Slade fait de la résistance

Slade encore très fatigué par le voyage pas très confortable dans la cale du bateau malgré les quelques heures de repos qui ont pris ensemble avec Tom, il se pose la question s'il serait prudent de les attaquer en pleine rue à découvert.

En regardant son camarade Slade lui dit " Qui sont ces deux Humains ? Que font il avec des jaffas de Tonatuith ?".

Il regarde avec méfiance la patrouille en examinant leur moindre geste.

Slade regarde de nouveau Tom "Attend pour l'instant on ne peut rien faire il faut déjà examiner les lieux pour voir s'il n'y a pas d'autres patrouilles, mais si on les attaque il va falloir faire sa vite et en laisser aucun  survire, parce que s'ils alertent une autre patrouille on va le regretter et je n'ai pas envie que sa ce passe comme en France être obligé de fuir sa étai très difficile pour moi." dit-il en regardant la patrouille jaffa.

Il s'avance avec prudence vers eux en toute discrétion pour ne pas se faire repérer par l'ennemi qui en plus grand nombre qu'eux et se mirent à chercher des indices sur la présence d'une autre patrouille, pour savoir s'ils peuvent à eux deux aider ces passants des abus de pourvoir de ces maudits jaffas de Tonatuith.

Slade stupéfiait par les actions des deux humains * Comment peuvent-ils faire sa à leur propre peuple ? *

Il regarda son camarade, il a un plan en tête " Si tu es d'accord, je te propose que chacun de nous se place de chaque côté du marché et que l'on attaque au corps-à-corps les jaffas, je veut les prendre par surprise pour éviter de faire des victimes innocentes. Puis une fois les quatre Jaffas tué, ont capturé les deux Humains pour les interrogés j'ai quelques questions à leurs posées. Et sa sera bien que l'on arrive dans la résistance avec des informations, se pourrait leurs montré qu'ils peuvent compter sur nous. "

Slade ne voulait pas se battre dès son arrivée, il voulait rester incognito le temps au moins de rejoindre les rangs de la résistance. Mais la situation l'obligé à intervenir, il ne peut laisser plus de gens innocents restés sous la joue de l'esclavage des Goa 'uld. C'est sa mission, essayé de rendre la planète Terre a ces habitants. Mais pour l'instant avant de changer la face du monde, ils peuvent avec l'aide de la résistance changée l'avenir de ces pauvres gens qui n'ont pas eu le temps de se faire à l'idée qu'ils n'étaient pas seuls dans l'Univers.

En regardant Tom " Oui c'est vrai tu as raison je sais pas pourquoi je te proposais ce plan il n'avait aucune chance de fonctionner je crois ue je suis encore un peu fatiguer du voyage et tellement remonter contre ces Jaffas qui ont tué tellement de personnes que j'aimais " Dit Slade avec une aire triste et une petite larme.

" Oui tu as raison laissant les jaffas continuer leur ronde, ils n'ont rien fais après tous. Par contre on ne peut pas les interroger dans la rue comme ça on est beaucoup trop exposé, une fois les deux assommés on ira une ruelle à l'abri des regards. "

Slade s'avança discrètement dans la foule pour se rapprocher un maximum de l'homme à droite. Il prend une ruelle adjacente à celle ou les deux hommes se trouvent pour se retrouver derrière eux pour enfin les prendre par surprise. Sans faire de bruit Slade se rapproche de l'homme afin de le saisir pour le maitriser. Il est jetta un dernier coup pour voir si les Jaffas se sont assez éloigné et voir s'il n'y a pas d'autre patrouille dans les environs. Slade saisissa de l'homme par le cou afin de l'étrangler pour qu'il s'évanouisse.

Le membre 'Slade Wilson' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Résolution (1-10)' :

Slade avait terriblement mal au nez "merci beaucoup Tom, je crois qu'il m'a pété le nez ce con."

Il regarde au loin dans le marché et vit les quatre Jaffas venir en courant vers lui et Tom. Slade se leva très vite malgré la douleur et prit Tom par le bras et l’emmena dans la ruelle et lui dit

"Regarde les jaffas arrivent vers nous ! Viens suis moi on va essayer de se planquer le temps qu'il arrête de nous rechercher tant pis laisse les par terre on aura une autre occasion de les revoir j'en suis sur, et puis je ne peux pas me battre dans l'état où je suis il faut que je trouve un médecin pour qu'il me fasse des points."

Slade mit un violent coup de pied à l'homme qui lui avait mis le coup de coude." Tien ça c'est pour mon nez espèce d'enfoiré."

Puis se met à courir en direction de la ruelle par laquelle il était arrivé. Il avait beaucoup de mal à courir droit et très compliqué à rester debout car il était encore sonné par le violent coup qu'il a pris au visage.

Slade entendit le tir d'armes à énergie, se retourna en direction de Tom et le vit à terre couverte de sang, et hurla de désespoir.

"Non Tom, tien bon j'arrive ! Je ne vais pas te laisser là."

Puis la deuxième tire acheva Tom. On pouvait lire dans ces yeux une immense colère noire et une profonde tristesse, puits se mit à courir en direction des Jaffas en pointant son arme vers eux c'est alors qu'il entendit une voix sortant d'un cyber-café.

Slade entre dans le café avec cet homme plus ou moins suspect et lui dit

"T'es qui toi ? Qu'est-ce que tu me veux ? Tu ne vois pas mon pote au sol au milieu de la rue . Laisse-moi tranquille je ne peux pas le laisser là."

Même s'il avait du mal à tenir debout à cause de son nez, il est tellement en colère qu'il est prêt à risquer son propre vit pour essayer de sauver Tom, même s'il se doute bien qu'il est déjà mort.

"Je ne peux pas le laisser aux mains de c'est Jaffas c'était mon ami, il m'a sauvé la vie je ne sais plus combien de fois."

Slade décida de suivre le petit homme pour pouvoir un jour venger la mort de son ami, il suivit dans la boutique du cyber-café qui était par ailleurs
assez miteux. Il sa cache derrière des meubles pour éviter d’être repéré par les Jaffas.
"Merci beaucoup de m'avoir sauvé la vie, mais je peux savoir qui tu es?" Dit Slade très méfiant.

Il regarde tout autour de lui, mais il ne voit pas grand-chose car il fessait très sombre dans la pièce. Les seuls choses qu'il pouvait apercevoir c'était des ombres flous et des lumières qui clignotaient.
Slade en regardant le jeune homme très intrigué." Quel est cet endroit ? Que fait ton ici ?"

Il suivit le jeune homme qui l'emmenait dans l'arrière boutique et traverse une porte qui donne dans une autre ruelle à coté du marche, Slade en se retournant vit les Jaffas qui les suivait toujours. "Vite, Vite" Dit il au jeune homme.

Une fois avoir couru dans la petite ruelle, jaffas n'étaient plus à porter de vue donc Slade attrape le bras du jeune homme en lui disant
" Viens cachons nous la, dans cette petite maison abandonné ils ne nous trouverons jamais. "

Le jeune homme sentit que le militaire le suivait, et il continua sa course.
" Par là" dit-il en indiquant une porte à l'arrière-boutique. Il ne répondit rien aux questions de Slade, trop occupé à courir entre les cartons entassés dans l'arrière-boutique.
Il finir par tomber sur une porte en métal qui donnait sur une ruelle. Slade derrière lui le pressa d'avancer plus vite, les Jaffas les avaient suivis. Une fois dans la ruelle, le jeune homme traça tout droit jusqu'à ce que la poigne de Slade le stoppe net. Il fit une moue à la proposition du militaire, puis capitula, après tout, il semblait plus expérimenter que lui.
C'était une vieille bâtisse qui était en train d'être rénovée. Le chantier était barré par une haute barrière sur lequel était planté plusieurs écriteaux interdisant de pénétrer sur le lieu.
Le jeune homme tira à la jointure entre deux pans de la barrière pour s'y glisser. Puis il fila dans la bâtisse et s'arrêta, hors d'haleine.
Ils patientèrent quelques instants en silence, puis lorsqu'ils furent sûr que les Jaffas ne les avaient pas vus, le jeune homme se détendit.
" Hey bien dit ! Tu nous as foutu un sacré bordel au marché. Désolé pour ton pote. Je m'appelle David." dit-il en lui tendant une main. Il parlait dans un français parfait, ce qui laissait entendre son origine. " Tu dois être Slade Wilson, n'est-ce pas ? C'est moi ton contact ici."
Il ricanna. Slade devait probablement être surprit de voir un garçon aussi jeune lui servir de contact dans la résistance. Le garçon devait avoir la vingtaine à tout cassé. Comment il avait rencontré l'ami qu'ils avaient en commun et qui avait donné les indications à Slade restait un mystère.

Slade observe scrupuleusement la ruelle d'où ils venaient sans répondre à David. Une fois s'être assuré que personne ne les avait suivi, et que les jaffas était parti Slade se retourna en direction de David et s'assoie par terre contre un mur la tête dans ces bras avec une aire de profonde tristesse. Il ne réalisait pas qu'il n'allait plus revoir Tom.

Au bout de 5 longues minutes dans un silence le plus total, Slade leva la tête en direction de David et le regarda de la tête aux pieds sans rien dire. Après ce court moment Il se leva et marcha très difficilement du fait que son nez est cassé en direction de David en lui disant

"Enchanté, oui je suis bien Slade Wilson, merci beaucoup sans toi je n'aurais jamais pu m'en sortir, ils m'auraient sûrement capturé pour me torturer, en tout cas ravi de te rencontrer. Mais dis-moi tu parles très bien Français pour un Américain. Du coup tu es mon contact dans la résistance c'est bien sa . Quel est ton rôle précisément ? Mais comment tu as su que j’étais un résistant moi aussi ?"

Slade très étonné de voir un si jeune homme être son contact dans la résistance, il se retourna en direction de la fenêtre pour à nouveau observer la ruelle car malgré sa douleur et les événements récents il est toujours sur le qui-vive, c'est sûrement dû à son entraînement en milieu hostile qui la suivit durant sa formation dans les forces spéciales Françaises.

Tout en regardant par la fenêtre Slade dit à David
"Excuse moi mais j'aimerais rencontrer le chef de la résistance au plus vite, mais avant je vais devoir aller chez un médecin pour me faire soigner le nez que l'autre abrutit ma sûrement casser.  "

David ria doucement. Il sortit une poche de tabac de sa poche arrière, s'appuya contre le mur et se mit à rouler une cigarette, le carton coincé au coin des lèvres.
" C'est parce que je suis français, frère !" répondit-il décontracté à la première question de Slade.
Il sortit ensuite un briquet et alluma sa cigarette en protégeant la flamme du couvert de sa main gauche. Il tira longuement dessus puis souffla en l'air.

" Je vais un peu la pluie et le beau temps" balança David, mystérieux avant de ricanner.
Lorsque Slade dit vouloir rencontrer le chef de la résistance, le jeune homme prit une longue taf pour ménager sa réponse.
" Tu l'as devant toi !" dit-il avec un air grave.

Il laissa passer quelques secondes en étudiant le visage de Slade puis se mit à éclater de rire.
" Mais non mon gars, je plaisante, fais pas cette tête. Je t'ai reconnu parce que le pote qu'on a en commun m'a transmis vos identités. Et puis, vous avez foutu tellement le bordel sur le marché que c'était difficile de te louper. T'as du bol que j'ai été là. J'étais juste venu acheter des clopes et des capotes et je tombe sur toi."
David ricane de plus belle à l'évocation de ses courses très précises.

" Bon, allez, on bouge, ils doivent être loin maintenant. "

Sur ce, ils sortirent de la maison en prenant toutes leurs précautions. David mena Slade jusqu'à une vieille voiture usée jusqu'à l'os et entra dedans.
" Qu'est ce que tu crois ? Qu'on roulait en Aston Martin ? Bah non, putain ce serait cool pourtant !"
David démarra et la voiture quitta la ville d'Helena en prenant de petites ruelles et des passages détournés.

" Bon, et toi ? Tu as toujours fait partie de l'armée française ?" demanda t-il sur la route pour faire la conversation.

Après avoir quitté la ville, David prit des petits chemins sinueux à travers les montagnes et les forêts. David posait beaucoup de question à Slade pour tuer le long temps de trajet.
" Et tu as de la famille en France ? Tu as une femme ? Des enfants ?" demanda t-il soudain très intéressé avec un sourire en coin.

Après 40 minutes de route, ils arrièvrent devant ce qui semblait être un camp de retraite spirituelle catholique ; le Camp des Justes Pelerins de la Sagesse.
" Te fit pas aux apparences. Les cathos et tout je déteste ça, mais on est obligés, c'est pour la couverture, tu comprends ?" dit-il en descendant de la voiture et en claquant la portière.

David mena Slade rencontrer Charles de Bressignac, un psychologue - prêtre qui était à la tête du camp. Une fois qu'il se fut présenté à lui, David emmena le militaire faire soigner son nez à l'infirmerie. Ce fut une jeune infirmière encore en formation qui l'accueillit et qui s'occupa de lui avec un grand sourire.
David lui fait la visite du camp, lui expliqua les règles, les corvées, les réunions. Puis il lui montra les dortoirs et l'invita à se reposer.