victime d'un lavage de cerveau, il parla de l'homme à capuche du RESO avec un fort accent russe qui l'avait capturé et torturé, puis avait fixé un dispositif sur sa tempe pour le lavage de cerveau.
Il s'excusa pour ce qu'il avait fait et souhaitait bonne chance aux membres de la station.
Mais cette lettre ne parlait visiblement pas des manipulations qu'il avait effectué dans les systèmes de la station, ni des informations qu'il avait transmises au RESO.